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    All We Imagine as Light
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    3,5
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    103 critiques spectateurs

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    267 abonnés 1 636 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2024
    Un premier long-métrage de fiction qui prend la forme d’une chronique de vies indiennes contemporaines, captée avec délicatesse, douceur et sensualité. La réalisatrice envisage le quotidien de trois femmes bridées dans leurs aspirations, en quête d’une liberté d’aimer, de désirer, ou simplement d’un lieu pour vivre dignement. Trois femmes qui prennent leur vie en main, face à certains codes et préjugés sociaux, entre tradition et modernité. Se dessine une sororité nourrie d’un féminisme discret, tournée vers l’ouverture du cœur, l’ouverture à la beauté (jolie séquence finale, d’une humanité chaleureuse et réconfortante). Le film sonde ainsi des états d’âme, tout en prenant le pouls d’un pays, en observant des flux de vie diamétralement opposés, entre une ville grouillante, obscure, pluvieuse, et un village côtier, solaire, calme. La réalisation, la photo et l’interprétation sont en harmonie. Seule la séquence de l’homme rejeté par la mer, qui tend à l’onirisme, apparaît un peu maladroite et discordante dans le réalisme ambiant. Petit bémol d’une partition globalement convaincante, qui touche par sa sensibilité et son humilité.
    Min S
    Min S

    57 abonnés 453 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2024
    J’ai trouvé que le film manquait de rythme.
    On voit un peu de l’Inde, leur façons de vivre. Je me suis ennuyée
    Pascale m
    Pascale m

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    Pas de scénario d un ennui mortel l histoire est dans le résumé. J ai failli m endormir. Par contre, excellent somnifère
    Joce2012
    Joce2012

    203 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Film sur la vie amoureuse des femmes en Inde, film intimiste et un peu lent, tant de gens pour une vie si peu attractive dans un monde pourtant plein de couleurs mais avec des coutumes qui paraissent d'un autre temps
    SYLVIE B.
    SYLVIE B.

    27 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 octobre 2024
    c'est très long et tout n'est pas clair....pourtant la vie de Mumbai , les gens, les marchés.. n tout est top
    Franck J P
    Franck J P

    4 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    All we imagine as light nous offre plus un documentaire sur les parcours complexes dans les conditions féminines en Inde que des histoires singulières croisées.
    cinono1
    cinono1

    297 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Il y a des plans d'une infinie délicatesse, quelques beaux monologues, quelques beaux visages mais ça ne m'a absolument pas touché. j'ai trouvé ça empesé, faussement précieux et repetitif
    Paule Pedon
    Paule Pedon

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Film alternant entre obscurité et lumière mais à la fin on repart avec du baume au cœur et de la lumière dans les yeux
    Ce film nous démontre la résilience,mais aussi la capacité à résister au matriarcat,aux castes ,aux interdits religieux !
    Très beau!
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 671 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    A Bombay, une infirmière, Prabha, héberge une collègue plus jeune, Anu. L’ainée se retient de vivre dans l’attente de son mari, parti travailler en Allemagne, peu de temps après un mariage arrangé par les familles, et même lorsqu’un médecin de l’hôpital ressentant un sentiment pour Prabha, lui fait des avances romantiques sous forme de poème, elle dit non. La cadette vit un amour clandestin et passionné avec un jeune musulman, Shiaz, mais ses parents aimeraient bien lui choisir un mari, et elle fait tout son possible pour échapper au mariage arrangé qu’on lui prépare... Toutes deux infirmières, elles semblent dévouées à leur métier et nouent des relations en apparence sereines avec leur entourage. Mais elles partagent un certain désenchantement, lié à leurs frustrations affectives et leur condition de femme ne disposant pas d’un réel libre arbitre dans une société patriarcale attachée au poids des traditions et de la religion. Elles ont pour amie, Parvaty, une cuisinière de l’hôpital... Cette dernière est menacée d’expulsion, en butte à des promoteurs à l’affût d’immeubles plus ou moins en décrépitude dans lesquels les habitants n’ont aucun papier prouvant qu’ils sont propriétaires de leur logement, ce qui semble être son cas.
    Cette trame minimaliste constitue la première partie du récit et privilégie l’équilibre entre des dialogues explicatifs et le non-dit, dans des plans sans esbroufe se déroulant à Bombay, une ville dont le cœur bat trop vite et empêche de respirer ce qui amène les gens à se réfugier dans des intérieurs, le plus souvent sombres et de nuit…c’est un peu glauque, mais cela permet à la réalisatrice de mettre en œuvre ses talents de documentariste tout en nous faisant partager le quotidien des trois femmes. Lorsque arrive la seconde partie, c’est un tout autre film qui commence, l’atmosphère générale changeant. On retrouve Prabha et Anu qui ont accompagné Parvati dans le village côtier dont elle est originaire. Le film devient alors plus onirique, plus mystique, avec de belles images et quelques scènes d’une grande force, d’une indéniable élégance visuelle, ne serait-ce que par le décor naturel d’une forêt proche de la mer et du village côtier de Ratnagiri. Le film de Payal Kapadia ambitionne de décrire des réalités sociales précises d’un milieu corseté par ses traditions…C’est un film modeste, discret, presque trop dilué qui peut prendre parfois une forme poétique parfois déconcertante … Le film a remporté contre toute attente, le Grand Prix au dernier Festival de Cannes…une distinction qu’on est en droit de trouver taillée trop grande pour lui tant « All We Imagine » est effectivement un film « light », si allégé qu’il suscite par moments une certaine indifférence….
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    66 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Après deux excellents films indiens sortis récemment, Santosh et Girls will be girls, les attentes étaient grandes pour celui-ci, qui plus est auréolé du Grand Prix au dernier Festival de Cannes, deuxième plus haute récompense après la Palme d'Or.

