Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans « Avant l’effondrement » parle de l’avenir avec acuité et humour. Niels Schneider y est étonnant en homme brutalement contraint de faire lapart de choses entre ses idées politiques et la réalité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Pour leur premier long métrage de fiction, le duo formé par Alice Zeniter et Benoît Volnais réalise une œuvre formellement riche et qui, sur le fond, grâce à d'appétissants dialogues apporte sa pierre aux nombreux questionnements que suscite la crise environnementale.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La première fiction de la romancière Alice Zeniter et de Benoît Volnais est incarnée par un magnifique quatuor de comédiens. Dont Niels Schneider, sexy et savoureux dans le rôle de l’amant désinvolte rattrapé par le féminisme en mouvement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
D’un Paris qui étouffe à une Bretagne qui respire, « Avant l’effondrement » nous entraîne une quête humaine bouleversante dont on ne sort pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une plongée douce-amère et juste dans notre monde post-moderne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Emmanuelle Métivier
Un film radical, politique et féministe.
Paris Match
par Yannick Vely
Fable politique, récit générationnel, portrait d’un homme se croyant condamné à qui l'on envoie un test de grossesse positif : « Avant l’effondrement » fait valser les genres et les étiquettes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Surprenant et original, Après l’effondrement rappelle avec délectation que l’avenir politique et écologique est entre les mains de la jeunesse d’aujourd’hui, dans un style délicat et sensible qui semble un écho à Truffaut.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Énergiquement ancré dans nos temps perturbés, ce film affiche une fraîcheur inattendue. Tristan se construit peu à peu, jusqu’à découvrir qu’une issue est possible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Si Avant l’effondrement fait mouche comme miroir de certaines inquiétudes et contradictions d’une génération née sous le signe de la crise (écologique, sentimentale, sanitaire, politique) et dont il n’épargne pas la ringardise, on a la sensation de n’y entendre qu’une seule et même voix, au mieux érudite, au pire sociologique, prompte à uniformiser les expériences.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il y manque l’essentiel : des personnages plutôt que des acteurs qui récitent un texte, une histoire dont la concertation laisse une place à la foi, et cette corrélation organique et sorcière entre les deux qu’on appelle le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Oscillant entre drame filial et comédie éco-anxieuse, le premier film d’Alice Zeniter et Benoît Volnais ne trouve pas le ton.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec le pitch d'un vaudeville ras des pâquerettes, mais de lourdes intentions à mettre en scène l'effondrement ambiant, ce film s'affaisse faute de boussole, de dialogues tenus et de direction d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Théo Ribeton
Le résultat est caricaturalement klapischien, avec une inflexion un peu moins popu, et un peu plus Sciences Po ; cela se voudrait à la fois intellectuel et organique, politique et fantaisiste, mais c’est désagréablement emprunté dans tous ces registres.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Dans « Avant l’effondrement » parle de l’avenir avec acuité et humour. Niels Schneider y est étonnant en homme brutalement contraint de faire lapart de choses entre ses idées politiques et la réalité.
Franceinfo Culture
Pour leur premier long métrage de fiction, le duo formé par Alice Zeniter et Benoît Volnais réalise une œuvre formellement riche et qui, sur le fond, grâce à d'appétissants dialogues apporte sa pierre aux nombreux questionnements que suscite la crise environnementale.
L'Obs
La première fiction de la romancière Alice Zeniter et de Benoît Volnais est incarnée par un magnifique quatuor de comédiens. Dont Niels Schneider, sexy et savoureux dans le rôle de l’amant désinvolte rattrapé par le féminisme en mouvement.
Le Parisien
D’un Paris qui étouffe à une Bretagne qui respire, « Avant l’effondrement » nous entraîne une quête humaine bouleversante dont on ne sort pas indemne.
Les Fiches du Cinéma
Une plongée douce-amère et juste dans notre monde post-moderne.
Ouest France
Un film radical, politique et féministe.
Paris Match
Fable politique, récit générationnel, portrait d’un homme se croyant condamné à qui l'on envoie un test de grossesse positif : « Avant l’effondrement » fait valser les genres et les étiquettes.
aVoir-aLire.com
Surprenant et original, Après l’effondrement rappelle avec délectation que l’avenir politique et écologique est entre les mains de la jeunesse d’aujourd’hui, dans un style délicat et sensible qui semble un écho à Truffaut.
La Croix
Énergiquement ancré dans nos temps perturbés, ce film affiche une fraîcheur inattendue. Tristan se construit peu à peu, jusqu’à découvrir qu’une issue est possible.
Cahiers du Cinéma
Si Avant l’effondrement fait mouche comme miroir de certaines inquiétudes et contradictions d’une génération née sous le signe de la crise (écologique, sentimentale, sanitaire, politique) et dont il n’épargne pas la ringardise, on a la sensation de n’y entendre qu’une seule et même voix, au mieux érudite, au pire sociologique, prompte à uniformiser les expériences.
Le Monde
Il y manque l’essentiel : des personnages plutôt que des acteurs qui récitent un texte, une histoire dont la concertation laisse une place à la foi, et cette corrélation organique et sorcière entre les deux qu’on appelle le cinéma.
Libération
Oscillant entre drame filial et comédie éco-anxieuse, le premier film d’Alice Zeniter et Benoît Volnais ne trouve pas le ton.
Le Journal du Dimanche
Avec le pitch d'un vaudeville ras des pâquerettes, mais de lourdes intentions à mettre en scène l'effondrement ambiant, ce film s'affaisse faute de boussole, de dialogues tenus et de direction d'acteurs.
Première
Le résultat est caricaturalement klapischien, avec une inflexion un peu moins popu, et un peu plus Sciences Po ; cela se voudrait à la fois intellectuel et organique, politique et fantaisiste, mais c’est désagréablement emprunté dans tous ces registres.