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Imaginez un vêtement dont toutes les coutures seraient apparentes, placées vers l'extérieur. Non comme s'il était retourné en son envers, mais comme si les pièces de tissus qui le composent, l'endroit visible, étaient assemblées par des points grossiers, non dissimulés, formant crêtes. (...) Il aurait cependant le mérite de la singularité. Etrange, il n'en resterait pas moins fonctionnel, un habit qui se porte et se montre avec ostentation et arrogance, qui affiche sa différence. De cette tenue, La Repentie en est l'équivalent cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Adjani laisse tomber le masque et les verres fumés pour se donner au film. C'est bon de la voir renouer avec le cinéma, via ce personnage secret, léger et authentique. LA REPENTIE est un rêve à vivre les yeux ouverts.
(...) on s'ennuie vaguement, mais on admire. Les paysages, et les visages, de Sami, et d'Isabelle, que l'on est heureux de voir si belle, en ce film-miroir vaguement embaumant mais qui, on l'espère, lui a désormais ouvert la porte d'un vrai retour.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
(...) les meilleures scènes sont celles de l'insignifiance. Une rencontre expéditive entre la fille et un garçon (Ari Boulogne, somptueux), avec grand effet cinématographique et aucune sorte de conséquences psychologiques. La Repentie est un film de l'imperceptibilité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Laetitia filme Isabelle qui pose à Adjani. C'est clair : on est de trop, comme tous les excellents acteurs qui passent ici aussi vite que l'éclair et se réduisent à de frustrantes figurines.
On pourrait écrire des pages sur l'horreur de La Repentie, son mépris des petites gens, son infinie prétention, le vide intersidéral de ses images et de ses dialogues, son mauvais goût en général (Adjani et sa robe immonde, son ombrelle et sa valise Louis Vuitton, pieds nus sur la plage : on aurait presque pitié).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Mais ici, tout cela tourne bien vite à vide, jusqu'à l'ennui. · force de jouer la face obscure, le " mystère ", l'énigme de l'actrice, et sous le prétexte de son rôle de femme perdue, le film accumule les clichés et l'hommage sombre dans les poses appuyées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le film attend tout de la poésie mystérieuse de ses interprètes, et laisse le charme opérer ou non. Disons que c'est le portrait filmé d'un couple fatal.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Au-delà de ses insistances et de ses complaisances, la mise en scène de tout ce cérémonial qui tient de l'opération de marketing à grande échelle et du rite mediumnique finit par dire son triste secret. Elle rend visible que la figure qu'elle prétend rappeler du passé, pour la magnifier et capitaliser sur elle, non pas ne reviendra pas, mais n'a jamais existé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Laetitia Masson insiste surtout sans finesse avec ses choix musicaux, symboles pesants des états d'âmes de son héroïne nonchalante, presque antipathique. Adjani se repentira-t-elle un jour de ce retour manqué ? Probablement.
Que dire de cette Repentie, sinon qu'elle suscite une certaine forme de pitié à voir trois talents (Adjani, Frey, Masson) se fourvoyer ainsi ? Objet creux, vaguement arty, le film se voudrait dans la lignée de Love me précédente réalisation de Masson, infiniment plus convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
(...) le film tente d'imposer un univers romanesque qui se dégonfle malheureusement très vite. On rêvait d'une Adjani filmée au présent, on se retrouve face à un fantôme sans charme ni consistance.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Fluctuat.net
Imaginez un vêtement dont toutes les coutures seraient apparentes, placées vers l'extérieur. Non comme s'il était retourné en son envers, mais comme si les pièces de tissus qui le composent, l'endroit visible, étaient assemblées par des points grossiers, non dissimulés, formant crêtes. (...) Il aurait cependant le mérite de la singularité. Etrange, il n'en resterait pas moins fonctionnel, un habit qui se porte et se montre avec ostentation et arrogance, qui affiche sa différence. De cette tenue, La Repentie en est l'équivalent cinématographique.
Le Parisien
"La Repentie" est un film qui ressemble à ses deux héros : il se cherche tout le temps et se débrouille comme il peut pour s'en sortir quand même.
MCinéma.com
Adjani laisse tomber le masque et les verres fumés pour se donner au film. C'est bon de la voir renouer avec le cinéma, via ce personnage secret, léger et authentique. LA REPENTIE est un rêve à vivre les yeux ouverts.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
(...) on s'ennuie vaguement, mais on admire. Les paysages, et les visages, de Sami, et d'Isabelle, que l'on est heureux de voir si belle, en ce film-miroir vaguement embaumant mais qui, on l'espère, lui a désormais ouvert la porte d'un vrai retour.
Libération
(...) les meilleures scènes sont celles de l'insignifiance. Une rencontre expéditive entre la fille et un garçon (Ari Boulogne, somptueux), avec grand effet cinématographique et aucune sorte de conséquences psychologiques. La Repentie est un film de l'imperceptibilité.
Première
(...) un film hybride : absolument fascinant mais un tantinet frustrant.
TéléCinéObs
A trop mettre sa comédienne sur un piedestal, Laetitia Masson ne laisse aucune chance à sa repentie. Dommage.
Télérama
Bal maudit, galère, ce bazar tout gonflé de vide est impossible à détester, sachant aussi qu'il va trinquer pour d'autres (...).
Aden
Laetitia filme Isabelle qui pose à Adjani. C'est clair : on est de trop, comme tous les excellents acteurs qui passent ici aussi vite que l'éclair et se réduisent à de frustrantes figurines.
Chronic'art.com
On pourrait écrire des pages sur l'horreur de La Repentie, son mépris des petites gens, son infinie prétention, le vide intersidéral de ses images et de ses dialogues, son mauvais goût en général (Adjani et sa robe immonde, son ombrelle et sa valise Louis Vuitton, pieds nus sur la plage : on aurait presque pitié).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Mais ici, tout cela tourne bien vite à vide, jusqu'à l'ennui. · force de jouer la face obscure, le " mystère ", l'énigme de l'actrice, et sous le prétexte de son rôle de femme perdue, le film accumule les clichés et l'hommage sombre dans les poses appuyées.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Le film attend tout de la poésie mystérieuse de ses interprètes, et laisse le charme opérer ou non. Disons que c'est le portrait filmé d'un couple fatal.
Le Monde
Au-delà de ses insistances et de ses complaisances, la mise en scène de tout ce cérémonial qui tient de l'opération de marketing à grande échelle et du rite mediumnique finit par dire son triste secret. Elle rend visible que la figure qu'elle prétend rappeler du passé, pour la magnifier et capitaliser sur elle, non pas ne reviendra pas, mais n'a jamais existé.
Les Inrockuptibles
Un pseudo-événement, avec déballonnage instantané de la baudruche.
MCinéma.com
Laetitia Masson insiste surtout sans finesse avec ses choix musicaux, symboles pesants des états d'âmes de son héroïne nonchalante, presque antipathique. Adjani se repentira-t-elle un jour de ce retour manqué ? Probablement.
Urbuz
Que dire de cette Repentie, sinon qu'elle suscite une certaine forme de pitié à voir trois talents (Adjani, Frey, Masson) se fourvoyer ainsi ? Objet creux, vaguement arty, le film se voudrait dans la lignée de Love me précédente réalisation de Masson, infiniment plus convaincante.
Zurban
(...) le film tente d'imposer un univers romanesque qui se dégonfle malheureusement très vite. On rêvait d'une Adjani filmée au présent, on se retrouve face à un fantôme sans charme ni consistance.