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Un récit percuté par l’histoire géopolitique du XXIe siècle naissant. Par petites touches pudiques, elle dessine, entre certitudes sentimentales et doutes vertigineux, le désarroi puis la détresse de son héroïne, sans jamais forcer le trait psychologique ni appuyer son coup de théâtre final. Brillant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un film fort et émouvant, qui aborde avec une grande justesse un sujet rarement évoqué dans une fiction de cinéma : le quotidien des femmes de terroristes, qui aiment passionnément leur compagnon sans forcément adhérer à leurs croyances et à leur fanatisme meurtrier…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Histoire d’une passion amoureuse confrontée à la radicalisation, ce drame débute à la manière d’une chronique avant d’opérer un virage habile vers le suspense. À travers ce pari risqué, la réalisatrice vient glisser un propos pertinent sur la culpabilité.
C’est le portrait impénétrable de quelqu’un qui ne change pas au côté de quelqu’un qui se transforme. Un film de subjectivité butée ordonnée en chronique, qui lui permet une opportune et intelligente mise à distance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette chronique sensible de l’aveuglement amoureux, mise en scène avec une grande sensualité, doit beaucoup à ses comédiens, Roger Azar, séduisant par son opacité, et, surtout, Canan Kir, touchante jusque dans les contradictions de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La caméra balance en même temps que ces cœurs juvéniles. Le spectateur, lui, est tenu à distance. On comprendra pourquoi plus tard. Un revirement de situation est censé transfigurer cette chronique amoureuse. Il n'y parvient qu'à moitié.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Remarquablement incarnée par Canan Kir et admirablement scénarisée, cette réflexion sur la radicalisation sort des sentiers battus par ce parti pris constant de la faire vivre par le prisme de la passion amoureuse aveuglante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mais le point de vue de la femme amoureuse était-il le meilleur ? Occupé à décrire son aveuglement, le film se rend délibérément myope et passe à côté de son sujet.
L'Obs
Un récit percuté par l’histoire géopolitique du XXIe siècle naissant. Par petites touches pudiques, elle dessine, entre certitudes sentimentales et doutes vertigineux, le désarroi puis la détresse de son héroïne, sans jamais forcer le trait psychologique ni appuyer son coup de théâtre final. Brillant.
Le Parisien
Un film fort et émouvant, qui aborde avec une grande justesse un sujet rarement évoqué dans une fiction de cinéma : le quotidien des femmes de terroristes, qui aiment passionnément leur compagnon sans forcément adhérer à leurs croyances et à leur fanatisme meurtrier…
Les Fiches du Cinéma
Histoire d’une passion amoureuse confrontée à la radicalisation, ce drame débute à la manière d’une chronique avant d’opérer un virage habile vers le suspense. À travers ce pari risqué, la réalisatrice vient glisser un propos pertinent sur la culpabilité.
Libération
C’est le portrait impénétrable de quelqu’un qui ne change pas au côté de quelqu’un qui se transforme. Un film de subjectivité butée ordonnée en chronique, qui lui permet une opportune et intelligente mise à distance.
Ouest France
Intense et haletant.
Télérama
Cette chronique sensible de l’aveuglement amoureux, mise en scène avec une grande sensualité, doit beaucoup à ses comédiens, Roger Azar, séduisant par son opacité, et, surtout, Canan Kir, touchante jusque dans les contradictions de son personnage.
Le Figaro
La caméra balance en même temps que ces cœurs juvéniles. Le spectateur, lui, est tenu à distance. On comprendra pourquoi plus tard. Un revirement de situation est censé transfigurer cette chronique amoureuse. Il n'y parvient qu'à moitié.
Première
Remarquablement incarnée par Canan Kir et admirablement scénarisée, cette réflexion sur la radicalisation sort des sentiers battus par ce parti pris constant de la faire vivre par le prisme de la passion amoureuse aveuglante.
Le Journal du Dimanche
Touchant mais superficiel.
Le Monde
Mais le point de vue de la femme amoureuse était-il le meilleur ? Occupé à décrire son aveuglement, le film se rend délibérément myope et passe à côté de son sujet.