Contes du hasard et autres fantaisies : Critique presse
Contes du hasard et autres fantaisies
Note moyenne
4,4
27 titres de presse
Cahiers du Cinéma
L'Humanité
Les Echos
Les Inrockuptibles
Libération
Ouest France
Positif
Transfuge
Télérama
Voici
20 Minutes
Bande à part
CinemaTeaser
Critikat.com
Ecran Large
L'Obs
La Croix
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
Première
Sud Ouest
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Chacune des trois histoires observe un langage chargé au plus haut niveau d’intensité : appel à l’acte (le souvenir encore vivace d’une relation amoureuse), provocations de langage (la lecture déplacée d’un texte indécent dans un bureau de fac), adresses émotionnelles de plus en plus amples (la reconnaissance et le partage des émotions enfouies de l’adolescence).
L'Humanité
par Sophie Joubert
On croirait une scène de théâtre, un plateau dépouillé où le verbe est au premier plan. Il faut une grande confiance en ses interprètes et en l’histoire qu’on raconte pour tenir le spectateur en haleine avec un récit de plusieurs minutes à l’arrière d’un taxi, sans autre image que le visage des actrices en gros plan et en champ-contrechamp.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Les « Contes du hasard » se déploient dans toute leur majesté en une oeuvre riche, sensuelle et attachante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
En trois récits et autant de variations post-rohmeriennes, le réalisateur de “Drive My Car” travaille avec une infinie finesse psychologique la question du choix et de la portée décisive de chaque rencontre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Trois histoires autonomes, où l’on trouve le meilleur du geste portraitiste de Senses, et incidemment, les portraits féminins les plus beaux de l’année, peut-être même les plus modernes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
La grâce absolue.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Cet ensemble de sketches [...] confirme l’acuité et la précision absolue d’un cinéaste qui depuis plus de dix ans, de documentaires en fictions hétéroclites, fait du dialogue et de l’écoute entre les individus une éthique autant qu’une matière à invention filmique.
Transfuge
par Serge Kaganski
Un nouveau bijou délicatement taillé dans le plus pur minerai humain.
Télérama
par Marie Sauvion
Riche de tant de mots qui excitent, caressent, blessent, pèsent ou délivrent, Contes du hasard et autres fantaisies ménage une surprise permanente et permet à son auteur de briller, encore une fois, par sa splendide direction d’acteurs et la netteté de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
De petits dérapages, pleins de charme, d'ironie, de sensualité, de complexité, qui parlent de dépit, de déni et de désir...
20 Minutes
par Caroline Vié
Les trois histoires qui composent ce film ont en commun une écriture très fine et un caractère romanesque assuré. Sans oublier le talent rare de Ryusuke Hamaguchi de toujours parvenir à capter le mystère de figures féminines pourtant insaisissables.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Puissance des mots et beauté du regard sont au rendez-vous de cette douce enquête sur nos tumultes intérieurs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Après le splendide Drive My Car, ce film à sketches pourrait en comparaison apparaître très anodin. Et pourtant…
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Dans ce beau film fragmenté, la mise en scène de Ryūsuke Hamaguchi accompagne des personnages remontant le temps, transportés par la force douloureuse et libératrice des souvenirs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Trois fois plus d’Hamaguchi pour trois fois plus de plaisir ! Contes du hasard et autres fantaisies est une superbe balade rohmérienne, dont la sobriété n’a d’égal que son absolue beauté.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Trois historiettes autour des jeux de l’amour et du hasard à trois âges de la vie qui confirment l’immense talent de dialoguiste et de directeur d’acteurs du réalisateur de « Drive My Car ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Avec ce nouveau film, Ryusuke Hamaguchi, s’affirme comme une voie singulière et ambitieuse du cinéma asiatique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le réalisateur de « Drive My Car » est de retour avec trois magnifiques histoires où des femmes, au détour d’une coïncidence, sont confrontées à leurs émotions, à leurs souvenirs, à leur désir... et au pouvoir des mots.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Constitué de trois histoires, le nouveau film de Ryusuke Hamaguchi (Drive My Car) confirme son art du dialogue vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
