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Louda Ben Salah-Cazanas dresse le portrait d'un jeune homme tiraillé entre ses ambitions littéraires et son quotidien de travailleur précaire. Un premier film original et cocasse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Un film habité de douceur comme on aimerait en voir souvent, accordant une place émouvante au doute et à l’instabilité. Comme le mot charme paraît faible, ce qui y remue et qui bat pourrait bien être de la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ce film très sentimental est aussi baigné d’un humour savamment dosé, d’une bonne part d’autodérision et de beaucoup d’amour – sans jamais être mièvre.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
De la naissance de l’amour à l’apprentissage du deuil, « Le Monde après nous » mêle des instants de grâce à des accès de comédie irrésistibles, érigeant l’amitié en extravagance précieuse et la passion en boussole. Quant à la tendresse familiale, le réalisateur la filme avec une délicatesse infinie. Où la singularité d’un auteur se voit immédiatement.
Inspiré de ses propres vicissitudes, Louda Ben Salah-Cazanas dresse le portrait d’un aspirant écrivain. Un personnage touchant et mélancolique pour ce premier long-métrage qui ne manque pas de charme.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cadré au plus près de ses acteurs, ce premier film prometteur multiplie les scènes gracieuses : humanité des parents, chanson de Larusso au karaoké, mariage cocasse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ce portrait d’une génération de jeunes précaires aux horizons incertains est porté par les interprétations sensibles d’Aurélien Gabrielli, tendrement lunaire, et de Louise Chevillotte, dont la filmographie s’étoffe à la mesure de son talent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Joli film d'apprentissage mélancolique, classique en apparence, mais qui sait se confronter au réel, au prix de la ville, de la création et de la liberté. (N°33, mars-avril 2021)
La force de ce premier film, très générationnel, repose sur cette sincérité qui transpire à l’écran, malgré une mise en scène un peu sage. Il est aussi mélancolique, romantique, plein de vie et d’humour, au diapason de ses personnages attachants bien incarnés.
En se concentrant sur la volonté de bien faire de son héros, Le Monde après nous se démarque du film attendu de jeunesse, se passant des fêtes, des bandes de copains et d’une certaine insouciance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
À la fois juvénile et inscrit dans une tradition, ce premier film a même un côté macho, avec une belle fiancée un peu potiche. Mais le résultat ne manque jamais de charme : Louise Chevillotte, la fiancée en question, et Aurélien Gabrielli, l’écrivain, en débordent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le réalisateur s’empare de ce quotidien dans une mise en images privilégiant les couleurs grises pour montrer la notion d’espoir de plus en plus réduite à la portion congrue. Mais ce parti pris quelque peu illustratif symbolise un film certes inattaquable dans son constant mais à qui il manque une étincelle qui lui permettrait de décoller (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
« Le Monde après nous », qui se voudrait une dénonciation de l’« ubérisation » de la société et de l’exploitation des jeunes urbains d’aujourd’hui, donne dans la lourdeur dramatisante et livre une vision misérabiliste de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Femme Actuelle
Un joli film en gris et rose, entre tendresse et réalisme social, qui séduit mine de rien par ses détails attachants.
Franceinfo Culture
Un beau premier film, [...] Modeste et bien senti.
Les Echos
Louda Ben Salah-Cazanas dresse le portrait d'un jeune homme tiraillé entre ses ambitions littéraires et son quotidien de travailleur précaire. Un premier film original et cocasse.
Les Fiches du Cinéma
Entre mélancolie et comédie, Louda Ben Salah-Cazanas peine à trouver son rythme dans ce premier film à l’écriture inégale.
Libération
Un film habité de douceur comme on aimerait en voir souvent, accordant une place émouvante au doute et à l’instabilité. Comme le mot charme paraît faible, ce qui y remue et qui bat pourrait bien être de la grâce.
Marianne
Une des belles surprises du moment sur les écrans.
Ouest France
Ce film très sentimental est aussi baigné d’un humour savamment dosé, d’une bonne part d’autodérision et de beaucoup d’amour – sans jamais être mièvre.
Sud Ouest
De la naissance de l’amour à l’apprentissage du deuil, « Le Monde après nous » mêle des instants de grâce à des accès de comédie irrésistibles, érigeant l’amitié en extravagance précieuse et la passion en boussole. Quant à la tendresse familiale, le réalisateur la filme avec une délicatesse infinie. Où la singularité d’un auteur se voit immédiatement.
Voici
Un premier film sensible avec des personnages attachants.
aVoir-aLire.com
Une pure comédie romantique à la française qui raconte la jeunesse, l’amour, la littérature et le multiculturalisme.
Bande à part
Inspiré de ses propres vicissitudes, Louda Ben Salah-Cazanas dresse le portrait d’un aspirant écrivain. Un personnage touchant et mélancolique pour ce premier long-métrage qui ne manque pas de charme.
L'Obs
Cadré au plus près de ses acteurs, ce premier film prometteur multiplie les scènes gracieuses : humanité des parents, chanson de Larusso au karaoké, mariage cocasse.
La Croix
Ce portrait d’une génération de jeunes précaires aux horizons incertains est porté par les interprétations sensibles d’Aurélien Gabrielli, tendrement lunaire, et de Louise Chevillotte, dont la filmographie s’étoffe à la mesure de son talent.
La Septième Obsession
Joli film d'apprentissage mélancolique, classique en apparence, mais qui sait se confronter au réel, au prix de la ville, de la création et de la liberté. (N°33, mars-avril 2021)
Le Figaro
Le Monde après nous est un film fauché, comme son héros, mais bien plus riche que nombre de longs-métrages aux finances confortables.
Le Journal du Dimanche
La force de ce premier film, très générationnel, repose sur cette sincérité qui transpire à l’écran, malgré une mise en scène un peu sage. Il est aussi mélancolique, romantique, plein de vie et d’humour, au diapason de ses personnages attachants bien incarnés.
Le Monde
En se concentrant sur la volonté de bien faire de son héros, Le Monde après nous se démarque du film attendu de jeunesse, se passant des fêtes, des bandes de copains et d’une certaine insouciance.
Télérama
À la fois juvénile et inscrit dans une tradition, ce premier film a même un côté macho, avec une belle fiancée un peu potiche. Mais le résultat ne manque jamais de charme : Louise Chevillotte, la fiancée en question, et Aurélien Gabrielli, l’écrivain, en débordent.
Première
Le réalisateur s’empare de ce quotidien dans une mise en images privilégiant les couleurs grises pour montrer la notion d’espoir de plus en plus réduite à la portion congrue. Mais ce parti pris quelque peu illustratif symbolise un film certes inattaquable dans son constant mais à qui il manque une étincelle qui lui permettrait de décoller (...).
Le Parisien
« Le Monde après nous », qui se voudrait une dénonciation de l’« ubérisation » de la société et de l’exploitation des jeunes urbains d’aujourd’hui, donne dans la lourdeur dramatisante et livre une vision misérabiliste de notre époque.