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Un visiteur
2,5
Publiée le 14 juillet 2013
C'est vrai, le film est moyen... car il n'explore pas tous les thèmes de l'oeuvre de S.K. Mais par pitié, arrêté de dire que c'est une nouvelle ! Le truc fait plus de 600 pages !
Un joli film agréablement mis en scène et bien interprété, sur le bonheur de l'enfance et ses mystères, les premiers amours, les ami(e)s qu'ont perd ensuite de vue; et l' Amérique des années 60... On a néanmoins du mal à accrocher et suivre l'histoire (qui sont ces "hommes de l'ombre"?); qui part ailleurs manque terriblement de tempo. Reste la part poétique et les rêves de l'enfance, et ce mystérieux vieux monsieur... A voir par curiosité et pour Anthony Hopkins.
Une excellente surprise qui rappelle les grands films émotions qu'ont vus naître les années 90. Adapté d'une histoire de Stephen King, "Cœurs perdus en Atlantide" fait parti de ces rares longs-métrages qui parviennent à nous faire revivre cette période unique de notre vie : L'enfance. C'est donc avec étonnement et beaucoup de plaisir que l'on retrouve Anthony Hopkins dans un rôle qu'on ne lui connaissait pas. Jouant sur son calme habituel, l'interprète du Dr. Hannibal Lecter se montre attachant et remarquable dans la relation qu'il noue avec un petit garçon nommé Bobby et campé par Anton Yelchin. Narrateur du récit, le jeune acteur, âgé 13 ans à l'époque, réussit merveilleusement bien à attendrir et immerger le spectateur dans son univers. Accompagné d'une jeune actrice malheureusement perdue de vue aujourd'hui en la personne de Mika Boorem, le jeune garçon nous enchante dans ce qui se révèle être l'une des meilleures complicité d'enfants vu au cinéma depuis des années. N'évitant pas les clichés mais parvenant à les utiliser à bon escient, Scott Hicks joue habilement de son art pour y joindre une bande originale qui laisse parler l'imagination du spectateur. En résumé, "Cœurs perdus en Atlantide" donne une leçon de cinéma à toute les productions spielbergiennes actuelles qui ratent bien trop souvent le travail des jeunes personnages. Conservant un aspect fantastique caché ainsi qu'une touche de sérieux nécessaire à l'équilibre des évènements, ce drame tout public vous ramène des années en arrière où tout vous semblait possible.
Tout comme certains spectateurs, je suis resté perplexe une fois le générique de fin apparu à l'écran.Qui se cache derrière ce mystérieux personnage de Ted, pourquoi se lier d'amitié avec Bobby ou bien qui sont ces mystérieux personnages de l'ombre ? Je pense qu'au final, il faut voir dans "Coeurs perdus en Atlantide" une ode à la force de l'amitié ,une allégorie du passage de l'enfance au statut d'adulte et ses conséquences.Une thématique trés proche de Stand by me ( écrit également par Stephen King) mais peinte ici avec beaucoup plus de "métaphores" maladroites.Au final un petit film intéressant et assez touchant, mais pas assez pour mettre une claque émotionnelle.
Ce n'est pas tellement que je me sois ennuyée mais je n'ai pas réussi à définir quel était le thème, le propos du film. Il part dans tous les sens et n'approfondit rien, si ce n'est pas la relation entre Ted et Bobby, la seule chose vraiment à sauver dans ce film. Comme l'ont dit plusieurs membres, on s'attend à une révélation, mais elle ne vient jamais. Je n'ai pas lu les nouvelles de Stephen King mais on dit qu'en général le livre est mieux...
Bien que je ne connaisse Stephen King que par le nom sur les livres, je savais qu'il écrivait des choses un peu science fiction et assez étranges... Mais là ! Malgré le fait que j'ai essayé de me concentrer et de comprendre le fond de l'histoire, j'avoue n'avoir toujours rien compris. De plus, les sous entendus en reste à leur niveau et donc on s'attend à une révélation de taille alors que finalement ce n'est que ça. A certains moment, le film parait baclé et superficiel (ex: quand Carole pleure, désolé mais moi je trouve ça risible tant ça fait pas réaliste). Ensuite une fin qui laisse songeur, dans le mauvais sens, il fait réfléchir mais pas comem il faut ! On réfléchit pour essayez de comprendre l'histoire, où on essaie de déceler une éventuelle note de fantastique, et non parce qu'il nous a touché et qu'on essaie de s'impregner de ce qu'on vient de voir! A part quelques scènes drôles ou mystérieuses, on s'ennuie tant rien ne se passe et en même temps parce qu'on s'attendait à plus. Vraiment un mauvais film !
