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Chacune des trois histoires observe un langage chargé au plus haut niveau d’intensité : appel à l’acte (le souvenir encore vivace d’une relation amoureuse), provocations de langage (la lecture déplacée d’un texte indécent dans un bureau de fac), adresses émotionnelles de plus en plus amples (la reconnaissance et le partage des émotions enfouies de l’adolescence).
On croirait une scène de théâtre, un plateau dépouillé où le verbe est au premier plan. Il faut une grande confiance en ses interprètes et en l’histoire qu’on raconte pour tenir le spectateur en haleine avec un récit de plusieurs minutes à l’arrière d’un taxi, sans autre image que le visage des actrices en gros plan et en champ-contrechamp.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
En trois récits et autant de variations post-rohmeriennes, le réalisateur de “Drive My Car” travaille avec une infinie finesse psychologique la question du choix et de la portée décisive de chaque rencontre.
Trois histoires autonomes, où l’on trouve le meilleur du geste portraitiste de Senses, et incidemment, les portraits féminins les plus beaux de l’année, peut-être même les plus modernes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cet ensemble de sketches [...] confirme l’acuité et la précision absolue d’un cinéaste qui depuis plus de dix ans, de documentaires en fictions hétéroclites, fait du dialogue et de l’écoute entre les individus une éthique autant qu’une matière à invention filmique.
Riche de tant de mots qui excitent, caressent, blessent, pèsent ou délivrent, Contes du hasard et autres fantaisies ménage une surprise permanente et permet à son auteur de briller, encore une fois, par sa splendide direction d’acteurs et la netteté de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les trois histoires qui composent ce film ont en commun une écriture très fine et un caractère romanesque assuré. Sans oublier le talent rare de Ryusuke Hamaguchi de toujours parvenir à capter le mystère de figures féminines pourtant insaisissables.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dans ce beau film fragmenté, la mise en scène de Ryūsuke Hamaguchi accompagne des personnages remontant le temps, transportés par la force douloureuse et libératrice des souvenirs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Trois fois plus d’Hamaguchi pour trois fois plus de plaisir ! Contes du hasard et autres fantaisies est une superbe balade rohmérienne, dont la sobriété n’a d’égal que son absolue beauté.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Trois historiettes autour des jeux de l’amour et du hasard à trois âges de la vie qui confirment l’immense talent de dialoguiste et de directeur d’acteurs du réalisateur de « Drive My Car ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le réalisateur de « Drive My Car » est de retour avec trois magnifiques histoires où des femmes, au détour d’une coïncidence, sont confrontées à leurs émotions, à leurs souvenirs, à leur désir... et au pouvoir des mots.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
S’intercalant miraculeusement entre Hong Sang‑soo et Woody Allen tout en confirmant une identité propre, en apparence théorique mais qui touche au cœur sans crier gare, l’anthologie aligne les moments de grâce en ajoutant une dimension érotique à sa chronique de l’intime.
On sortira de la salle sur la joie pure et délicate de ce dernier récit, d’une tristesse pourtant terrible. Tout le film, d’une profondeur vertigineuse, d’un climat et d’une tonalité sans cesse changeants, est nourri de ces paradoxes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Tournés avec un plus petit budget juste avant Drive My Car, ces trois contes malicieux donnent toute leur place aux sortilèges de la parole, un peu comme chez Rohmer et Eustache.
Par leurs chorégraphies subtiles entre l'intérieur et l'extérieur, la surface et la profondeur de champ, ces histoires gagnent une épaisseur et une densité extraordinaires, surprenantes.
Comme le titre l’indique, il y a du Rohmer dans ces Contes là et par ricochet du Hang Sang Soo mais ces influences-là sont autant assumées et digérées par un cinéaste qui n’a pas son pareil pour explorer l’âme humaine et ses méandres dans un geste d’une fluidité et d’une pureté fascinantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
En une variation déchirante et légère à la fois sur le hasard, Ruyuke Hagushi parvient à mettre au jour nos failles les plus secrètes. Blessures d’amour et d’amour propre. Blessures enfouies mais encore douloureuses.
Après l’ennuyeux Drive My Car, Ryūsuke Hamaguchi offre trois nouvelles rafraîchissantes et délicates qui jouent subtilement entre marivaudage, quiproquos et renversement de situation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Chacune des trois histoires observe un langage chargé au plus haut niveau d’intensité : appel à l’acte (le souvenir encore vivace d’une relation amoureuse), provocations de langage (la lecture déplacée d’un texte indécent dans un bureau de fac), adresses émotionnelles de plus en plus amples (la reconnaissance et le partage des émotions enfouies de l’adolescence).
L'Humanité
On croirait une scène de théâtre, un plateau dépouillé où le verbe est au premier plan. Il faut une grande confiance en ses interprètes et en l’histoire qu’on raconte pour tenir le spectateur en haleine avec un récit de plusieurs minutes à l’arrière d’un taxi, sans autre image que le visage des actrices en gros plan et en champ-contrechamp.
