Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ce noir et blanc infernal, c'est ce qu'on a vu de plus beau dans le polar récemment.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Thriller crépusculaire conçu en crescendo d’action, physiquement et émotionnellement épuisant, "Limbo" remet sur le devant de la scène un auteur oublié (ou perdu), autant qu’il réveille les fantômes d’une industrie autrefois d’une richesse inouïe.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Parisien
par Michel Valentin
Pour résumer, « Limbo » fait passer « Seven » pour « Les Sous-doués en vacances », et laisse au spectateur le goût paradoxal d’avoir à la fois frôlé les replis de l’âme humaine et pris plaisir à un thriller vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Thierry Chèze
Un suspense à couper le souffle.
Première
par Guillaume Bonnet
Une hallucination noire et blanche venue de Hong Kong, comme un cauchemar éveillé et humide signé Soi Cheang, styliste de l’extrême, de la douleur et de la putréfaction.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Caroline Vié
Le virtuose « Limbo » emporte le spectateur dans une suite de séquences violentes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un cauchemar ultra-violent, sublimé par son esthétique sophistiquée.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Le concentré de misanthropie putrescent et dégoulinant de crasse qui rafraichira votre été.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Laurent Silvestrini
Sublimé par une magnifique photo noir et blanc [...], tantôt expressionniste, tantôt cyber-punk, voire carrément rétro-futuriste [...], transcendé par d’incroyables mouvements de caméra quasi démiurgiques, ce grand thriller pré-apocalyptique [...] parvient avec grâce et facilité déconcertante à cocher toutes les cases du mauvais goût de la fameuse Catégorie III transgressive hongkongaise.
L'Obs
par N. S.
Tourné il y a cinq ans en couleur mais passé en noir et blanc pour en atténuer la violence, censuré en Chine, cet inoubliable cauchemar urbain doit sa sortie en salle à sa double consécration méritée (grand prix et prix de la critique) au festival Reims Polar. A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Expressionniste, violent et stupéfiant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Cette esthétique sophistiquée, dont ce noir et blanc superbe de cinéma expressionniste, rend le film fascinant. Un attrait morbide, mais puissant, pour amateur de sensations extrêmes.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Grand prix au festival Reims Polar, le film de Soi Cheang allie noirceur et virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Camille Nevers
Vision de Hongkong sidérante, hyperventilée et ultraviolente, le maniérisme est grandiose, saturé de références. On se croit parfois, autant que dans la démesure d’une histoire de voyous chinois à la Ringo Lam, Johnny To ou Bong Joon-Ho, dans un chaos charbonneux à la Alexeï Guerman qui se souviendrait du Samuel Fuller d’"Underworld USA".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
[Un] tour de force phénoménal, à la lisière de l'horreur.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
L’équilibre entre le thriller et l’aspect social est quasi-parfait et la réflexion sur le mal de vivre dans un monde sans pitié est savamment décliné.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Dans des décors labyrinthiques époustouflants, un polar d'une rare noirceur qui, avec sa réalisation constamment inventive, plonge les policiers comme les spectateurs dans un véritable enfer visuel.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Si une mince intrigue aux relents télévisuels ne fait pas honneur à cette réunion informelle de la firme Milkyway (directeur de la photographie, monteur et scénariste de Johnnie To sont présents), le noir et blanc de Limbo étonne par une suite de plans d’ensemble où les êtres pataugent dans une immense jungle urbaine striée d’ordures en décomposition.
Le Monde
par J.-F. R.
Le choix du noir et blanc, la lumière, la manière dont les plans sont surchargés, la création de décors sordides et monumentaux (décharges publiques géantes, bidonvilles, etc.) témoignent d’une virtuosité assez rare dans le genre. Mais ces qualités sont aussi des défauts.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Évidemment, ce parti pris radical, cette esthétique de l'extrême ont de quoi secouer le spectateur, l'amener du côté de la fascination ou du dégoût. Ici, la fiction vire au réalisme le plus cru, le plus cruel aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Polar noir, tirant même parfois sur le glauque un peu forcé, Limbo ravira les nostalgiques du cinéma hongkongais des années 1980-90. Si le noir et blanc est à couper le souffle, et l’atmosphère oppressante à souhait, la narration est en revanche très bancale.
Paris Match
par Yannick Vely
Le scénario est classique : la traque d’un serial-killer par deux flics aux parcours antagonistes les confronte à leurs propres démons et actes passés. C’est la vision d’une mégalopole enfouie sous les ordures et grouillante du Mal qui obscurcit l’âme humaine, qui prend aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par S.R.
Les mouvements de caméra ainsi que le soin apporté au son en font bien plus qu'un simple thriller haletant.
Télérama
par Marie Sauvion
Si le metteur en scène excelle dans les poursuites et les combats – comment oublier l’affrontement final, sous un déluge d’apocalypse ? –, il ne résiste pas toujours à la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Ce noir et blanc infernal, c'est ce qu'on a vu de plus beau dans le polar récemment.
