Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film de guerre d’une grande beauté et d’une implacable rigueur, exhumant une histoire oubliée.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un grand film de guerre, sombre et austère.
Positif
par Jean-Philippe Domecq
La force du film est là : depuis notre place de spectateur, nous nous retrouvons exactement comme ces soldats qui scrutent un paysage tellement profond que la lumière y est toujours tamisée, crépusculaire, où troncs et branches peuvent cacher quelqu’un comme ne révéler qu’eux-mêmes.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Natural Light utilise intelligemment la lenteur de longues prises et la sous-exposition comme métaphores d’une âme égarée dans une époque sombre, en quête du moindre rayon d’humanité, qu’elle n’est jamais sûre de trouver en elle-même.
L'Obs
par François Forestier
Le film est beau visuellement, la tension dramatique est palpable, et la mise en scène ne cède jamais à l’émotion. D’où un film admirable mais un peu froid.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dénes Nagy soigne la composition de ses plans et filme au plus près des visages avec une approche quasi-picturale qui fait la force d’un récit exigeant dont l’austérité peut décourager.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La pesanteur physique prélude, ici, à l’engloutissement moral. Et pourtant, une sorte de beauté sépulcrale s’en détache.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un premier long métrage remarquable et pénétrant sur la banalité du mal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Peu gratifiante mais percutante, cette vision teintée de désespoir parvient toutefois à dégager un peu de lumière dans l’épilogue de son récit. C’est ce que rappelle le titre du film de Dénes Nagy : même si les ténèbres règnent, il y demeure toujours un fragile trait de lumière qui vient percer l’atmosphère.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Oscillation entre force d’âme et passivité coupable, Natural Light fait de ce soldat ordinaire un symbole terrible de la confusion engendrée par toute guerre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
La mise en scène - primée à Berlin – est impressionnante mais le parti pris aride de l’ensemble (absence de dialogues, rythme volontairement lent) tient hélas artificiellement à distance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film de guerre d’une grande beauté et d’une implacable rigueur, exhumant une histoire oubliée.
Le Dauphiné Libéré
Un grand film de guerre, sombre et austère.
Positif
La force du film est là : depuis notre place de spectateur, nous nous retrouvons exactement comme ces soldats qui scrutent un paysage tellement profond que la lumière y est toujours tamisée, crépusculaire, où troncs et branches peuvent cacher quelqu’un comme ne révéler qu’eux-mêmes.
Cahiers du Cinéma
Natural Light utilise intelligemment la lenteur de longues prises et la sous-exposition comme métaphores d’une âme égarée dans une époque sombre, en quête du moindre rayon d’humanité, qu’elle n’est jamais sûre de trouver en elle-même.
L'Obs
Le film est beau visuellement, la tension dramatique est palpable, et la mise en scène ne cède jamais à l’émotion. D’où un film admirable mais un peu froid.
Le Journal du Dimanche
Dénes Nagy soigne la composition de ses plans et filme au plus près des visages avec une approche quasi-picturale qui fait la force d’un récit exigeant dont l’austérité peut décourager.
Le Monde
La pesanteur physique prélude, ici, à l’engloutissement moral. Et pourtant, une sorte de beauté sépulcrale s’en détache.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage remarquable et pénétrant sur la banalité du mal.
Les Inrockuptibles
Peu gratifiante mais percutante, cette vision teintée de désespoir parvient toutefois à dégager un peu de lumière dans l’épilogue de son récit. C’est ce que rappelle le titre du film de Dénes Nagy : même si les ténèbres règnent, il y demeure toujours un fragile trait de lumière qui vient percer l’atmosphère.
Télérama
Oscillation entre force d’âme et passivité coupable, Natural Light fait de ce soldat ordinaire un symbole terrible de la confusion engendrée par toute guerre.
Première
La mise en scène - primée à Berlin – est impressionnante mais le parti pris aride de l’ensemble (absence de dialogues, rythme volontairement lent) tient hélas artificiellement à distance.