Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Alice Winocour tisse un bouleversant récit sur la fragilité de l’existence et la force du collectif.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Virginie Efira et Benoît Magimel servent avec force Revoir Paris, un film sensible, plein d’intelligence et de retenue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La réalisatrice de « Proxima » empoigne l'époque à bras-le-corps pour dresser le portrait de sa ville au lendemain des attentats. Deux mois après les verdicts du procès des attaques du 13 Novembre, « Revoir Paris » est le film cathartique que la capitale attendait.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Du grand cinéma.
Public
par Marie-Pierre Galinon
Même si la douleur et le sang sont là, ce très beau film parle surtout d'amour, d'espoir et de résilience.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
En faisant se côtoyer la réalité d’une douloureuse reconstruction et le romanesque d’une histoire d’amour, la cinéaste livre une réflexion subtile sur la résilience et la vie, plus fortes que la barbarie.
Voici
par La Rédaction
La réalisatrice du beau Proxima filme cette résilience avec pudeur, émotion et délicatesse.
20 Minutes
par Caroline Vié
Virginie Efira et Benoît Magimel sont exceptionnels dans la peau d’êtres traumatisés mais courageux face à l’épreuve qu’ils ont vécue.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Chloé Ronchin
Alice Winocour signe un film sur la mémoire traumatique d'une forte intensité émotionnelle, et devant lequel il est bien difficile de retenir ses larmes.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par J.B.
Avec ce film poignant, Alice Winocour met en scène le bonheur du (re)vivre ensemble.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un récit poignant sur la reconstruction, la résilience et la réparation, avec Virginie Efira et Benoît Magimel en survivants du trou noir.
Ecran Large
par Simon Riaux
Et si toute la grâce fragile et précieuse du long-métrage d'Alice Winocour tenait précisément dans la promesse de son titre ? Revoir Paris parvient contre toute attente à renouveler notre regard sur une Cité et ceux qui la peuplent, y compris dans la douleur. Et tant pis si cette errance parfois lumineuse se paie au prix de quelques approximations narratives.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Sophie Rosemont
Et si l'ouverture du film marque durablement nos sens, son dénouement montre à quel point notre société est tissée d'invisibles liens.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Encore une belle prestation de Virginie Efira, forte et digne, sans outrances.
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
Troublante de crédibilité dans sa quête de résilience, Virginie Efira, survivante de l'attentat, forme avec Benoît Magimel un duo complémentaire et réjouissant. Un film puissant qui ne peut laisser indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Chantre des femmes « à côté » (la mère-spationaute de « Proxima », la patiente du Pr Charcot d’« Augustine »), la cinéaste mêle à sa sensibilité éthérée une approche très concrète, documentée, de ses sujets et signe un film funambule, à l’équilibre instable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film pudique et sensible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Somnambules égarés, Virginie Efira et Benoît Magimel d’abord sont comme des ombres qui se déplacent dans la nuit (...). On éprouve une absolue empathie pour leurs fragilités, leurs blessures, leur tragédie qui collectivement a été la nôtre, et on partage l’élan vital de cette sensible et douce ode à la vie qu’est Revoir Paris.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film très au-dessus de ses concurrents sur le sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Soutenue par un Benoît Magimel lumineux dans sa légèreté de façade, Virginie Efira impose sa grande justesse dans ce personnage de femme résolue à avancer sans oublier.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Se réconcilier avec Paris, pour l’héroïne, ce n’est pas seulement réussir à prendre un café en terrasse sans plus trop penser aux terroristes. C’est se réveiller hagard et ne plus reconnaître sa ville. Efira renouvelle presque le genre du zombie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Alice Winocour aborde avec une pudeur poignante la réparation des corps et des âmes brisés par le terrorisme. Virgine Efira et Benoît Magimel y excellent.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Alice Winocour aborde (presque) frontalement le 13-Novembre. Et s’en tire avec un peu plus que les honneurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Voilà la chose simple mais éminemment belle que murmure le film à ces personnages autant qu’à ses spectateurs et spectatrices : ça-a-été. Essayons de vivre avec.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce film sensible, incarné magistralement par Virginie Efira, examine avec pudeur l’univers des survivants et le combat de ces derniers pour reconstituer leur existence et affronter de nouveau le quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Oser ressortir, se réapproprier la ville, vouloir comprendre pour ne plus culpabiliser, autant de thématiques qu’Alice Winocour traite avec une rare pudeur et une grande intelligence dans cet hymne à la vie [...].
