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    All We Imagine as Light
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    3,5
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    106 critiques spectateurs

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    Boby 53
    Boby 53

    16 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2024
    Pas accroché du tout, film touffu, brouillon dont la seconde partie au bord de l'océan est censé apporter un "épilogue" à de scénario bancal. Seule la musique, bien que parfois incongrue, fait ressentir qqes émotions.
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2024
    Dans le style la cinéaste reste focalisée sur un style documentaire, l'immersion est d'autant plus authentique. Mais l'ennui s'installe vite, on baille, on souffle et on se demande quand l'histoire va réellement commencer. spoiler: En ville outre la drague du docteur pour l'épouse, le jeu de cache cache avec son amant l'autre il ne se passe quasi rien, aucune évolution dans les relations ni dans les personnages. On espère alors un rebondissement ou un twist en province, mais idem, le côté contemplatif s'accentue, mais rien ne se passe avant le dernier quart d'heure avec deux "twist" aussi ineptes qu'inoffensifs tandis que la question de l'expulsion est tout bonnement occultée.
    En résumé la réalisatrice-scénariste avait une idée en or mais qu'elle a laissé au statut d'une simple ébauche sans que rien ne soit réellement exploité. Et au final, on se dit que même le titre est plutôt abscon. Reste un magnifique trio d'actrices, quelques instants de grâces et quelques jolis plans. C'est trop peu, juste assez pour une sieste. Dommage...
    Site : Selenie.fr
    Corinne Freuge
    Corinne Freuge

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2024
    Un film plein d espoir sur la condition de la femme en Inde. Belles prises de vue tant en ville qu au bord de la mer.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2024
    Un premier long-métrage de fiction qui prend la forme d’une chronique de vies indiennes contemporaines, captée avec délicatesse, douceur et sensualité. La réalisatrice envisage le quotidien de trois femmes bridées dans leurs aspirations, en quête d’une liberté d’aimer, de désirer, ou simplement d’un lieu pour vivre dignement. Trois femmes qui prennent leur vie en main, face à certains codes et préjugés sociaux, entre tradition et modernité. Se dessine une sororité nourrie d’un féminisme discret, tournée vers l’ouverture du cœur, l’ouverture à la beauté (jolie séquence finale, d’une humanité chaleureuse et réconfortante). Le film sonde ainsi des états d’âme, tout en prenant le pouls d’un pays, en observant des flux de vie diamétralement opposés, entre une ville grouillante, obscure, pluvieuse, et un village côtier, solaire, calme. La réalisation, la photo et l’interprétation sont en harmonie. Seule la séquence de l’homme rejeté par la mer, qui tend à l’onirisme, apparaît un peu maladroite et discordante dans le réalisme ambiant. Petit bémol d’une partition globalement convaincante, qui touche par sa sensibilité et son humilité.
    Min S
    Min S

    58 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2024
    J’ai trouvé que le film manquait de rythme.
    On voit un peu de l’Inde, leur façons de vivre. Je me suis ennuyée
    Pascale m
    Pascale m

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    Pas de scénario d un ennui mortel l histoire est dans le résumé. J ai failli m endormir. Par contre, excellent somnifère
    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Film sur la vie amoureuse des femmes en Inde, film intimiste et un peu lent, tant de gens pour une vie si peu attractive dans un monde pourtant plein de couleurs mais avec des coutumes qui paraissent d'un autre temps
    SYLVIE B.
    SYLVIE B.

    27 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 octobre 2024
    c'est très long et tout n'est pas clair....pourtant la vie de Mumbai , les gens, les marchés.. n tout est top
    Franck J P
    Franck J P

    4 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    All we imagine as light nous offre plus un documentaire sur les parcours complexes dans les conditions féminines en Inde que des histoires singulières croisées.
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Il y a des plans d'une infinie délicatesse, quelques beaux monologues, quelques beaux visages mais ça ne m'a absolument pas touché. j'ai trouvé ça empesé, faussement précieux et repetitif
    Paule Pedon
    Paule Pedon

