Je ne comprends pas du tout les critiques faites à ce film J y suis allée en me basant sur tous les avis plutôt agréables et alléchants Quelle déception !!! une très mauvaise de Woody Allen Rien !!! le jeu d acteur totalement artificiel Les deux !!! tout est surdoué Les dialogues sans intérêt A la limité la seule bouffée d oxygène a été lors de l intervention du copain venu leur preter un appartement pour leurs ébats Là effectivement je me suis dit chouette, le film part ! on va pouvoir entrer dedans " meme pas Ce personnage est reparti sans jamais revenir la fin parlons en Evidente dès le départ Rien de surprenant du tout et avec la copine c était à prévoir surtout de nos jours ou tous les films se doivent maintenant de montrer des couples de toutes tendances confondues C est la mode donc allons y à fond Je n ai rien contre les tendances sexuelles mais portées au cinéma pour etre dans le moule ça me gonfle prodigieusement Alors c certain que ma franchise risque de ne pas passer le seuil de la censure mais pas grave je continue à dire quand c bien ou pas Liberté individuelle
Un peu décevant par rapport au précédent Mouret "Les choses qu'on dit les choses qu'on fait" mais de jolis moments servis par une excellente interprétation surtout Vincent Macaigne d'ailleurs ...les épisodes ne sont pas tous réussis .
Un film subtil, remarquablement interprété par deux acteurs de grands talents qui jouent là une partition complexe, celle des sentiments. Comme pour la musique de Mozart cette partition accorde une grande importance aux silences. Malgré cela je film reste bavard bavard bavard...et très loin de la légèreté mozartiennne.
Un peu déçue au final ....la bande annonce m'avait inspirée mais que de bavardages parfois inutiles..... si un homme me parlait autant dans la vraie vie , ça me gonflerait rapidement c'est dommage car les acteurs sont vraiment charmants dans leur sensibilité malgré une fin en queue de poisson.
On se retrouve toujours en terrain connu (et entre gens de qualité) dans un nouvel Emmanuel Mouret.
Ce nouvel opus ne déroge pas à la règle. Les petits cartons qui rythment la chronique, l'écoulement du temps, le sens du rythme aiguisé, la vertu performative des dialogues, la sincérité des sentiments - et leur fugacité : tout est délicieux et surprenant, comme d'habitude.
La maturité venant, le réalisateur s'assagit tout de même. Les situations sont moins cocasses que dans sa jeunesse, et la chronique se teinte ici d'une pointe de nostalgie et de regret. Cette inflexion, que l'on sentait poindre dans ses deux derniers films, se matérialise ici par de nouveaux types de plans : un arrêt silencieux sur une nuque qui s'incline, des plans fixes sur les lieux qu'ont fréquenté les personnages. Autant de petites respirations qui permettent de méditer sur la pertinence des choix des personnages.
Kiberlain, et surtout Macaigne, sont dirigés de main de maître et dévoilent une profondeur qu'on ne leur connaît pas forcément.
Un bon cru, peut-être moins subtil que d'habitude, et moins riche narrativement que Les choses qu'ont dit, les choses qu'ont fait, mais très agréable à regarder.
C'est d'un ennui complet. Je me suis barré avent la fin tant le film constitue la caricature du film français parisien sur deux êtres qui se rencontrent et s'aiment en marge de leur autre vie. Pourtant, j'aime bien les deux acteurs mais ce marivaudage est mal joué, mal écrit et bourré des clichés du genre. Encore ce cinéma français encensé par la critique qui est autocentré sur une histoire de deux parisiens entre deux âges et dirigé par un cinéaste qui se prend pour un nouveau Rohmer. N'y allez pas.
A la fois drôle, touchant, et poétique, le dernier film de Mouret est une ode à la liberté et à l'amour. On y retrouve tout ce qui fait le cinéma de son réalisateur : des répliques envolées, à la limite du théâtrale, une histoire de sentiments et d'adultère, et un cadre bourgeois parisien. Le film ne plaira donc pas à tout le monde, mais pour les personnes sensibles à ce type de poésie, Chronique du liaison passagère est un véritable bonheur
Un homme marié et une femme divorcée s'engagent dans une liaison "pour le plaisir". Ils ne souhaitent pas s'attacher l'un à l'autre mais juste vivre leur relation pleinement. Dans cette nouvelle comédie sentimentale, on retrouve le personnage d'homme indécis, velléitaire et un peu maladroit qu'affectionne Emmanuel Mouret, rôle qu'il confie cette fois à Vincent Macaigne. Face à lui le premier rôle féminin est interprété par une épatante Sandrine Kiberlain, Georgia Scalliet venant compléter ce duo dans la deuxième partie du film. Des dialogues ciselés, des situations amoureuses traitées avec une rare élégance, des personnages féminins forts, c'est tout l'art d'Emmanuel Mouret dont on cite souvent les influences de Rohmer ou de Woody Allen.
