Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un film savoureusement cruel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un thriller grinçant, mêlant comédie et suspense, qui met à nu le cynisme hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une excellente satire du milieu et de son cynisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce que montre le film, c'est que la prédation sexuelle, loin d'en être la conséquence, marche avec la conquête du pouvoir.
Ouest France
par Cédric Page
Une très réjouissante bizarrerie.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sous ses airs de fable, « The Beta Test » est une illustration féroce de cette Amérique aux rêves malades, mais le récit est tellement bien écrit, Jim Cunning apporte une telle humanité à cet homme assiégé par des désirs sauvages, que le portrait qui a priori ne devrait pas être attachant s’en trouve irrésistible.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le troisième film de Jim Cummings manifeste d'une grande ambition mais est déchiré entre se senvies de thriller et se squalités de satire.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Tout l’intérêt de The Beta Test réside dans ce portrait en creux d’un système (Hollywood) qui n’a pas tant changé, malgré les garanties de moralité qu’il nous offre sans cesse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Après le surestimé « Thunder Road », l’acteur-réalisateur Jim Cummings, sorte de Jim Carrey du cinéma indépendant, fait mieux avec cette satire tordue de Hollywood, temple du stupre et de la promotion canapé, à l’heure de #MeToo, du cybertrafic et du néopuritanisme. Inégal mais stimulant, avec un insolite côté thriller autour de la virilité toxique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Plus abouti que Thunder Road, cette satire tourne à plein régime autour d’un personnage qui n’est que le fruit de son milieu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Après avoir décroché le Grand Prix au Festival de Deauville pour Thunder Road (2018), Jim Cummings signe une nouvelle satire mordante et délirante pour torpiller le cynisme d'Hollywood et le puritanisme de l'Amérique, où l'adultère pousse au meurtre !
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Intrigant mais bavard.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Si le film s’avère plus confus lorsqu’il s’attaque au thriller, il produit quelques merveilles de comédie grinçante, tout en malaise, lorsqu’il s’attaque avec férocité au microcosme hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
C’est mordant, contemporain en diable - on imagine bien un site de rencontre développer la même idée dans les mois/années à venir - et [...] le côté survolté du personnage peut lasser sur la durée [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Fabien Baumann
On n’a pas besoin de passer une heure et demie avec un gominé cadre sup de Los Angeles à petit costard cintré et godasses pointues pour le trouver superficiel. Mais la performance de Jim Cummings comme comédien vaut le détour, entre regard gagné peu à peu par le vide, emportements abrupts de la diction et gestuelle menacée de révolte épileptique.
Première
par François Léger
Los Angeles filmée comme une industrie du cauchemar ? Bien sûr qu’on a déjà vu ça mille fois ailleurs. Mais Cummings, singulier dans son regard et sa mise en scène, questionne aussi - surtout ? - l’individualité et la possibilité d’exister en dehors du regard de l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
La vie professionnelle et la vie privée de Jordan sont un empilement de mensonges, d’hypocrisies, de renoncements, d’humiliations… Les voir décortiqués pendant quatre-vingt-dix minutes, comme un cas clinique, provoque un sentiment étrange, entre le dégoût et la fascination.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Carrément déroutant, mais on peut se laisser prendre par ce thriller tragi-comique parodique et cynique.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Une satire qui se veut sulfureuse, mais s'avère surtout bancale et confuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Variation sur le thème du yuppie arrogant tombant dans la cage d’escalier existentielle, The Beta Test s’imagine assez clairement en pendant contemporain d’American Psycho ou d’Embrasse-moi vampire, mais ne réussit hélas à évoquer rien d’autre qu’un zapping frénétique et passablement exaspérant entre Gone Girl, The Player, Eyes Wide Shut et même le Zèbre de Jean Poiret.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
S’il est savoureux de voir ce triste sire se cogner à une telle énigme et se noyer dans une enquête parano, le film n’évite pas de jouer sa partition de fable morale, souvent de mise lorsqu’une leçon est donnée à un personnage imbuvable.
20 Minutes
Un film savoureusement cruel.
L'Humanité
Un thriller grinçant, mêlant comédie et suspense, qui met à nu le cynisme hollywoodien.
