Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
All Eyes Off Me confirme la délicatesse d’une cinéaste de l’intime. Après son premier long métrage People that are not me, Hadas Ben Aroya creuse plus encore ici ce lieu de solitude et de vacillement de toute certitude : elle en questionne l’essence même.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Cinéaste israélienne, Hadas Ben Aroya traduit toute la solitude d'une époque connectée dans son second long-métrage. Un film charnel, cru, frontal et déchirant sur une dérive sentimentale.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Fabien Baumann
All Eyes Off Me signe l’avènement d’une réalisatrice étonnante mais aussi d’une actrice incroyable, Elisheva Weil.
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Sexe, drogue et musique... derrière son programme faussement adolescent MTV, All Eyes Off Me épouse le regard inquiet d'une jeunesse intranquille. Hadas ben Aroya signe un second long-métrage tout en finesse, captant avec tendresse et acuité l'intimité et l'incertitude d'une certaine jeunesse israélienne.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On voit donc se confirmer (...) une tendance du cinéma israélien qui rompt avec l’âge d’or des années 2000, marqué par des films d’auteur qui ne perdaient jamais de vue la prééminence de la chose collective.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Avec ce deuxième film, découpé en trois chapitres liés, Hadas Ben Aroya (People That Are Not Me) continue d’explorer, sans fards ni artifices, les beautés et les tourments de l’intimité. Entre mélancolie et insolence, son portrait de la jeunesse israélienne ravit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
La jeune cinéaste Hadas Ben Aroya porte son regarde aiguisé sur les pratiques intimes de la jeunesse israélienne, brouillées et complexifiées par les nouvelles technologies.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Une variation frontale sur nos corps impatients qui touche en plein coeur.
Transfuge
par Séverine Danflous
Si Hadas Ben Aroya ne retrouve pas la fougue et la fraîcheur de son premier long, elle capte néanmoins quelque chose du désarroi qui affleurait déjà dans "People There Are Not Me".
Cahiers du Cinéma
par Lucile Commeaux
Dans les étreintes répétées de Max et d’Avishag, d’où émerge plaisir, dégoût et lassitude, se fonde une grammaire amoureuse qui échappe à la fête et aux normes pornographiques.
Critikat.com
par Julie Mengelle
Par cette approche des corps, la cinéaste aborde l’intime comme un terrain complexe que les personnages explorent à tâtons.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Fascinant pour certains, agaçant pour d’autres, le film (dont le sujet est, selon la réalisatrice, est « l’intimité ») est clivant – et pas toujours convaincant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Quelque chose d’organique dans la manière d’appréhender les corps, de capter la parole, retient ici l’attention.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le premier segment est très réussi, les deux autres un peu moins… Mais les dialogues sans tabous et la mise en scène énergique de Hadas Ben Aroya font toujours mouche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
All Eyes Off Me confirme la délicatesse d’une cinéaste de l’intime. Après son premier long métrage People that are not me, Hadas Ben Aroya creuse plus encore ici ce lieu de solitude et de vacillement de toute certitude : elle en questionne l’essence même.
Les Echos
Cinéaste israélienne, Hadas Ben Aroya traduit toute la solitude d'une époque connectée dans son second long-métrage. Un film charnel, cru, frontal et déchirant sur une dérive sentimentale.
Positif
All Eyes Off Me signe l’avènement d’une réalisatrice étonnante mais aussi d’une actrice incroyable, Elisheva Weil.
Ecran Large
Sexe, drogue et musique... derrière son programme faussement adolescent MTV, All Eyes Off Me épouse le regard inquiet d'une jeunesse intranquille. Hadas ben Aroya signe un second long-métrage tout en finesse, captant avec tendresse et acuité l'intimité et l'incertitude d'une certaine jeunesse israélienne.
Le Monde
On voit donc se confirmer (...) une tendance du cinéma israélien qui rompt avec l’âge d’or des années 2000, marqué par des films d’auteur qui ne perdaient jamais de vue la prééminence de la chose collective.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce deuxième film, découpé en trois chapitres liés, Hadas Ben Aroya (People That Are Not Me) continue d’explorer, sans fards ni artifices, les beautés et les tourments de l’intimité. Entre mélancolie et insolence, son portrait de la jeunesse israélienne ravit.
Les Inrockuptibles
La jeune cinéaste Hadas Ben Aroya porte son regarde aiguisé sur les pratiques intimes de la jeunesse israélienne, brouillées et complexifiées par les nouvelles technologies.
Marie Claire
Une variation frontale sur nos corps impatients qui touche en plein coeur.
Transfuge
Si Hadas Ben Aroya ne retrouve pas la fougue et la fraîcheur de son premier long, elle capte néanmoins quelque chose du désarroi qui affleurait déjà dans "People There Are Not Me".
Cahiers du Cinéma
Dans les étreintes répétées de Max et d’Avishag, d’où émerge plaisir, dégoût et lassitude, se fonde une grammaire amoureuse qui échappe à la fête et aux normes pornographiques.
Critikat.com
Par cette approche des corps, la cinéaste aborde l’intime comme un terrain complexe que les personnages explorent à tâtons.
L'Obs
Fascinant pour certains, agaçant pour d’autres, le film (dont le sujet est, selon la réalisatrice, est « l’intimité ») est clivant – et pas toujours convaincant.
La Septième Obsession
Quelque chose d’organique dans la manière d’appréhender les corps, de capter la parole, retient ici l’attention.
Télérama
Le premier segment est très réussi, les deux autres un peu moins… Mais les dialogues sans tabous et la mise en scène énergique de Hadas Ben Aroya font toujours mouche.