Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
C’est une fable, un conte, une déclaration d’amour au cinéma et à la vie. Ce premier long-métrage géorgien primé à Berlin, Chicago et Angers nous fait croire au hasard et au coup de foudre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Selon une logique d’ardoise magique, chaque séquence, et même chaque plan, appelle à repenser ce qui l’a précédé.
Critikat.com
par Marin Gérard
La narration, apparemment flottante, dégage un sentiment de tranquille majesté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En confiant le récit à une voix off ironique et en faisant le choix de la longueur, Alexandre Koberidze prend des risques. Mais sa flânerie poétique déborde d’inventivité et de charme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
En pleine pandémie, ce film d’une grande inventivité et fantaisie, véritable hommage au cinéma muet, avait fait l’effet d’une bulle de fraîcheur. Il y est question d’amour, de mauvais œil, de chiens et de football mais aussi de la magie du cinéma, qui permet de révéler ce que l’on ne peut voir à l’œil nu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Utilisant la poésie du quotidien, une voix off goguenarde, et des chiens fans de foot, ce film intrigant fait l'école buissonnière d'un cinéma classique et balisé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
À l’heure où la création se formate de plus en plus, ce conte généreux qui ose les détours et les tours de passe-passe ressemble à une échappée hors du temps. Et fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
D'emblée, c'est un pacte magique que le film établit avec son spectateur.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Le film a l’air, derrière son histoire de malédiction amoureuse, d’être construite sous les paupières du réel, à la lisière du rebond actif et du sommeil profond. Et dans cet entre-deux se déploie une belle histoire d’amour inconséquente et primordiale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Grégory Schneider
Sous le Ciel de Koutaïssi n’est pas là pour lever le voile, il fait même plutôt le contraire. En revanche, c’est peu dire qu’il réveille quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thomas Baurez
La mise en scène très épurée contribue par sa simplicité à toucher sa cible : le coeur du spectateur.
Positif
par Denitza Bantcheva
Lointain petit-neveu de Jacques Tati, Alexandre Koberidze est un auteur à suivre.
Télérama
par Samuel Douhaire
Leur histoire d'amour maudit pourrait être tragique. Elle émerveille, autant par ses rebondissements tranquilles que par ses digressions buissonnières.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thomas Baurez
Cette romance à l’humour grinçant signée du géorgien Alexandre Koberidze - nom à retenir- portée par une mise en scène d’une précision flippante, ne ressemble à rien de connu. Accueillons-la à bras ouverts.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
C’est une fable, un conte, une déclaration d’amour au cinéma et à la vie. Ce premier long-métrage géorgien primé à Berlin, Chicago et Angers nous fait croire au hasard et au coup de foudre.
Cahiers du Cinéma
Selon une logique d’ardoise magique, chaque séquence, et même chaque plan, appelle à repenser ce qui l’a précédé.
Critikat.com
La narration, apparemment flottante, dégage un sentiment de tranquille majesté.
L'Obs
En confiant le récit à une voix off ironique et en faisant le choix de la longueur, Alexandre Koberidze prend des risques. Mais sa flânerie poétique déborde d’inventivité et de charme.
La Croix
En pleine pandémie, ce film d’une grande inventivité et fantaisie, véritable hommage au cinéma muet, avait fait l’effet d’une bulle de fraîcheur. Il y est question d’amour, de mauvais œil, de chiens et de football mais aussi de la magie du cinéma, qui permet de révéler ce que l’on ne peut voir à l’œil nu.
Le Figaro
Utilisant la poésie du quotidien, une voix off goguenarde, et des chiens fans de foot, ce film intrigant fait l'école buissonnière d'un cinéma classique et balisé.
Le Journal du Dimanche
À l’heure où la création se formate de plus en plus, ce conte généreux qui ose les détours et les tours de passe-passe ressemble à une échappée hors du temps. Et fait un bien fou.
Le Monde
D'emblée, c'est un pacte magique que le film établit avec son spectateur.
Les Fiches du Cinéma
Le film a l’air, derrière son histoire de malédiction amoureuse, d’être construite sous les paupières du réel, à la lisière du rebond actif et du sommeil profond. Et dans cet entre-deux se déploie une belle histoire d’amour inconséquente et primordiale.
Libération
Sous le Ciel de Koutaïssi n’est pas là pour lever le voile, il fait même plutôt le contraire. En revanche, c’est peu dire qu’il réveille quelque chose.
Ouest France
La mise en scène très épurée contribue par sa simplicité à toucher sa cible : le coeur du spectateur.
Positif
Lointain petit-neveu de Jacques Tati, Alexandre Koberidze est un auteur à suivre.
Télérama
Leur histoire d'amour maudit pourrait être tragique. Elle émerveille, autant par ses rebondissements tranquilles que par ses digressions buissonnières.
Première
Cette romance à l’humour grinçant signée du géorgien Alexandre Koberidze - nom à retenir- portée par une mise en scène d’une précision flippante, ne ressemble à rien de connu. Accueillons-la à bras ouverts.