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    All We Imagine as Light
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    108 critiques spectateurs

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    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    203 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2024
    Doux, profond et sensible. Film lent et hypnotique, triple portrait de femmes à Mumbai. Douceur, langueur dans la narration. On est tout de suite dépaysés, propulsés dans une autre temporalité. Musique fascinante, ensorcelante. Merveilleuse magie des images. Interprétation magnifique des trois actrices. Un sans-faute.
    vidalger
    vidalger

    322 abonnés 1 251 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 octobre 2024
    C'est l'un des premiers grands films de la rentrée. En nous faisant pénétrer dans l'intimité de trois femmes indiennes, travailleuses de santé dans un hôpital de Mumbai, la jeune réalisatrice Payal Kapadia nous en dit beaucoup sur les contingences sociales qui alourdissent l'existence des populations, notamment féminines, de ce pays si inégalitaire qu'est l'Inde d'aujourd'hui. On a du mal ici, à imaginer la hauteur des barrières sociales, religieuses, de castes, qui limitent la liberté des individus indiens quels que soient leurs mérites. L'amour est dans la réalité de ces femmes bien différent de ces bluettes télévisées ou chantées qui font rêver les femmes et les hommes de ce pays. Entre la jeune femme qui rêve d'outrepasser les règles en faisant l'amour avec un jeune homme d'une autre religion que la sienne, entre celle qui a renoncé à l'amour après une déception sentimentale et une troisième, veuve, qui doit renoncer à son existence de confort sommaire pour se soumettre à la dure loi économique de la gentrification de son quartier, on découvre une communauté de malheureuses soumises à la dure loi des hommes.
    L'interprétation est remarquable.
    Christian RZ
    Christian RZ

    41 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    À bailler d’ennui devant une situation qui peine à se développer, en plus l’image est moche et on ne trouve la lumière qu en sortant de la salle
    djami M.
    djami M.

    16 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    La sélection du Festival de Cannes devait être bien pauvre pour qu’au final ce film ait reçu le Grand Prix du Jury
    Quel ennui ! C’est lent, avec beaucoup de scènes inutiles
    Il n’y a pas d’histoire, pas de scénario. On a aucun attachement au personnage ou intérêt
    Je n’ai attendu qu’une chose : le générique de fin
    VILLE.G
    VILLE.G

    55 abonnés 671 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2024
    Si l’histoire et les personnages sont intéressants, c’est beaucoup, beaucoup trop long. J’ai failli m’endormir…
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    112 abonnés 333 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2024
    Ai vu le film indien de la réalisatrice Payal Kapadia « All we imagine as light » qui a obtenu le Grand Prix lors du dernier Festival de Cannes. Le film tout en longueur et langueur est en deux parties. Durant la première nous suivons dans la mégapole de Mumbay (Bombay) 3 femmes qui travaillent dans le même hôpital. Prahba, est infirmière, elle est sans nouvelle de son mari qui vit en Allemagne depuis des années. Anu, la benjamine, collègue de Prahba et aussi sa jeune colocataire, elle est amoureuse d’un jeune homme musulman. Parvati, la plus agée et veuve, travaille à la cantine du même hôpital et est expulsée de chez elle. Toutes les trois sont amies. Elles sont dépassées par le vampirisme de la ville, son grouillement nocturne incessant, ses pluies diluviennes et intrusives, leur vie de "célibataire" forcée où elles oublient de vivre. C’est lors du déménagement de Parvati dans son village d’enfance où vont l’accompagner ses deux amies que le titre ainsi que le rythme indolent du long métrage prennent leur sens. « All we imagine as light » est un film d’une grande délicatesse avec des fulgurances de mise en scène au milieu d’une multitude d’agréables torpeurs et de nonchalances hypnotiques. Prahba (Kani Kusruti bouleversante) a souvent le regard vide et est spectatrice de sa propre vie, Anu (Divya Prabha) s’ennuie à mourir et s’amuse à ausculter un globe terrestre entre deux sms lors de son service, Parvati (Chhaya Kadam) est résolue et résignée. Entre la fiction et le documentaire, Payal Kapadia filme l’essence de ce que l’on imagine être l’Inde. La réalisatrice livre également une partition tout autant philosophique que sociologique ainsi que trois beaux portraits de femmes.
    Chris G
    Chris G

    19 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2024
    Jolis portraits de jeunes femmes empêchées par les traditions des castes et mariages arrangés de la culture indienne dans une Mumbai baignée par la mousson.
    Enzo
    Enzo

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Mon épouse et moi n'avons pas vu le même film que le jury. Film très ennuyeux; nous avons dormi, tellement les dialogues sont monotones
    Anne CC
    Anne CC

    10 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juillet 2024
    « All We Imagine as Light » Film indienDrame social.