Positif
par Ariane Allard
Non pas « un film sur les attentats du 13 novembre », mais l’évocation libre et subjective d’un traumatisme personnel, qui confirme en outre le grand talent de directrice [d'Alice Winocour] [...] d’acteurs : Virginie Efira, Benoît Magimel et Grégoire Colin en tête, mais jusqu’au rôle le plus infime, car c’est un film choral. Il en résulte une œuvre sur la mémoire individuelle et collective, celle des images et des sons partagés, donc un peu sur le cinéma lui-même.
Transfuge
par Serge Kaganski
Superbe film de reconstruction, entre réalisme, mélodrame sec et fantastique.
Télérama
par Mathilde Blottière
Un beau film choral, porté par la toujours juste Virginie Efira.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Un véritable film de fantômes, autant qu’un pèlerinage intérieur vers la lumière.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Sandra Onana
Copieux, le programme émotionnel touche ses limites en assignant chaque personnage aux fonctions prévues par la construction dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Winocour (re)donne voix et corps à des traumatismes qui sont devenus bien plus que ça - un fait social, un enjeu politique - au fil d’une oeuvre aussi déchirante que digne et puissamment organique (remarquable travail sur le son).
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Outre la superbe photographie de Stéphane Fontaine, la BO est assurée par Anna von Hausswolff, dont l’étrange post-métal gothique sert le propos, tout en clair-obscur, de Revoir Paris.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 2 semaines
par M.G.
Malgré son sujet difficile, cette fiction évite le sensationnalisme.
Télé Loisirs
par M.G.
Malgré son sujet difficile, cette fiction évite le sensationnalisme. Virginie Efira, très sobre, crève l'écran dans la peau d'une survivante déboussolée.
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Le problème du film vient plutôt de sa focalisation : la centralité de l’héroïne personnalisant à l’excès la question de l’attentat, ramenée à une trame purement psychologique et débouchant sur une bien pâle romance ‘‘résiliente’’ (...).
Bande à part
Alice Winocour tisse un bouleversant récit sur la fragilité de l’existence et la force du collectif.
L'Humanité
Virginie Efira et Benoît Magimel servent avec force Revoir Paris, un film sensible, plein d’intelligence et de retenue.
Les Echos
La réalisatrice de « Proxima » empoigne l'époque à bras-le-corps pour dresser le portrait de sa ville au lendemain des attentats. Deux mois après les verdicts du procès des attaques du 13 Novembre, « Revoir Paris » est le film cathartique que la capitale attendait.
Ouest France
Du grand cinéma.
Public
Même si la douleur et le sang sont là, ce très beau film parle surtout d'amour, d'espoir et de résilience.
Télé 7 Jours
En faisant se côtoyer la réalité d’une douloureuse reconstruction et le romanesque d’une histoire d’amour, la cinéaste livre une réflexion subtile sur la résilience et la vie, plus fortes que la barbarie.
Voici
La réalisatrice du beau Proxima filme cette résilience avec pudeur, émotion et délicatesse.
20 Minutes
Virginie Efira et Benoît Magimel sont exceptionnels dans la peau d’êtres traumatisés mais courageux face à l’épreuve qu’ils ont vécue.
CNews
Alice Winocour signe un film sur la mémoire traumatique d'une forte intensité émotionnelle, et devant lequel il est bien difficile de retenir ses larmes.
Closer
Avec ce film poignant, Alice Winocour met en scène le bonheur du (re)vivre ensemble.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un récit poignant sur la reconstruction, la résilience et la réparation, avec Virginie Efira et Benoît Magimel en survivants du trou noir.
Ecran Large
Et si toute la grâce fragile et précieuse du long-métrage d'Alice Winocour tenait précisément dans la promesse de son titre ? Revoir Paris parvient contre toute attente à renouveler notre regard sur une Cité et ceux qui la peuplent, y compris dans la douleur. Et tant pis si cette errance parfois lumineuse se paie au prix de quelques approximations narratives.
Elle
Et si l'ouverture du film marque durablement nos sens, son dénouement montre à quel point notre société est tissée d'invisibles liens.
Femme Actuelle
Encore une belle prestation de Virginie Efira, forte et digne, sans outrances.
