Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Bande à part
par Léo Ortuno
Après Toute une nuit sans savoir, documentaire ayant remporté l’Oeil d’Or en 2021, Payal Kapadia réussit à merveille son passage à la fiction avec All We Imagine as Light, Grand Prix au Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Vincent Roussel
Payal Kepadia signe une œuvre en état de grâce, entre gravité et légèreté, qui progresse lentement mais sûrement vers le sensoriel et l'aérien. Rarement on aura vu un film indien si directement branché sur le mouvement de la ville et le contemporain. Il y a parfois du Wong Kar-Wai dans cette manière de filmer Mumbai, ses flux et ses lumières.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Patrick Flouriot
Le premier long métrage de fiction de l’Indienne Payal Kabadia est un très grand film. La belle et singulière texture de l’image fascine comme celle d’un tissu chatoyant. Cette histoire d’amitié entre deux infirmières et une amie trouble par sa profondeur.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Une boucle parfaite qui sonde la capacité des êtres à sécher leurs larmes, à panser leurs plaies, sans oublier ni regretter pour qui et pour quoi battait leur cœur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
C’est ainsi que Kapadia fait un film indien exotique sans vendre grand-chose de la pacotille pittoresque, touristique. S’il existe une «internationale de l’indépendance art et essai», au contraire, elle est tropicale et radicale : elle sait se mouiller.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Julien Rousset
Dans ce long-métrage d’une grande beauté, délicat, souvent silencieux, Payal Kapadia affirme un féminisme qui n’est jamais démonstratif.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Plutôt que de raconter des combats, All We Imagine as Light embrasse trois modalités de résistance : les courants puissants ne peuvent être détournés, mais sur les vagues par eux formées il reste loisible de surfer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Autour de trois femmes, deux infirmières vivant en colocation et une veuve menacée d’expulsion, la réalisatrice Payal Kapadia tisse un portrait fin et poétique de l’Inde, dans une vision résolument féministe.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Film mosaïque merveilleux sur l’immensité de Mumbai et ses flux humains, All We Imagine As Light en tire trois portraits bouleversants de femmes solidaires dans l’adversité. La finesse et la douceur de Payal Kapadia font toute la différence, en plus de faire un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un formidable film de sororité, à la fois épuré et sensuel.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Avec All We Imagine as Light, son premier long métrage de fiction, l’Indienne Payal Kapadia a obtenu le prix du jury à Cannes. À travers l’histoire de trois femmes, ce film mêle des problématiques sociales et sociétales à des questionnements intimes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
La réalisatrice indienne Payal Kapadia suit le cheminement de trois femmes bien décidées à assumer leurs désirs dans un très beau film récompensé par le grand prix du jury au dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Un film indien délicat et empreint de poésie.
Le Figaro
par O.D.
L'alchimie fonctionne dans ce trio de trois générations différentes. On s'attache vite au destin contrarié de ces personnages filmés avec empathie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Cl. F.
Il faut ici saluer la grâce avec laquelle la réalisatrice filme la métropole comme un manège faussement enchanté. Le retour de Parvaty vers son village d’origine, dans la région côtière de Ratnagiri, est l’occasion d’une seconde partie plus solaire, et rêveuse, où les tempéraments des trois femmes s’affirmeront.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Ce film audacieux a été récompensé par le grand prix du jury au dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Délicat et sensuel.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Thomas Jean
À la splendeur de ce que capte sa caméra, la réalisatrice mêle ainsi, délicatement, du politique, dessinant en sous-texte et à bas bruit ce qu’une Inde plus tolérante, moins misogyne, moins dure, pourrait être, loin de celle que l’actuel Président Modi, nationaliste hindou, promeut – une situation politique que la réalisatrice, lors de notre interview, s’est presque interdit de commenter.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Thierry Chèze
Un portrait riche et sensible de la société indienne.