    Malheureusement, ce film m'a complètement laissé au bord de la route.

    Difficile toutefois de rédiger une critique précise et argumentée après avoir somnolé les 30 premières et les 30 dernière minutes du film et m'être copieusement ennuyé l'heure restante.

    Si l'idée de croiser les destins de ces trois personnages féminins représentant trois générations était intéressante, dans ce qu'il raconte sur la situation des femmes actuellement en Inde, le film manque clairement d'enjeux scénaristiques forts.

    C'est sans doute l'arc narratif concernant leurs amours respectifs empêchés qui se révèlera le plus intéressant.

    Mais trop épuré, contemplatif et peu bavard, et parce qu'il ne semble jamais oser aller au bout de ce qu'il veut dénoncer, il n'est pas parvenu pas à m'embarquer.

    Je n'ai même pas pu m'accrocher à la forme, ayant trouvé les images très sombres, peu contrastées et avec un grain pas très agréable à regarder.

    Un rendez-vous manqué, comme on dit...

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    soulman
    soulman

    85 abonnés 1 205 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2024
    Comme souvent, on peut regretter la longueur d'un film qui aurait gagner en densité s'il n'avait duré que 90 minutes. Ceci dit, on est sensible à ces trois portraits de femmes indiennes, qui - à l'intérieur des carcans d'une société éminemment patriarcale - luttent pour leur émancipation et pour imposer leurs choix. C'est ce que réussit "All We Imagine as Light" (notons la paresse incompréhensible du distributeur qui le diffuse sous son titre anglais), particulièrement avec le personnage d'Anu, qui - plus jeune des trois femmes - a le plus à jouer.
    La dernière partie, dans la campagne de Parvaty, au bord de la mer, est la belle visuellement, tout en échappant à la carte postale. Elle capte avec finesse le caractère solaire des trois femmes et leur influence sur le milieu qu'elles ont investi spoiler: (la scène de la réanimation du noyé et de ses soins)
    .
    Enzo
    Enzo

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Mon épouse et moi n'avons pas vu le même film que le jury. Film très ennuyeux; nous avons dormi, tellement les dialogues sont monotones
    LeMeilleurPseudoDuMonde
    LeMeilleurPseudoDuMonde

    11 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 octobre 2024
    All We Imagine as Light avait les ingrédients pour être un film d'auteur sympathique : une patte esthétique léchée pour raconter les contradictions de la société indienne à travers le regard féminin.
    
    Le film commence, nous suivons deux femmes, chacune étouffée à leur manière par les carcans de la société. L'une, la trentaine, s'interdit toute relation malgré qu'elle n'ait pas vu son mari depuis des années. L'autre, la vingtaine, n'ose pas s'engager dans une relation avec un homme d'une autre religion qu'elle.
    
    La photographie du film est soignée et le casting plutôt bon. Il faut le signaler car ça contribue à donner une ambiance spéciale et intimiste à l'oeuvre.
    
    Mais le film révèle très rapidement son principal défaut : le rythme. Malgré sa bonne volonté, le film rappelle tristement les films d'auteur contemporains dans leurs plus mauvais côtés. On prend son temps, on s'attarde sur l'ordinaire, on fonce vers le naturalisme. Forcément, on s'ennuie très vite et on passe l'essentiel du film à décrocher puis raccrocher les wagons. La réalisatrice ne semble jamais assumer la dimension révoltée de son sujet. Les situations s'enchainent de façon plate sans donner le sentiment d'avancer.
    
    En résulte de All We Imagine as Light un film assez peu impactant émotionnellement parlant dont on attend la fin un peu trop tôt, malheureusement. Une expérience finalement un peu déplaisante. Le festival de Cannes serait-il encore tombé dans la prétention pour décerner son Grand Prix ?
    s2d2
    s2d2

    16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Que ce film était long ! Pourtant le sujet me semblait intéressant : Des femmes indiennes qui veulent sortir de leur condition. Mais il ne se passe rien. Un petit peu dans la vie d'Anu qui a un petit copain caché et musulman mais les 2 autres ??? Je cherche encore. Un petit sursaut le dernier quart d'heure quand le petit copain caché sort du derrière du buisson... A priori, je n'ai pas vu le même film que les festivaliers de Cannes.
    Maxime T
    Maxime T

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    L'inde contemporaine et Bombay filmées loin des clichés, à un rythme lent, du côté de femme qui travaillent et qui se battent. Elles se battent pour survivre dignement,contre les traditions, la solitude, les assignations. Amoureux de l'inde, j'ai trouvé que tout était juste.
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