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Film alternant entre obscurité et lumière mais à la fin on repart avec du baume au cœur et de la lumière dans les yeux
    Ce film nous démontre la résilience,mais aussi la capacité à résister au matriarcat,aux castes ,aux interdits religieux !
    Très beau!
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    A Bombay, une infirmière, Prabha, héberge une collègue plus jeune, Anu. L’ainée se retient de vivre dans l’attente de son mari, parti travailler en Allemagne, peu de temps après un mariage arrangé par les familles, et même lorsqu’un médecin de l’hôpital ressentant un sentiment pour Prabha, lui fait des avances romantiques sous forme de poème, elle dit non. La cadette vit un amour clandestin et passionné avec un jeune musulman, Shiaz, mais ses parents aimeraient bien lui choisir un mari, et elle fait tout son possible pour échapper au mariage arrangé qu’on lui prépare... Toutes deux infirmières, elles semblent dévouées à leur métier et nouent des relations en apparence sereines avec leur entourage. Mais elles partagent un certain désenchantement, lié à leurs frustrations affectives et leur condition de femme ne disposant pas d’un réel libre arbitre dans une société patriarcale attachée au poids des traditions et de la religion. Elles ont pour amie, Parvaty, une cuisinière de l’hôpital... Cette dernière est menacée d’expulsion, en butte à des promoteurs à l’affût d’immeubles plus ou moins en décrépitude dans lesquels les habitants n’ont aucun papier prouvant qu’ils sont propriétaires de leur logement, ce qui semble être son cas.
    Cette trame minimaliste constitue la première partie du récit et privilégie l’équilibre entre des dialogues explicatifs et le non-dit, dans des plans sans esbroufe se déroulant à Bombay, une ville dont le cœur bat trop vite et empêche de respirer ce qui amène les gens à se réfugier dans des intérieurs, le plus souvent sombres et de nuit…c’est un peu glauque, mais cela permet à la réalisatrice de mettre en œuvre ses talents de documentariste tout en nous faisant partager le quotidien des trois femmes. Lorsque arrive la seconde partie, c’est un tout autre film qui commence, l’atmosphère générale changeant. On retrouve Prabha et Anu qui ont accompagné Parvati dans le village côtier dont elle est originaire. Le film devient alors plus onirique, plus mystique, avec de belles images et quelques scènes d’une grande force, d’une indéniable élégance visuelle, ne serait-ce que par le décor naturel d’une forêt proche de la mer et du village côtier de Ratnagiri. Le film de Payal Kapadia ambitionne de décrire des réalités sociales précises d’un milieu corseté par ses traditions…C’est un film modeste, discret, presque trop dilué qui peut prendre parfois une forme poétique parfois déconcertante … Le film a remporté contre toute attente, le Grand Prix au dernier Festival de Cannes…une distinction qu’on est en droit de trouver taillée trop grande pour lui tant « All We Imagine » est effectivement un film « light », si allégé qu’il suscite par moments une certaine indifférence….
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    67 abonnés 211 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Après deux excellents films indiens sortis récemment, Santosh et Girls will be girls, les attentes étaient grandes pour celui-ci, qui plus est auréolé du Grand Prix au dernier Festival de Cannes, deuxième plus haute récompense après la Palme d'Or.

    Malheureusement, ce film m'a complètement laissé au bord de la route.

    Difficile toutefois de rédiger une critique précise et argumentée après avoir somnolé les 30 premières et les 30 dernière minutes du film et m'être copieusement ennuyé l'heure restante.

    Si l'idée de croiser les destins de ces trois personnages féminins représentant trois générations était intéressante, dans ce qu'il raconte sur la situation des femmes actuellement en Inde, le film manque clairement d'enjeux scénaristiques forts.

    C'est sans doute l'arc narratif concernant leurs amours respectifs empêchés qui se révèlera le plus intéressant.

    Mais trop épuré, contemplatif et peu bavard, et parce qu'il ne semble jamais oser aller au bout de ce qu'il veut dénoncer, il n'est pas parvenu pas à m'embarquer.

    Je n'ai même pas pu m'accrocher à la forme, ayant trouvé les images très sombres, peu contrastées et avec un grain pas très agréable à regarder.

    Un rendez-vous manqué, comme on dit...

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    soulman
    soulman

    86 abonnés 1 219 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2024
    Comme souvent, on peut regretter la longueur d'un film qui aurait gagner en densité s'il n'avait duré que 90 minutes. Ceci dit, on est sensible à ces trois portraits de femmes indiennes, qui - à l'intérieur des carcans d'une société éminemment patriarcale - luttent pour leur émancipation et pour imposer leurs choix. C'est ce que réussit "All We Imagine as Light" (notons la paresse incompréhensible du distributeur qui le diffuse sous son titre anglais), particulièrement avec le personnage d'Anu, qui - plus jeune des trois femmes - a le plus à jouer.
    La dernière partie, dans la campagne de Parvaty, au bord de la mer, est la belle visuellement, tout en échappant à la carte postale. Elle capte avec finesse le caractère solaire des trois femmes et leur influence sur le milieu qu'elles ont investi spoiler: (la scène de la réanimation du noyé et de ses soins)
    .
    Enzo
    Enzo

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Mon épouse et moi n'avons pas vu le même film que le jury. Film très ennuyeux; nous avons dormi, tellement les dialogues sont monotones
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