    En avant-première fēma - Festival La Rochelle Cinéma

    Deux femmes autonomes financièrement travaillent, mais sont malgré tout enfermées dans les traditions. L’une mariée à un mari absent s’interdit toute nouvelle relation, l’autre amoureuse se cache pour vivre son amour avec un musulman. Contraste avec une plongée dans Mumbai, sous la mousson, dans une vie agitée et avec un village de bord de mer, sous le soleil, dans une vie plus apaisée.
    Une très belle 2ème partie avec de magnifiques scènes et une très jolie BO signée Topshe

    1er long métrage de la réalisatrice. Une fin touchante qui laisse entrevoir un espoir avec la scène finale
    takeshi29
    takeshi29

    10 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 juillet 2024
    Une sorte de faux rythme pas inintéressant, une musique parfois jazzy qui surprend, des portraits de femmes touchants, mais dans le fond de ce qui est raconté lors de ces 115 minutes on est finalement dans le convenu, dans un récit qui manque de consistance. Une fois de plus la récompense cannoise (Un Grand Prix, rien que ça) me semble plus d'ordre "politique" que cinématographique.

    (Vu dans le cadre d'un festival - FEMA 2024)
    Editor
    Editor

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    J'ai eu la chance de découvrir ce film à Cannes et j'ai été immédiatement séduite par sa fraîcheur et son authenticité. Ce portrait de trois femmes indiennes à Mumbai m'a profondément touchée.
    J'ai particulièrement apprécié le réalisme avec lequel les réalisateurs ont abordé leurs histoires.
    Ce qui m'a frappée, c'est l'absence de jugement et de voyeurisme. Les femmes sont présentées dans toute leur diversité, avec leurs forces et leurs faiblesses. C'est une représentation loin des stéréotypes que l'on retrouve souvent dans le cinéma occidental, où les femmes sont souvent réduites à des rôles secondaires ou à des archétypes manichéens.
    J'ai ressenti une véritable empathie pour ces personnages et j'ai été émue par leurs parcours. Le film m'a également donné à réfléchir sur la condition des femmes dans le monde et sur l'importance de représentations plus justes et plus complexes.
    C'est une œuvre cinématographique majeure qui marque un tournant dans la représentation des femmes à l'écran. C'est un film essentiel à voir pour tous ceux qui s'intéressent au cinéma indien et à la condition féminine. Egalement le cadrage est sublime
    Jean-Seb A
    Jean-Seb A

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2024
    c'est un film très sensible, réaliste et néanmoins poétique. un beau moment. on est emmené du début à la fin dans l'itinéraire de trois femmes sans caricature ou jugement à priori.
    Joce2012
    Joce2012

    205 abonnés 587 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    Film sur la vie amoureuse des femmes en Inde, film intimiste et un peu lent, tant de gens pour une vie si peu attractive dans un monde pourtant plein de couleurs mais avec des coutumes qui paraissent d'un autre temps
    Jmartine
    Jmartine

    168 abonnés 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2024
    A Bombay, une infirmière, Prabha, héberge une collègue plus jeune, Anu. L’ainée se retient de vivre dans l’attente de son mari, parti travailler en Allemagne, peu de temps après un mariage arrangé par les familles, et même lorsqu’un médecin de l’hôpital ressentant un sentiment pour Prabha, lui fait des avances romantiques sous forme de poème, elle dit non. La cadette vit un amour clandestin et passionné avec un jeune musulman, Shiaz, mais ses parents aimeraient bien lui choisir un mari, et elle fait tout son possible pour échapper au mariage arrangé qu’on lui prépare... Toutes deux infirmières, elles semblent dévouées à leur métier et nouent des relations en apparence sereines avec leur entourage. Mais elles partagent un certain désenchantement, lié à leurs frustrations affectives et leur condition de femme ne disposant pas d’un réel libre arbitre dans une société patriarcale attachée au poids des traditions et de la religion. Elles ont pour amie, Parvaty, une cuisinière de l’hôpital... Cette dernière est menacée d’expulsion, en butte à des promoteurs à l’affût d’immeubles plus ou moins en décrépitude dans lesquels les habitants n’ont aucun papier prouvant qu’ils sont propriétaires de leur logement, ce qui semble être son cas.
    Cette trame minimaliste constitue la première partie du récit et privilégie l’équilibre entre des dialogues explicatifs et le non-dit, dans des plans sans esbroufe se déroulant à Bombay, une ville dont le cœur bat trop vite et empêche de respirer ce qui amène les gens à se réfugier dans des intérieurs, le plus souvent sombres et de nuit…c’est un peu glauque, mais cela permet à la réalisatrice de mettre en œuvre ses talents de documentariste tout en nous faisant partager le quotidien des trois femmes. Lorsque arrive la seconde partie, c’est un tout autre film qui commence, l’atmosphère générale changeant. On retrouve Prabha et Anu qui ont accompagné Parvati dans le village côtier dont elle est originaire. Le film devient alors plus onirique, plus mystique, avec de belles images et quelques scènes d’une grande force, d’une indéniable élégance visuelle, ne serait-ce que par le décor naturel d’une forêt proche de la mer et du village côtier de Ratnagiri. Le film de Payal Kapadia ambitionne de décrire des réalités sociales précises d’un milieu corseté par ses traditions…C’est un film modeste, discret, presque trop dilué qui peut prendre parfois une forme poétique parfois déconcertante … Le film a remporté contre toute attente, le Grand Prix au dernier Festival de Cannes…une distinction qu’on est en droit de trouver taillée trop grande pour lui tant « All We Imagine » est effectivement un film « light », si allégé qu’il suscite par moments une certaine indifférence….
    SYLVIE B.
    SYLVIE B.

    28 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 octobre 2024
    c'est très long et tout n'est pas clair....pourtant la vie de Mumbai , les gens, les marchés.. n tout est top
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