S’intercalant miraculeusement entre Hong Sang‑soo et Woody Allen tout en confirmant une identité propre, en apparence théorique mais qui touche au cœur sans crier gare, l’anthologie aligne les moments de grâce en ajoutant une dimension érotique à sa chronique de l’intime.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On sortira de la salle sur la joie pure et délicate de ce dernier récit, d’une tristesse pourtant terrible. Tout le film, d’une profondeur vertigineuse, d’un climat et d’une tonalité sans cesse changeants, est nourri de ces paradoxes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Il n’en demeure pas moins un ensemble merveilleux, profond, entre joie et tristesse… encore une pépite du nouveau maître du cinéma japonais.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Tournés avec un plus petit budget juste avant Drive My Car, ces trois contes malicieux donnent toute leur place aux sortilèges de la parole, un peu comme chez Rohmer et Eustache.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Par leurs chorégraphies subtiles entre l'intérieur et l'extérieur, la surface et la profondeur de champ, ces histoires gagnent une épaisseur et une densité extraordinaires, surprenantes.
Première
par Thierry Chèze
Comme le titre l’indique, il y a du Rohmer dans ces Contes là et par ricochet du Hang Sang Soo mais ces influences-là sont autant assumées et digérées par un cinéaste qui n’a pas son pareil pour explorer l’âme humaine et ses méandres dans un geste d’une fluidité et d’une pureté fascinantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
En une variation déchirante et légère à la fois sur le hasard, Ruyuke Hagushi parvient à mettre au jour nos failles les plus secrètes. Blessures d’amour et d’amour propre. Blessures enfouies mais encore douloureuses.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Après l’ennuyeux Drive My Car, Ryūsuke Hamaguchi offre trois nouvelles rafraîchissantes et délicates qui jouent subtilement entre marivaudage, quiproquos et renversement de situation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Chacune des trois histoires observe un langage chargé au plus haut niveau d’intensité : appel à l’acte (le souvenir encore vivace d’une relation amoureuse), provocations de langage (la lecture déplacée d’un texte indécent dans un bureau de fac), adresses émotionnelles de plus en plus amples (la reconnaissance et le partage des émotions enfouies de l’adolescence).
L'Humanité
On croirait une scène de théâtre, un plateau dépouillé où le verbe est au premier plan. Il faut une grande confiance en ses interprètes et en l’histoire qu’on raconte pour tenir le spectateur en haleine avec un récit de plusieurs minutes à l’arrière d’un taxi, sans autre image que le visage des actrices en gros plan et en champ-contrechamp.
Les Echos
Les « Contes du hasard » se déploient dans toute leur majesté en une oeuvre riche, sensuelle et attachante.
Les Inrockuptibles
En trois récits et autant de variations post-rohmeriennes, le réalisateur de “Drive My Car” travaille avec une infinie finesse psychologique la question du choix et de la portée décisive de chaque rencontre.
Libération
Trois histoires autonomes, où l’on trouve le meilleur du geste portraitiste de Senses, et incidemment, les portraits féminins les plus beaux de l’année, peut-être même les plus modernes.
Ouest France
La grâce absolue.
Positif
Cet ensemble de sketches [...] confirme l’acuité et la précision absolue d’un cinéaste qui depuis plus de dix ans, de documentaires en fictions hétéroclites, fait du dialogue et de l’écoute entre les individus une éthique autant qu’une matière à invention filmique.
Transfuge
Un nouveau bijou délicatement taillé dans le plus pur minerai humain.
Télérama
Riche de tant de mots qui excitent, caressent, blessent, pèsent ou délivrent, Contes du hasard et autres fantaisies ménage une surprise permanente et permet à son auteur de briller, encore une fois, par sa splendide direction d’acteurs et la netteté de sa mise en scène.