Paris Match
par Yannick Vely
La mise en scène, très inspirée, rappelle quant à elle le cinéma du thaïlandais Apichatpong Weerasethakul surtout dans un troisième acte lumineux. Un beau Grand prix du Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
En entremêlant ainsi, subtilement, vie matérielle et états d’âme flottants, âpreté et sensualité, en faisant la part belle aux transports et à la balade, malgré la peur et la contrainte qui malmènent la sororité en fleur, ce kaléidoscope aux couleurs saturées touche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Bien que le film semble vouloir refléter le manque cruel de romantisme qui afflige l’Inde, il parvient difficilement à nous embarquer, peut-être parce qu’on a vite compris le programme qu’il déroule, aussi louable et engagé soit-il.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Isabelle Danel
Les intentions sont louables : conter sur trois générations de femmes indiennes les rapports aux hommes et au désir, à la loi, à la justice et à la transgression. Mais la mise en scène enfonce un peu trop le clou.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
Là, face à la mer et au silence qui dit tout, en chœur avec celles qui l’ont mené à bon port, le spectateur entend enfin ce qu’il ressentait : qu’ici, et surtout « ici, c’est beau ».
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ce triple portrait confronte ses protagonistes à leur destin sans les cantonner à des rôles utilitaires. On peut regretter les enjeux, minimalistes. On peut aussi se laisser guider par cette jolie lumière.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par S.B.
La vision très moderne de la réalisatrice Payal Kapadia s’affranchit des tabous en assumant sa sensualité, en dépit d’un rythme languissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film sans enjeux dramatiques forts, mais très sensible.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
La chronique de ces deux existences est menée avec finesse mais à force de tout traiter sur le même mode chuchoté, délicat et vaporeux, le film perd en force et s'étiole progressivement. On aime toutefois la dernière partie au bord de la mer qui propose une échappée au bord du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Thomas Baurez
Il en résulte une approche sensible et intime de l’espace. Là où certains cinéastes imposent aux spectateurs leurs personnages, leurs histoires et leurs émotions, Payal Kapadia choisit la voie de la douceur et de la révélation à bas bruit. Ce qui n'empêche pas de taper fort.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Suggestif et intimiste, réaliste et onirique, ce long métrage indien confirme le talent d’une réalisatrice inspirée mais n’échappe pas aux travers du film de festival.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Délicatesse : telle est la qualité à double tranchant du film, pas dénué de tendresse pour ses personnages, mais qui souffre d’un manque d’incarnation dans la manière de figurer leur cheminement vers une lumière ténue au cœur de la nuit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Après Toute une nuit sans savoir, documentaire ayant remporté l’Oeil d’Or en 2021, Payal Kapadia réussit à merveille son passage à la fiction avec All We Imagine as Light, Grand Prix au Festival de Cannes.
Culturopoing.com
Payal Kepadia signe une œuvre en état de grâce, entre gravité et légèreté, qui progresse lentement mais sûrement vers le sensoriel et l'aérien. Rarement on aura vu un film indien si directement branché sur le mouvement de la ville et le contemporain. Il y a parfois du Wong Kar-Wai dans cette manière de filmer Mumbai, ses flux et ses lumières.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de fiction de l’Indienne Payal Kabadia est un très grand film. La belle et singulière texture de l’image fascine comme celle d’un tissu chatoyant. Cette histoire d’amitié entre deux infirmières et une amie trouble par sa profondeur.
Les Inrockuptibles
Une boucle parfaite qui sonde la capacité des êtres à sécher leurs larmes, à panser leurs plaies, sans oublier ni regretter pour qui et pour quoi battait leur cœur.
Libération
C’est ainsi que Kapadia fait un film indien exotique sans vendre grand-chose de la pacotille pittoresque, touristique. S’il existe une «internationale de l’indépendance art et essai», au contraire, elle est tropicale et radicale : elle sait se mouiller.
Sud Ouest
Dans ce long-métrage d’une grande beauté, délicat, souvent silencieux, Payal Kapadia affirme un féminisme qui n’est jamais démonstratif.
Cahiers du Cinéma
Plutôt que de raconter des combats, All We Imagine as Light embrasse trois modalités de résistance : les courants puissants ne peuvent être détournés, mais sur les vagues par eux formées il reste loisible de surfer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Autour de trois femmes, deux infirmières vivant en colocation et une veuve menacée d’expulsion, la réalisatrice Payal Kapadia tisse un portrait fin et poétique de l’Inde, dans une vision résolument féministe.
Ecran Large
Film mosaïque merveilleux sur l’immensité de Mumbai et ses flux humains, All We Imagine As Light en tire trois portraits bouleversants de femmes solidaires dans l’adversité. La finesse et la douceur de Payal Kapadia font toute la différence, en plus de faire un bien fou.
Elle
Un formidable film de sororité, à la fois épuré et sensuel.