Culturopoing.com
Thriller crépusculaire conçu en crescendo d’action, physiquement et émotionnellement épuisant, "Limbo" remet sur le devant de la scène un auteur oublié (ou perdu), autant qu’il réveille les fantômes d’une industrie autrefois d’une richesse inouïe.
Le Parisien
Pour résumer, « Limbo » fait passer « Seven » pour « Les Sous-doués en vacances », et laisse au spectateur le goût paradoxal d’avoir à la fois frôlé les replis de l’âme humaine et pris plaisir à un thriller vertigineux.
Ouest France
Un suspense à couper le souffle.
Première
Une hallucination noire et blanche venue de Hong Kong, comme un cauchemar éveillé et humide signé Soi Cheang, styliste de l’extrême, de la douleur et de la putréfaction.
20 Minutes
Le virtuose « Limbo » emporte le spectateur dans une suite de séquences violentes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un cauchemar ultra-violent, sublimé par son esthétique sophistiquée.
Ecran Large
Le concentré de misanthropie putrescent et dégoulinant de crasse qui rafraichira votre été.
L'Ecran Fantastique
Sublimé par une magnifique photo noir et blanc [...], tantôt expressionniste, tantôt cyber-punk, voire carrément rétro-futuriste [...], transcendé par d’incroyables mouvements de caméra quasi démiurgiques, ce grand thriller pré-apocalyptique [...] parvient avec grâce et facilité déconcertante à cocher toutes les cases du mauvais goût de la fameuse Catégorie III transgressive hongkongaise.
L'Obs
Tourné il y a cinq ans en couleur mais passé en noir et blanc pour en atténuer la violence, censuré en Chine, cet inoubliable cauchemar urbain doit sa sortie en salle à sa double consécration méritée (grand prix et prix de la critique) au festival Reims Polar. A ne pas manquer.
La Voix du Nord
Expressionniste, violent et stupéfiant.
Le Dauphiné Libéré
Cette esthétique sophistiquée, dont ce noir et blanc superbe de cinéma expressionniste, rend le film fascinant. Un attrait morbide, mais puissant, pour amateur de sensations extrêmes.
Le Figaro
Grand prix au festival Reims Polar, le film de Soi Cheang allie noirceur et virtuosité.
Libération
Vision de Hongkong sidérante, hyperventilée et ultraviolente, le maniérisme est grandiose, saturé de références. On se croit parfois, autant que dans la démesure d’une histoire de voyous chinois à la Ringo Lam, Johnny To ou Bong Joon-Ho, dans un chaos charbonneux à la Alexeï Guerman qui se souviendrait du Samuel Fuller d’"Underworld USA".
Mad Movies
[Un] tour de force phénoménal, à la lisière de l'horreur.
Sud Ouest
L’équilibre entre le thriller et l’aspect social est quasi-parfait et la réflexion sur le mal de vivre dans un monde sans pitié est savamment décliné.
Télé Loisirs
Dans des décors labyrinthiques époustouflants, un polar d'une rare noirceur qui, avec sa réalisation constamment inventive, plonge les policiers comme les spectateurs dans un véritable enfer visuel.
Cahiers du Cinéma
Si une mince intrigue aux relents télévisuels ne fait pas honneur à cette réunion informelle de la firme Milkyway (directeur de la photographie, monteur et scénariste de Johnnie To sont présents), le noir et blanc de Limbo étonne par une suite de plans d’ensemble où les êtres pataugent dans une immense jungle urbaine striée d’ordures en décomposition.
Le Monde
Le choix du noir et blanc, la lumière, la manière dont les plans sont surchargés, la création de décors sordides et monumentaux (décharges publiques géantes, bidonvilles, etc.) témoignent d’une virtuosité assez rare dans le genre. Mais ces qualités sont aussi des défauts.
Le Point
Évidemment, ce parti pris radical, cette esthétique de l'extrême ont de quoi secouer le spectateur, l'amener du côté de la fascination ou du dégoût. Ici, la fiction vire au réalisme le plus cru, le plus cruel aussi.
Les Fiches du Cinéma
Polar noir, tirant même parfois sur le glauque un peu forcé, Limbo ravira les nostalgiques du cinéma hongkongais des années 1980-90. Si le noir et blanc est à couper le souffle, et l’atmosphère oppressante à souhait, la narration est en revanche très bancale.
Paris Match
Le scénario est classique : la traque d’un serial-killer par deux flics aux parcours antagonistes les confronte à leurs propres démons et actes passés. C’est la vision d’une mégalopole enfouie sous les ordures et grouillante du Mal qui obscurcit l’âme humaine, qui prend aux tripes.
Rolling Stone
Les mouvements de caméra ainsi que le soin apporté au son en font bien plus qu'un simple thriller haletant.
Télérama
Si le metteur en scène excelle dans les poursuites et les combats – comment oublier l’affrontement final, sous un déluge d’apocalypse ? –, il ne résiste pas toujours à la complaisance.