Voici
De petits dérapages, pleins de charme, d'ironie, de sensualité, de complexité, qui parlent de dépit, de déni et de désir...
20 Minutes
Les trois histoires qui composent ce film ont en commun une écriture très fine et un caractère romanesque assuré. Sans oublier le talent rare de Ryusuke Hamaguchi de toujours parvenir à capter le mystère de figures féminines pourtant insaisissables.
Bande à part
Puissance des mots et beauté du regard sont au rendez-vous de cette douce enquête sur nos tumultes intérieurs.
CinemaTeaser
Après le splendide Drive My Car, ce film à sketches pourrait en comparaison apparaître très anodin. Et pourtant…
Critikat.com
Dans ce beau film fragmenté, la mise en scène de Ryūsuke Hamaguchi accompagne des personnages remontant le temps, transportés par la force douloureuse et libératrice des souvenirs.
Ecran Large
Trois fois plus d’Hamaguchi pour trois fois plus de plaisir ! Contes du hasard et autres fantaisies est une superbe balade rohmérienne, dont la sobriété n’a d’égal que son absolue beauté.
L'Obs
Trois historiettes autour des jeux de l’amour et du hasard à trois âges de la vie qui confirment l’immense talent de dialoguiste et de directeur d’acteurs du réalisateur de « Drive My Car ».
La Croix
Avec ce nouveau film, Ryusuke Hamaguchi, s’affirme comme une voie singulière et ambitieuse du cinéma asiatique.
La Voix du Nord
Le réalisateur de « Drive My Car » est de retour avec trois magnifiques histoires où des femmes, au détour d’une coïncidence, sont confrontées à leurs émotions, à leurs souvenirs, à leur désir... et au pouvoir des mots.
Le Figaro
Constitué de trois histoires, le nouveau film de Ryusuke Hamaguchi (Drive My Car) confirme son art du dialogue vertigineux.
Le Journal du Dimanche
S’intercalant miraculeusement entre Hong Sang‑soo et Woody Allen tout en confirmant une identité propre, en apparence théorique mais qui touche au cœur sans crier gare, l’anthologie aligne les moments de grâce en ajoutant une dimension érotique à sa chronique de l’intime.
Le Monde
On sortira de la salle sur la joie pure et délicate de ce dernier récit, d’une tristesse pourtant terrible. Tout le film, d’une profondeur vertigineuse, d’un climat et d’une tonalité sans cesse changeants, est nourri de ces paradoxes.
Le Parisien
Il n’en demeure pas moins un ensemble merveilleux, profond, entre joie et tristesse… encore une pépite du nouveau maître du cinéma japonais.
Les Fiches du Cinéma
Tournés avec un plus petit budget juste avant Drive My Car, ces trois contes malicieux donnent toute leur place aux sortilèges de la parole, un peu comme chez Rohmer et Eustache.
Marie Claire
Par leurs chorégraphies subtiles entre l'intérieur et l'extérieur, la surface et la profondeur de champ, ces histoires gagnent une épaisseur et une densité extraordinaires, surprenantes.
Première
Comme le titre l’indique, il y a du Rohmer dans ces Contes là et par ricochet du Hang Sang Soo mais ces influences-là sont autant assumées et digérées par un cinéaste qui n’a pas son pareil pour explorer l’âme humaine et ses méandres dans un geste d’une fluidité et d’une pureté fascinantes.
Sud Ouest
En une variation déchirante et légère à la fois sur le hasard, Ruyuke Hagushi parvient à mettre au jour nos failles les plus secrètes. Blessures d’amour et d’amour propre. Blessures enfouies mais encore douloureuses.
aVoir-aLire.com
Après l’ennuyeux Drive My Car, Ryūsuke Hamaguchi offre trois nouvelles rafraîchissantes et délicates qui jouent subtilement entre marivaudage, quiproquos et renversement de situation.