Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
« Any Day Now » est d’autant plus fort que le cinéaste ne veut rien démontrer. Sinon la profonde humanité de ces invisibles, indésirables. Et inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Inspiré de l’expérience du réalisateur, un film touchant, au déroulé subtil.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Any Day Now cherche et trouve, à chaque seconde et par tous les moyens, des façons de résister en inventant : résister à la seule tristesse, à la seule colère ou désespoir, à l’impuissance lugubre, glauque au sens cinématographique du terme, à laquelle son «sujet» aurait pu confiner son film, pour le faire au contraire repartir ou rejaillir sans cesse du côté de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Si l’on ajoute à l’originalité de traitement de belles idées de cadre et de lumière, on comprendra l’envie d’avoir très vite des nouvelles de Hamy Ramezan.
Télérama
par Samuel Douhaire
Any Day Now, premier long métrage d’un réalisateur finnois ayant fui la guerre Iran-Irak lorsqu’il avait 7 ans, exprime aussi bien l’insouciance de la jeunesse que l’inhumanité des procédures administratives applicables aux demandeurs d’asile. Avec une élégance et une douceur inattendues dans la mise en scène qui rendent d’autant plus poignante la menace qui pèse sur Ramin et ses proches.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
"Any Day Now" parvient, par la modestie de son geste, à dénoncer l’injustice dont sont victimes ces êtres humains, déplacés de part et d’autre d’une Europe forteresse cloîtrée dans son égoïsme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Si les personnages secondaires manquent d’épaisseur, si la Finlande apparaît comme un éden, on se laisse embarquer par la dignité de ce clan espiègle, ses danses silencieuses (surtout ne pas faire de bruit), le jeu des acteurs et la force tranquille de ce drame paisible, donc d’autant plus terrible, sur le temps compté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Any day now se lit donc comme une chronique de l’insouciance où, même si Ramin pressent l’anxiété ambiante, son esprit est d’abord occupé à faire les 400 coups avec ses copains et à se rapprocher de celle dont il a le béguin. Ce contraste se déploie avec une grande justesse sans jamais courir après une émotion forcée et donne naissance à un geste limpide et particulièrement émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Égrenant toutes les étapes classiques du coming of age movie, Any Day Now vaut surtout par la fraîcheur de ses interprètes, notamment féminins.
Le Parisien
« Any Day Now » est d’autant plus fort que le cinéaste ne veut rien démontrer. Sinon la profonde humanité de ces invisibles, indésirables. Et inoubliables.
Les Fiches du Cinéma
Inspiré de l’expérience du réalisateur, un film touchant, au déroulé subtil.
Libération
Any Day Now cherche et trouve, à chaque seconde et par tous les moyens, des façons de résister en inventant : résister à la seule tristesse, à la seule colère ou désespoir, à l’impuissance lugubre, glauque au sens cinématographique du terme, à laquelle son «sujet» aurait pu confiner son film, pour le faire au contraire repartir ou rejaillir sans cesse du côté de la vie.
Positif
Si l’on ajoute à l’originalité de traitement de belles idées de cadre et de lumière, on comprendra l’envie d’avoir très vite des nouvelles de Hamy Ramezan.
Télérama
Any Day Now, premier long métrage d’un réalisateur finnois ayant fui la guerre Iran-Irak lorsqu’il avait 7 ans, exprime aussi bien l’insouciance de la jeunesse que l’inhumanité des procédures administratives applicables aux demandeurs d’asile. Avec une élégance et une douceur inattendues dans la mise en scène qui rendent d’autant plus poignante la menace qui pèse sur Ramin et ses proches.
Culturopoing.com
"Any Day Now" parvient, par la modestie de son geste, à dénoncer l’injustice dont sont victimes ces êtres humains, déplacés de part et d’autre d’une Europe forteresse cloîtrée dans son égoïsme.
L'Obs
Si les personnages secondaires manquent d’épaisseur, si la Finlande apparaît comme un éden, on se laisse embarquer par la dignité de ce clan espiègle, ses danses silencieuses (surtout ne pas faire de bruit), le jeu des acteurs et la force tranquille de ce drame paisible, donc d’autant plus terrible, sur le temps compté.
Première
Any day now se lit donc comme une chronique de l’insouciance où, même si Ramin pressent l’anxiété ambiante, son esprit est d’abord occupé à faire les 400 coups avec ses copains et à se rapprocher de celle dont il a le béguin. Ce contraste se déploie avec une grande justesse sans jamais courir après une émotion forcée et donne naissance à un geste limpide et particulièrement émouvant.
Transfuge
Égrenant toutes les étapes classiques du coming of age movie, Any Day Now vaut surtout par la fraîcheur de ses interprètes, notamment féminins.