Le Figaro
Une excellente satire du milieu et de son cynisme.
Le Monde
Ce que montre le film, c'est que la prédation sexuelle, loin d'en être la conséquence, marche avec la conquête du pouvoir.
Ouest France
Une très réjouissante bizarrerie.
Sud Ouest
Sous ses airs de fable, « The Beta Test » est une illustration féroce de cette Amérique aux rêves malades, mais le récit est tellement bien écrit, Jim Cunning apporte une telle humanité à cet homme assiégé par des désirs sauvages, que le portrait qui a priori ne devrait pas être attachant s’en trouve irrésistible.
CinemaTeaser
Le troisième film de Jim Cummings manifeste d'une grande ambition mais est déchiré entre se senvies de thriller et se squalités de satire.
Critikat.com
Tout l’intérêt de The Beta Test réside dans ce portrait en creux d’un système (Hollywood) qui n’a pas tant changé, malgré les garanties de moralité qu’il nous offre sans cesse.
L'Obs
Après le surestimé « Thunder Road », l’acteur-réalisateur Jim Cummings, sorte de Jim Carrey du cinéma indépendant, fait mieux avec cette satire tordue de Hollywood, temple du stupre et de la promotion canapé, à l’heure de #MeToo, du cybertrafic et du néopuritanisme. Inégal mais stimulant, avec un insolite côté thriller autour de la virilité toxique.
La Croix
Plus abouti que Thunder Road, cette satire tourne à plein régime autour d’un personnage qui n’est que le fruit de son milieu.
Le Journal du Dimanche
Après avoir décroché le Grand Prix au Festival de Deauville pour Thunder Road (2018), Jim Cummings signe une nouvelle satire mordante et délirante pour torpiller le cynisme d'Hollywood et le puritanisme de l'Amérique, où l'adultère pousse au meurtre !
Le Parisien
Intrigant mais bavard.
Les Inrockuptibles
Si le film s’avère plus confus lorsqu’il s’attaque au thriller, il produit quelques merveilles de comédie grinçante, tout en malaise, lorsqu’il s’attaque avec férocité au microcosme hollywoodien.
Paris Match
C’est mordant, contemporain en diable - on imagine bien un site de rencontre développer la même idée dans les mois/années à venir - et [...] le côté survolté du personnage peut lasser sur la durée [...].
Positif
On n’a pas besoin de passer une heure et demie avec un gominé cadre sup de Los Angeles à petit costard cintré et godasses pointues pour le trouver superficiel. Mais la performance de Jim Cummings comme comédien vaut le détour, entre regard gagné peu à peu par le vide, emportements abrupts de la diction et gestuelle menacée de révolte épileptique.
Première
Los Angeles filmée comme une industrie du cauchemar ? Bien sûr qu’on a déjà vu ça mille fois ailleurs. Mais Cummings, singulier dans son regard et sa mise en scène, questionne aussi - surtout ? - l’individualité et la possibilité d’exister en dehors du regard de l’autre.
Télérama
La vie professionnelle et la vie privée de Jordan sont un empilement de mensonges, d’hypocrisies, de renoncements, d’humiliations… Les voir décortiqués pendant quatre-vingt-dix minutes, comme un cas clinique, provoque un sentiment étrange, entre le dégoût et la fascination.
Voici
Carrément déroutant, mais on peut se laisser prendre par ce thriller tragi-comique parodique et cynique.
Les Fiches du Cinéma
Une satire qui se veut sulfureuse, mais s'avère surtout bancale et confuse.
Libération
Variation sur le thème du yuppie arrogant tombant dans la cage d’escalier existentielle, The Beta Test s’imagine assez clairement en pendant contemporain d’American Psycho ou d’Embrasse-moi vampire, mais ne réussit hélas à évoquer rien d’autre qu’un zapping frénétique et passablement exaspérant entre Gone Girl, The Player, Eyes Wide Shut et même le Zèbre de Jean Poiret.
Cahiers du Cinéma
S’il est savoureux de voir ce triste sire se cogner à une telle énigme et se noyer dans une enquête parano, le film n’évite pas de jouer sa partition de fable morale, souvent de mise lorsqu’une leçon est donnée à un personnage imbuvable.