J'ai particulièrement aimé cette nouvelle version de l'adultère avec aimer ou ne pas aimer, tromper ou ne pas tromper, être dans l'engagement ou non mais surtout n'éprouver aucune culpabilité et faire tomber les tabous pour ne penser qu'à être heureux et pouvoir prétendre au bonheur sans obligations.
Pour l'une libérée, dés le départ, nous savons qu'elle n'avouera jamais la vérité à la femme trompée et si c'est un réel soulagement pour celui qui trompe, il faut vraiment qu'elle le mette en confiance pour enfin penser, croire et même être convaincu qu'il ne trompe pas sa femme puisqu'il l'aime mais que sans doute d'une routine trop pesante va chercher ailleurs.
Et peut-être même qu'en rentrant chez lui, il est plus agréable parce qu'il culpabilise de la tromper tout de même sans la tromper mais lui seul le sait et c'est tout de même une très grande différence pour souffrir plus.
La rencontre sur site amène du piment et si les deux jeunes femmes sont plutôt libérées avec une progression finale très intéressante, lui se trouve pris au dépourvu et se reproche sans doute de ne pas avoir été à la hauteur et de lui avoir laissé la place libre ?
En conclusion, je me suis tout simplement dit que les hommes et les femmes sont vraiment très différents et que nous les femmes nous devons vraiment être très tolérantes à cause de leurs différences mais surtout parce qu'ils nous font souffrir et qu'ils ne le savent même pas.
Ce film ce film c'est Le mépris sans Brigitte Bardot et sans Michel Piccoli. Une fille et un mec moche se rencontrent. Lui, il parle beaucoup, beaucoup trop pour ne rien dire. Elle c'est la reine des intellos bêbete qui a oublié le Glamour à force de lire Télérama. Ce film raconte la pire love story depuis que le cinéma existe. Le réalisateur enchaîne les situations en croyant être aussi génial que Alain Renais, Jean-Luc Godard, ou Woody Allen. JLG est mort ou à décidé de se foutre en l'air en regardant la bande annonce de ce film. N'y allez pas, vous risquez de regretter pendant de longues semaines cette expérience si peu cinématographique. Le pire du cinéma français s'incarne avec ce que nous propose Emmanuel Mouret.
Encore une fois, je me suis fait avoir par les critiques dithyrambiques sur ce film barbant à souhait. L' histoire est très maigre, ni drôle, ni émouvante. Des dialogues aussi surréalistes que plats. Sandrine Kiberlain joue bien. Vincent Macaigne a du mal avec un texte aussi nul. L'absence de sex appeal et de sensualité des personnages saute aux yeux et fait que l'on ne croit même pas à cette histoire pourtant banale. Bref, c'est long, on s'ennuie, passez votre chemin.
Le titre en lui-même prête à réflexion : une liaison peut-elle être passagère ? le film met en évidence les tentations et les pièges et l'on s'aperçoit qu'il est bien compliqué de diriger ses émotions et prendre les bonnes décisions. Le sujet est intéressant mais, si l'on excepte Sandrine Kiberlain, les acteurs ne sont pas convaincants : Vincent Macaigne est godiche et se perd dans des questions interminables. Ce n'est pas le film de l'année !
film très léger , que du bonheur avec ce qu' on vit actuellement , on y rit de bon coeur , ces amants qui ne veulent pas etre amoureux , , et toute cette histoire sur une superbe musique , et les rebondissements de la fin , jusqu' au bout pleil inattendu dans la salle où j' ai visionné ce film ça a beaucoup ri
Moins drôle que Woody Allen, plus réaliste que le perché Rohmer mais aussi poétique et sensible que ces deux-là, Emmanuel Mouret nous peint ici la chronique d’une liaison d’abord légère et inconséquente puis un peu plus dramatique entre deux adultes en milieu de vie, Charlotte, la lumineuse Sandrine Kiberlain et Simon, le lunaire Vincent Macaigne. Plein de tendresse pour ses personnages, le film reste dans le non-dit et l’ellipse tout en marquant nettement les étapes-clés de la relation sentimentale qui se développe de manière finalement peu contrôlée par ses protagonistes. Après un twist scénaristique qui relance à mi-film l’intérêt du spectateur qui aurait fini par s’endormir à l’écoute de dialogues très écrits, la comédie légère se confronte au drame. Superbe dialogue à la sortie du cinéma (Scènes de la vie conjugale !). Des acteurs impeccables, y-compris Georgia Scalliet en Louise qui trouble le mécanisme auquel on avait fini par s’habituer. Nos yeux se mouillent un peu… On restera sur un bon souvenir.