L'Humanité
Avec All We Imagine as Light, son premier long métrage de fiction, l’Indienne Payal Kapadia a obtenu le prix du jury à Cannes. À travers l’histoire de trois femmes, ce film mêle des problématiques sociales et sociétales à des questionnements intimes.
La Croix
La réalisatrice indienne Payal Kapadia suit le cheminement de trois femmes bien décidées à assumer leurs désirs dans un très beau film récompensé par le grand prix du jury au dernier Festival de Cannes.
Le Dauphiné Libéré
Un film indien délicat et empreint de poésie.
Le Figaro
L'alchimie fonctionne dans ce trio de trois générations différentes. On s'attache vite au destin contrarié de ces personnages filmés avec empathie.
Le Monde
Il faut ici saluer la grâce avec laquelle la réalisatrice filme la métropole comme un manège faussement enchanté. Le retour de Parvaty vers son village d’origine, dans la région côtière de Ratnagiri, est l’occasion d’une seconde partie plus solaire, et rêveuse, où les tempéraments des trois femmes s’affirmeront.
Les Echos
Ce film audacieux a été récompensé par le grand prix du jury au dernier Festival de Cannes.
Marianne
Délicat et sensuel.
Marie Claire
À la splendeur de ce que capte sa caméra, la réalisatrice mêle ainsi, délicatement, du politique, dessinant en sous-texte et à bas bruit ce qu’une Inde plus tolérante, moins misogyne, moins dure, pourrait être, loin de celle que l’actuel Président Modi, nationaliste hindou, promeut – une situation politique que la réalisatrice, lors de notre interview, s’est presque interdit de commenter.
Ouest France
Un portrait riche et sensible de la société indienne.
Paris Match
La mise en scène, très inspirée, rappelle quant à elle le cinéma du thaïlandais Apichatpong Weerasethakul surtout dans un troisième acte lumineux. Un beau Grand prix du Festival de Cannes.
Télérama
En entremêlant ainsi, subtilement, vie matérielle et états d’âme flottants, âpreté et sensualité, en faisant la part belle aux transports et à la balade, malgré la peur et la contrainte qui malmènent la sororité en fleur, ce kaléidoscope aux couleurs saturées touche.
CinemaTeaser
Bien que le film semble vouloir refléter le manque cruel de romantisme qui afflige l’Inde, il parvient difficilement à nous embarquer, peut-être parce qu’on a vite compris le programme qu’il déroule, aussi louable et engagé soit-il.
L'Obs
Les intentions sont louables : conter sur trois générations de femmes indiennes les rapports aux hommes et au désir, à la loi, à la justice et à la transgression. Mais la mise en scène enfonce un peu trop le clou.
La Septième Obsession
Là, face à la mer et au silence qui dit tout, en chœur avec celles qui l’ont mené à bon port, le spectateur entend enfin ce qu’il ressentait : qu’ici, et surtout « ici, c’est beau ».
La Voix du Nord
Ce triple portrait confronte ses protagonistes à leur destin sans les cantonner à des rôles utilitaires. On peut regretter les enjeux, minimalistes. On peut aussi se laisser guider par cette jolie lumière.
Le Journal du Dimanche
La vision très moderne de la réalisatrice Payal Kapadia s’affranchit des tabous en assumant sa sensualité, en dépit d’un rythme languissant.
Le Parisien
Un film sans enjeux dramatiques forts, mais très sensible.
Le Point
La chronique de ces deux existences est menée avec finesse mais à force de tout traiter sur le même mode chuchoté, délicat et vaporeux, le film perd en force et s'étiole progressivement. On aime toutefois la dernière partie au bord de la mer qui propose une échappée au bord du fantastique.
Première
Il en résulte une approche sensible et intime de l’espace. Là où certains cinéastes imposent aux spectateurs leurs personnages, leurs histoires et leurs émotions, Payal Kapadia choisit la voie de la douceur et de la révélation à bas bruit. Ce qui n'empêche pas de taper fort.
aVoir-aLire.com
Suggestif et intimiste, réaliste et onirique, ce long métrage indien confirme le talent d’une réalisatrice inspirée mais n’échappe pas aux travers du film de festival.
Critikat.com
Délicatesse : telle est la qualité à double tranchant du film, pas dénué de tendresse pour ses personnages, mais qui souffre d’un manque d’incarnation dans la manière de figurer leur cheminement vers une lumière ténue au cœur de la nuit.