Franceinfo Culture
Troublante de crédibilité dans sa quête de résilience, Virginie Efira, survivante de l'attentat, forme avec Benoît Magimel un duo complémentaire et réjouissant. Un film puissant qui ne peut laisser indifférent.
L'Obs
Chantre des femmes « à côté » (la mère-spationaute de « Proxima », la patiente du Pr Charcot d’« Augustine »), la cinéaste mêle à sa sensibilité éthérée une approche très concrète, documentée, de ses sujets et signe un film funambule, à l’équilibre instable.
La Croix
Un film pudique et sensible.
Le Dauphiné Libéré
Somnambules égarés, Virginie Efira et Benoît Magimel d’abord sont comme des ombres qui se déplacent dans la nuit (...). On éprouve une absolue empathie pour leurs fragilités, leurs blessures, leur tragédie qui collectivement a été la nôtre, et on partage l’élan vital de cette sensible et douce ode à la vie qu’est Revoir Paris.
Le Figaro
Un film très au-dessus de ses concurrents sur le sujet.
Le Journal du Dimanche
Soutenue par un Benoît Magimel lumineux dans sa légèreté de façade, Virginie Efira impose sa grande justesse dans ce personnage de femme résolue à avancer sans oublier.
Le Monde
Se réconcilier avec Paris, pour l’héroïne, ce n’est pas seulement réussir à prendre un café en terrasse sans plus trop penser aux terroristes. C’est se réveiller hagard et ne plus reconnaître sa ville. Efira renouvelle presque le genre du zombie.
Le Parisien
Émouvant.
Le Point
Alice Winocour aborde avec une pudeur poignante la réparation des corps et des âmes brisés par le terrorisme. Virgine Efira et Benoît Magimel y excellent.
Les Fiches du Cinéma
Alice Winocour aborde (presque) frontalement le 13-Novembre. Et s’en tire avec un peu plus que les honneurs.
Les Inrockuptibles
Voilà la chose simple mais éminemment belle que murmure le film à ces personnages autant qu’à ses spectateurs et spectatrices : ça-a-été. Essayons de vivre avec.
Marianne
Ce film sensible, incarné magistralement par Virginie Efira, examine avec pudeur l’univers des survivants et le combat de ces derniers pour reconstituer leur existence et affronter de nouveau le quotidien.
Paris Match
Oser ressortir, se réapproprier la ville, vouloir comprendre pour ne plus culpabiliser, autant de thématiques qu’Alice Winocour traite avec une rare pudeur et une grande intelligence dans cet hymne à la vie [...].
Positif
Non pas « un film sur les attentats du 13 novembre », mais l’évocation libre et subjective d’un traumatisme personnel, qui confirme en outre le grand talent de directrice [d'Alice Winocour] [...] d’acteurs : Virginie Efira, Benoît Magimel et Grégoire Colin en tête, mais jusqu’au rôle le plus infime, car c’est un film choral. Il en résulte une œuvre sur la mémoire individuelle et collective, celle des images et des sons partagés, donc un peu sur le cinéma lui-même.
Transfuge
Superbe film de reconstruction, entre réalisme, mélodrame sec et fantastique.
Télérama
Un beau film choral, porté par la toujours juste Virginie Efira.
aVoir-aLire.com
Un véritable film de fantômes, autant qu’un pèlerinage intérieur vers la lumière.
Libération
Copieux, le programme émotionnel touche ses limites en assignant chaque personnage aux fonctions prévues par la construction dramatique.
Première
Winocour (re)donne voix et corps à des traumatismes qui sont devenus bien plus que ça - un fait social, un enjeu politique - au fil d’une oeuvre aussi déchirante que digne et puissamment organique (remarquable travail sur le son).
Rolling Stone
Outre la superbe photographie de Stéphane Fontaine, la BO est assurée par Anna von Hausswolff, dont l’étrange post-métal gothique sert le propos, tout en clair-obscur, de Revoir Paris.
Télé 2 semaines
Malgré son sujet difficile, cette fiction évite le sensationnalisme.
Télé Loisirs
Malgré son sujet difficile, cette fiction évite le sensationnalisme. Virginie Efira, très sobre, crève l'écran dans la peau d'une survivante déboussolée.
Cahiers du Cinéma
Le problème du film vient plutôt de sa focalisation : la centralité de l’héroïne personnalisant à l’excès la question de l’attentat, ramenée à une trame purement psychologique et débouchant sur une bien pâle romance ‘‘résiliente’’ (...).