Ce film possède un gros défaut : sa musique de guimauve dégoulinante de la première à la dernière seconde. Quand on assomme le spectateur avec autant de musique, c'est pour cacher la misère du reste, et là ça ne manque pas. Anthony Hopkins essaye de sauver ce qu'il peut, on est vite plongés dans un vague sentiment d'ennui, car il ne se passe rien.
Aux coeurs des mystères qui sort des frontières. N'ayant pas lu la nouvelle de King, cette adaptation m'a bien secouer quand même. Anthony Hopkins avec personnage sacrément intriguant et attachant, dès son apparition je suis subjuguer d'intrigue et dans la hâte de savoir ou l'histoire nous embarque. Cette homme est pourchasse par des hommes de l'ombre dans une voiture noire, il va rencontrer un jeune garçon et les liens se nouent. A voir pour le voyage de la perception du monde, Coeurs perdus en Atlantide tient aussi par des scènes assez fortes avec un peu ce coté léger si je puis dire à la Malick.
Terriblement déçu par ce film. Etant un grand fan de Stephen King, et ayant lu toute sa saga de la tour sombre, j'attendais beaucoup plus de ce film. On a l'impression qu'entre le début et la fin du film, on n'a toujours pas avancé, il n'y a aucune évolution dans le scénario, aucun suspens retracé dans le livre n'est reproduit dans le film, les absences de Ted ne sont pas non plus expliquées. Les hommes en noir ne font même pas peur...bref un film complétement baclé, Stephen King doit s'en mordre les doigts. Dommage!
Très beau film de Scott Hicks, adapté d’une nouvelle du recueil du même nom, écrit par Stephen King. Dans le film, le photographe Bobby Garfield apprend la mort de son ami Sully, il se remémore de sa jeunesse durant l’été 1960 lorsqu’il avait 11 ans, de son amour de jeunesse Carol Gerber et de sa rencontre avec Ted Brautigan, un vieil homme mystérieux qui se dit pourchassé par des « hommes de l’ombre ». Je n’ai pas (encore) lu ce recueil de nouvelles, mais je sais que l’œuvre de Stephen King est beaucoup plus fantastique, alors que le film reste assez ambigu notamment en ce qui concerne le pouvoir de Ted Brautigan qu’on peut attribué comme étant de l’instinct. Ainsi le film est plus vu comme une aventure humaine que fantastique, où Bobby va beaucoup apprendre de Ted le considérant comme un ami voire comme une figure paternelle. Le réalisateur a pris quelque liberté dans ce film en changeant certains détails de l’œuvre original (par exemple, dans le film le personnage de Carol meurt au cours de sa vie, alors que dans la nouvelle elle vit toujours). Mais cela n’altère en rien la beauté de l’œuvre mais au contraire la rend plus intense et donne davantage de sens au message de ce film, où il faut consacrer de l’importance à chaque minutes de sa vie, et où l’enfance reste une étape importante de la vie. Le film s’intéresse au thème de l’enfance, de l’innocence qui est comparé à une sorte d’Atlantide: un paradis sur Terre vécu pendant l’enfance mais qui s’écroule à l’âge adulte, synonyme de cœur brisé. Les acteurs sont excellent, Anthony Hopkins exprime toujours un véritable talent d’acteur. J’ai passé un bon moment en visionnant ce film, où j’ai ressentie beaucoup d’émotions et d’intérets.
Coeurs Perdus en Atlantide est un petit drame de Scott Hicks mêlant fantastique et découverte de l'enfance. Mettant en vedette Anthony Hopkins, Anton Yelchin (Terminator 4) et David Morse (La Ligne Verte), le scénario est assez étrange en lui-même puisqu'il n'explique jamais clairement les fondements de l'histoire. Basé sur du sous-entendu, cela ne rend l'histoire que plus intéressante. En dépit de quelques scènes moins bonnes que les autres, le film reste bon dans l'ensemble.