Les Echos
Les « Contes du hasard » se déploient dans toute leur majesté en une oeuvre riche, sensuelle et attachante.
Les Inrockuptibles
En trois récits et autant de variations post-rohmeriennes, le réalisateur de “Drive My Car” travaille avec une infinie finesse psychologique la question du choix et de la portée décisive de chaque rencontre.
Libération
Trois histoires autonomes, où l’on trouve le meilleur du geste portraitiste de Senses, et incidemment, les portraits féminins les plus beaux de l’année, peut-être même les plus modernes.
Ouest France
La grâce absolue.
Positif
Cet ensemble de sketches [...] confirme l’acuité et la précision absolue d’un cinéaste qui depuis plus de dix ans, de documentaires en fictions hétéroclites, fait du dialogue et de l’écoute entre les individus une éthique autant qu’une matière à invention filmique.
Transfuge
Un nouveau bijou délicatement taillé dans le plus pur minerai humain.
Télérama
Riche de tant de mots qui excitent, caressent, blessent, pèsent ou délivrent, Contes du hasard et autres fantaisies ménage une surprise permanente et permet à son auteur de briller, encore une fois, par sa splendide direction d’acteurs et la netteté de sa mise en scène.
Voici
De petits dérapages, pleins de charme, d'ironie, de sensualité, de complexité, qui parlent de dépit, de déni et de désir...
20 Minutes
Les trois histoires qui composent ce film ont en commun une écriture très fine et un caractère romanesque assuré. Sans oublier le talent rare de Ryusuke Hamaguchi de toujours parvenir à capter le mystère de figures féminines pourtant insaisissables.
Bande à part
Puissance des mots et beauté du regard sont au rendez-vous de cette douce enquête sur nos tumultes intérieurs.
CinemaTeaser
Après le splendide Drive My Car, ce film à sketches pourrait en comparaison apparaître très anodin. Et pourtant…
Critikat.com
Dans ce beau film fragmenté, la mise en scène de Ryūsuke Hamaguchi accompagne des personnages remontant le temps, transportés par la force douloureuse et libératrice des souvenirs.
Ecran Large
Trois fois plus d’Hamaguchi pour trois fois plus de plaisir ! Contes du hasard et autres fantaisies est une superbe balade rohmérienne, dont la sobriété n’a d’égal que son absolue beauté.
L'Obs
Trois historiettes autour des jeux de l’amour et du hasard à trois âges de la vie qui confirment l’immense talent de dialoguiste et de directeur d’acteurs du réalisateur de « Drive My Car ».
La Croix
Avec ce nouveau film, Ryusuke Hamaguchi, s’affirme comme une voie singulière et ambitieuse du cinéma asiatique.
La Voix du Nord
Le réalisateur de « Drive My Car » est de retour avec trois magnifiques histoires où des femmes, au détour d’une coïncidence, sont confrontées à leurs émotions, à leurs souvenirs, à leur désir... et au pouvoir des mots.
Le Figaro
Constitué de trois histoires, le nouveau film de Ryusuke Hamaguchi (Drive My Car) confirme son art du dialogue vertigineux.
Le Journal du Dimanche
S’intercalant miraculeusement entre Hong Sang‑soo et Woody Allen tout en confirmant une identité propre, en apparence théorique mais qui touche au cœur sans crier gare, l’anthologie aligne les moments de grâce en ajoutant une dimension érotique à sa chronique de l’intime.
Le Monde
On sortira de la salle sur la joie pure et délicate de ce dernier récit, d’une tristesse pourtant terrible. Tout le film, d’une profondeur vertigineuse, d’un climat et d’une tonalité sans cesse changeants, est nourri de ces paradoxes.
Le Parisien
Il n’en demeure pas moins un ensemble merveilleux, profond, entre joie et tristesse… encore une pépite du nouveau maître du cinéma japonais.
Les Fiches du Cinéma
Tournés avec un plus petit budget juste avant Drive My Car, ces trois contes malicieux donnent toute leur place aux sortilèges de la parole, un peu comme chez Rohmer et Eustache.
Marie Claire
Par leurs chorégraphies subtiles entre l'intérieur et l'extérieur, la surface et la profondeur de champ, ces histoires gagnent une épaisseur et une densité extraordinaires, surprenantes.
Première
Comme le titre l’indique, il y a du Rohmer dans ces Contes là et par ricochet du Hang Sang Soo mais ces influences-là sont autant assumées et digérées par un cinéaste qui n’a pas son pareil pour explorer l’âme humaine et ses méandres dans un geste d’une fluidité et d’une pureté fascinantes.
Sud Ouest
En une variation déchirante et légère à la fois sur le hasard, Ruyuke Hagushi parvient à mettre au jour nos failles les plus secrètes. Blessures d’amour et d’amour propre. Blessures enfouies mais encore douloureuses.
aVoir-aLire.com
Après l’ennuyeux Drive My Car, Ryūsuke Hamaguchi offre trois nouvelles rafraîchissantes et délicates qui jouent subtilement entre marivaudage, quiproquos et renversement de situation.