Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ecrit comme un hymne à la liberté, à la maternité, à l’émancipation féminine et au cinéma, Le Pardon participe une nouvelle fois à la grandeur du cinéma iranien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce film sur le deuil, la résilience, le remords et le dilemme moral est digne du grand maître du cinéma iranien, Asghar Farhadi.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
On s’étonne de découvrir ces récits forts qui témoignent avec subtilité et onirisme de l’inanité d’un système oppressif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
On en sort bouleversé, rageur et admiratif. Peut-être que tout n’est pas perdu, grâce à des films comme celui-ci.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le Pardon est un beau film déchirant, d’une profonde humanité.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Maryam Moghadam, actrice principale et coréalisatrice du film, signe et joue un formidable portrait de femme, en mille nuances.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le film entraîne le spectateur dans une histoire intense et émouvante qui ne sacrifie jamais les singularités des protagonistes sur l'autel du « grand » sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un réquisitoire étouffant et poignant sur la justice et la condition des femmes en Iran.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film exigeant qui mérite d’être découvert.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Il y a du Asghar Farhadi dans ce premier long métrage au scénario riche en rebondissements et à la mise en scène très maîtrisée.
Positif
par Olivier De Bruyn
Un film exigeant qui mérite d’être découvert.
La Croix
par Céline Rouden
Dans le rôle de Mina, Maryam Moghaddam, également coréalisatrice, est bouleversante de fragilité et de détermination mêlées, portant à elle seule le film sur ses épaules.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par B. P.
Ce film élégant évite la caricature et se concentre sur les relations nouées par la veuve. Avant de s'enliser. L'intrigue aurait mérité davantage de rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Fort de ses personnages bien dessinés, ce drame psychologique doit aussi à la qualité de leur interprétation, sa comédienne en tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le Pardon dresse un énième constat accablant de la société iranienne, tout en renouvelant le genre avec une certaine épure et une abstraction dans le récit (...).
Première
par Thierry Chèze
Un premier film épatant de maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Plans fixes soigneusement cadrés et dilemmes moraux à tous les étages composent le programme attendu de ce drame accablant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Hugo Mattias
Le virage final sort brièvement le scénario de sa torpeur, mais reste à l’état d’amorce, le film se réfugiant aussitôt dans une ambiguïté d’un goût plus sûr et à la saveur plus fade.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Comme chez Asghar Farhadi, tout ici est fonctionnel. Les différentes scènes apparaissent comme les rouages d'une mécanique écrasant un personnage qui ne peut aspirer à rien d'autre qu'à la souffrance.
aVoir-aLire.com
Ecrit comme un hymne à la liberté, à la maternité, à l’émancipation féminine et au cinéma, Le Pardon participe une nouvelle fois à la grandeur du cinéma iranien.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce film sur le deuil, la résilience, le remords et le dilemme moral est digne du grand maître du cinéma iranien, Asghar Farhadi.
L'Humanité
On s’étonne de découvrir ces récits forts qui témoignent avec subtilité et onirisme de l’inanité d’un système oppressif.
L'Obs
On en sort bouleversé, rageur et admiratif. Peut-être que tout n’est pas perdu, grâce à des films comme celui-ci.
Le Dauphiné Libéré
Le Pardon est un beau film déchirant, d’une profonde humanité.
Le Parisien
Maryam Moghadam, actrice principale et coréalisatrice du film, signe et joue un formidable portrait de femme, en mille nuances.
Les Echos
Le film entraîne le spectateur dans une histoire intense et émouvante qui ne sacrifie jamais les singularités des protagonistes sur l'autel du « grand » sujet.
Les Fiches du Cinéma
Un réquisitoire étouffant et poignant sur la justice et la condition des femmes en Iran.
Marianne
Un film exigeant qui mérite d’être découvert.
Ouest France
Il y a du Asghar Farhadi dans ce premier long métrage au scénario riche en rebondissements et à la mise en scène très maîtrisée.
Positif
Un film exigeant qui mérite d’être découvert.
La Croix
Dans le rôle de Mina, Maryam Moghaddam, également coréalisatrice, est bouleversante de fragilité et de détermination mêlées, portant à elle seule le film sur ses épaules.
Le Figaro
Ce film élégant évite la caricature et se concentre sur les relations nouées par la veuve. Avant de s'enliser. L'intrigue aurait mérité davantage de rebondissements.
Le Journal du Dimanche
Fort de ses personnages bien dessinés, ce drame psychologique doit aussi à la qualité de leur interprétation, sa comédienne en tête.
Le Monde
Le Pardon dresse un énième constat accablant de la société iranienne, tout en renouvelant le genre avec une certaine épure et une abstraction dans le récit (...).
Première
Un premier film épatant de maîtrise.
Télérama
Plans fixes soigneusement cadrés et dilemmes moraux à tous les étages composent le programme attendu de ce drame accablant.
Critikat.com
Le virage final sort brièvement le scénario de sa torpeur, mais reste à l’état d’amorce, le film se réfugiant aussitôt dans une ambiguïté d’un goût plus sûr et à la saveur plus fade.
Cahiers du Cinéma
Comme chez Asghar Farhadi, tout ici est fonctionnel. Les différentes scènes apparaissent comme les rouages d'une mécanique écrasant un personnage qui ne peut aspirer à rien d'autre qu'à la souffrance.