Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Christian Gonzalez
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
par Stéphane Bouchet
Ceux qui apprécient Dantec trouveront que ce film reflète relativement bien l'esprit torturé de ses romans.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
L'occasion de surcroît de découvrir en Alexandra Negrao, la jeune interprète d'Alice, un joli tempérament de comédienne et surtout de (re)découvrir Jean-Marc Barr qui compose un personnage de tueur ténébreux en quête de rédemption, absolument parfait. Jamais, en dehors des films de Lars Von Trier, il n'avait été aussi bien et sobrement dirigé.
Marianne
par I. M.
Diffusant une énergie atomique, Mégaton aborde un genre abandonnée par nos cinéastes français : le bon vieux polar, qui, du coup, prend ici un coup de jeune. Déjà comparé à Kassovitz et à Kounen, cet ami de Dantec connaîtra-t-il enfin la célébrité ? On peut le croire.
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
La rencontre d'Alice, la petite fille, et d'Hugo, le mercenaire, repose sur les deux interprètes Alexandra Negrao et Jean-Marc Barr. Si la première convainc et séduit, le deuxième déçoit un peu en n'arrivant pas à nous faire croire à ce personnage. A leurs côtés, on retrouve avec plaisir une Asia Argento en femme flic concernée, plus sage que d'habitude, et une Frances Barber en maman pour le moins attentionnée. Cette dernière éclate de sadisme et nous offre un superbe rôle de salope patentée...
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Première
par Sophie Grassin
Après le calamiteux Exit, La Sirène rouge relève la barre. Mais le cas Mégaton réclame une troisième expertise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Encore moins à l'aise dans les scènes "posées", Mégaton se révèle incapable de diriger correctement des acteurs réduits à faire maladroitement semblant -exception faite d'un Jean-Marc Barr étonnamment classe avec ses lunettes de soleil Ray-Ban dernier cri.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Romain Le Vern
Mais La Sirène Rouge ne se résume pas à un sujet mal exploité qui pâtit d'un trop grand nombre de références cinématographiques. Megaton peine également à donner de l'intérêt à son intrigue policière, trop téléphonée pour être réellement surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
(...) sa faiblesse prouve qu'à vouloir imiter les plus grossières recettes hollywoodiennes sans en avoir ni le savoir-faire ni les moyens on sombre, effectivement, dans le plus total ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
Malgré une ou deux belles séquences, un film confus basé sur une virtuosité visuelle aussi creuse que prétntieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Frédéric Pruchon
Sorte de film mercenaire, cette soupe à la Léon servie par un jeune pseudosurdoué est très vite lassante. (...) Mais c'est surtout le manichéisme, constant, qui provoque une absence totale de surprise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Camille Brun
Enfin, ce n'est pas LA SIRENE ROUGE qui offre à la fascinante Asia Argento le rôle qui la lance définitivement, comme elle le mérite amplement. On attend toujours, donc, mais ça commence à devenir agaçant !
Mad Movies
par Fathi Beddiar
Reste à prier pour que Les Racines du mal ne subisse pas le même traitement.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Même Frances Barber, la subtile comédienne anglaise, s'abîme dans un impropable rôle de Cruella d'Enfer des Balkans.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Quant à Asia Argento, femme flic dépassé par les évènements, elle visite le film en touriste maussade.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Stéphane Brisset
La rencontre entre l'univers visuellement pulsionnel d'Olivier Mégaton et les obsessions manichéennes de l'écrivain Maurice G. Dantec aurait dû donner lieu à un film sombre et habité. Mais Mégaton n'est pas David Fincher et cette pseudo-plongée aux racines du mal ne donne pas naissance - malgré une ambition évidente - à un Seven made in France.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Ceux qui apprécient Dantec trouveront que ce film reflète relativement bien l'esprit torturé de ses romans.
MCinéma.com
L'occasion de surcroît de découvrir en Alexandra Negrao, la jeune interprète d'Alice, un joli tempérament de comédienne et surtout de (re)découvrir Jean-Marc Barr qui compose un personnage de tueur ténébreux en quête de rédemption, absolument parfait. Jamais, en dehors des films de Lars Von Trier, il n'avait été aussi bien et sobrement dirigé.
Marianne
Diffusant une énergie atomique, Mégaton aborde un genre abandonnée par nos cinéastes français : le bon vieux polar, qui, du coup, prend ici un coup de jeune. Déjà comparé à Kassovitz et à Kounen, cet ami de Dantec connaîtra-t-il enfin la célébrité ? On peut le croire.
Cinopsis.com
La rencontre d'Alice, la petite fille, et d'Hugo, le mercenaire, repose sur les deux interprètes Alexandra Negrao et Jean-Marc Barr. Si la première convainc et séduit, le deuxième déçoit un peu en n'arrivant pas à nous faire croire à ce personnage. A leurs côtés, on retrouve avec plaisir une Asia Argento en femme flic concernée, plus sage que d'habitude, et une Frances Barber en maman pour le moins attentionnée. Cette dernière éclate de sadisme et nous offre un superbe rôle de salope patentée...
Première
Après le calamiteux Exit, La Sirène rouge relève la barre. Mais le cas Mégaton réclame une troisième expertise.
Chronic'art.com
Encore moins à l'aise dans les scènes "posées", Mégaton se révèle incapable de diriger correctement des acteurs réduits à faire maladroitement semblant -exception faite d'un Jean-Marc Barr étonnamment classe avec ses lunettes de soleil Ray-Ban dernier cri.
Cine Libre
Mais La Sirène Rouge ne se résume pas à un sujet mal exploité qui pâtit d'un trop grand nombre de références cinématographiques. Megaton peine également à donner de l'intérêt à son intrigue policière, trop téléphonée pour être réellement surprenante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) sa faiblesse prouve qu'à vouloir imiter les plus grossières recettes hollywoodiennes sans en avoir ni le savoir-faire ni les moyens on sombre, effectivement, dans le plus total ridicule.
Les Inrockuptibles
Malgré une ou deux belles séquences, un film confus basé sur une virtuosité visuelle aussi creuse que prétntieuse.
Libération
Sorte de film mercenaire, cette soupe à la Léon servie par un jeune pseudosurdoué est très vite lassante. (...) Mais c'est surtout le manichéisme, constant, qui provoque une absence totale de surprise.
MCinéma.com
Enfin, ce n'est pas LA SIRENE ROUGE qui offre à la fascinante Asia Argento le rôle qui la lance définitivement, comme elle le mérite amplement. On attend toujours, donc, mais ça commence à devenir agaçant !
Mad Movies
Reste à prier pour que Les Racines du mal ne subisse pas le même traitement.
TéléCinéObs
Même Frances Barber, la subtile comédienne anglaise, s'abîme dans un impropable rôle de Cruella d'Enfer des Balkans.
Télérama
Quant à Asia Argento, femme flic dépassé par les évènements, elle visite le film en touriste maussade.
Zurban
La rencontre entre l'univers visuellement pulsionnel d'Olivier Mégaton et les obsessions manichéennes de l'écrivain Maurice G. Dantec aurait dû donner lieu à un film sombre et habité. Mais Mégaton n'est pas David Fincher et cette pseudo-plongée aux racines du mal ne donne pas naissance - malgré une ambition évidente - à un Seven made in France.