Chronique d'une liaison passagère : Critique presse
Chronique d'une liaison passagère
Note moyenne
4,0
35 titres de presse
Bande à part
Franceinfo Culture
L'Humanité
Le Parisien
Les Echos
Ouest France
Paris Match
Voici
20 Minutes
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
Elle
L'Obs
La Croix
La Septième Obsession
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Marie Claire
Positif
Transfuge
Télérama
aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
Première
Sud Ouest
Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Léo Ortuno
Une mise en scène inventive, en dialogue permanent avec de formidables acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Chronique d'une liaison passagère est une délicieuse et brillante fantaisie amoureuse dans l'esprit 18e siècle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Variation subtile sur le sujet rebattu de l'amour adultère, le nouveau film d'Emmanuel Mouret est un enchantement.
Le Parisien
par La Rédaction
Brillant, attendrissant, « Chronique d’une liaison passagère », par l’auteur de « Mademoiselle de Joncquières » et « Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait », est une nouvelle partition, sur du Mozart, de l’invention de sa vie à tout âge et des détours très retors du désir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste des « Choses qu'on dit, les choses qu'on fait » revient avec un film séduisant et spirituel où il met en scène deux amants qui se promettent de ne jamais tomber amoureux. Un « jeu de dupes » farfelu et émouvant avec une rare délicatesse et un art consommé de la suggestion.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Thierry Cheze
Emmanuel Mouret confirme son statut de roi de la comédie romantique made in France avec deux interprètes au diapason.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Cette course à la séduction, petit bijou d’écriture, est sûrement le film le plus accompli de son auteur.
Voici
par La Rédaction
Délicate chronique d'une fin annoncée, touchante et drôle, portée par un duo d'acteurs en fusion !
20 Minutes
par Caroline Vié
Emmanuel Mouret parle d’amour dans ce film léger où la gravité s’invite souvent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Au-delà des mots, la relation amoureuse selon Mouret est un continuel partage de l’espace, joueur et impatient, où l’architecture, même dans ses barrières (portes et parois), accompagne les incessants transports des corps et des voix plutôt qu’elle ne les circonscrit. Au sens propre, la liaison est ici l’art de se lier partout, une agilité de la présence à deux autant qu’une souplesse de la conversation.
Critikat.com
par Marin Gérard
Un film à la légèreté trompeuse qui s'achemine discrètement vers une dernière partie bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Eleonore Vigier
Un peu à la manière des Salons de Diderot, "Chronique d’une liaison passagère" incite par son allure de promenade à commencer par déambuler avant de se laisser saisir par l’expérience, amoureuse en l’occurrence, et toute la surprise qu’elle revêt.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La comédie romantique mais pas platonique, est joliment servie par les déclarations chuchotées de tendresse entre deux acteurs au caractère vif et enjoué.
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Derrière son titre décourageant et son verbe intimidant, Chronique d'une liaison passagère est une romance à la fois drôle, solaire et mélancolique. Grâce à la justesse de ses interprètes, à l'épure de son écriture et à la finesse de sa mise en scène, Emmanuel Mouret livre un sommet de délicatesse et de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par F.D.
Le réalisateur éprouve une tendresse infinie pour ses personnages. Nous aussi.
L'Obs
par Sophie Grassin
Mais Mouret, en privilégiant le mouvement, en utilisant le plan-séquence, sait aussi le lester d’ambiguïté : que cachent ses héros quand il les filme de dos ? Que disent-ils, que ne « non-disent-ils » pas ? Voire d’une vraie gravité comme en témoignent ces plans accompagnés d’une musique de Poulenc sur des lieux vides, témoins de leur bonheur passé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Emmanuel Mouret revient avec une comédie sentimentale étincelante sur les désaccords entre le féminin et le masculin, dans laquelle Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne jouent subtilement de leurs différences.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Emmanuel Mouret interroge avec élégance ce en quoi le chemin de traverse, fait pourtant d’incertitudes, nourrit aussi l’inattendu. La beauté se loge dans ce film, et le cinéaste, l’esprit le plus libre et gracieux du cinéma aujourd’hui, étonne et émerveille,
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il y a une évidence au couple délicieux formé par Sandrine Kiberlain (dans le rôle de la mère célibataire, femme libérée) et Vincent Macaigne (dans le rôle de l’homme marié, un rien gauche). Leur formidable élégance sentimentale rend particulièrement attachante cette chronique du dilemme amoureux.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une œuvre riche et singulière.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J. Ma.
Voilà donc une terrible illustration de la complexité de l’âme humaine et du rapport amoureux, pourtant servie avec une clarté, une précision, une limpidité, qui enchantent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Une nouvelle variation mourettienne, mineure mais inspirée, et par endroits déchirante, autour du couple.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une comédie déchirante, parce qu’elle dit la beauté des amours qui auraient pu construire quelque chose de solide et puis au fond non, n’y pensons plus, c’est mieux comme ça. Chronique d’une liaison passagère est le meilleur film d’Emmanuel Mouret à ce jour.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Que l'on trouve cette nouvelle romance [...] rafraîchissante ou prévisible, le cinéma de Mouret reste un refuge à la grisaille anxiogène.
Positif
par Vincent Thabourey
Grâce à la précision de l’écriture et à la fluidité de la mise en scène, Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne donnent à voir toute la palette de leur talent.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Grand observateur de la séduction et du sentiment, Emmanuel Mouret parachève avec Chronique d’une liaison passagère son art du discours amoureux.
Télérama
par Marie Sauvion
Une comédie réjouissante, portée par des acteurs remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Badin et délicat, ce nouvel opus d’Emmanuel Mouret est une très belle fable sur le désir, l’amour et la vacuité humaine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Beau et doux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
[Une] valse des sentiments portée par une mise en scène toute en insouciance et des dialogues faisant la belle langue du metteur en scène de Mademoiselle de Joncquières.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thomas Baurez
Emmanuel Mouret prouve une nouvelle fois qu’il est le roi incontesté de la comédie romantique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Même si le film souffre de certains ralentissements avant de décoller, Emmanuel Mouret parvient à creuser encore son territoire et à varier les angles : la grâce de l’instant dont l’amant, fût-il adultère, a tant de mal à profiter. La lenteur masculine qui, même déguisée en délicatesse, ne fait pas le poids face à la célérité féminine. L’éloge de la légèreté aussi, qui tourne au châtiment.
Télé 2 semaines
par La rédaction
On sourit devant cette fantaisie un brin bavarde mais qui fait souffler un vent de fraîcheur sur la rentrée.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une fois de plus, Emmanuel Mouret, cinéaste de la carte du Tendre contemporain, cisèle, avec l’élégance et l’humour qui le caractérisent, un marivaudage à la fois sensible et sincère, riche de tout petits riens qui font les films qui touchent et questionnent en douceur.
Libération
par Sandra Onana
Si l’indifférence s’invite, c’est que le film paraît surtout se régaler ou s’émouvoir de ses propres idées, comme s’il se portait très bien sans nous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Une mise en scène inventive, en dialogue permanent avec de formidables acteurs.
Franceinfo Culture
Chronique d'une liaison passagère est une délicieuse et brillante fantaisie amoureuse dans l'esprit 18e siècle.
L'Humanité
Variation subtile sur le sujet rebattu de l'amour adultère, le nouveau film d'Emmanuel Mouret est un enchantement.
Le Parisien
Brillant, attendrissant, « Chronique d’une liaison passagère », par l’auteur de « Mademoiselle de Joncquières » et « Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait », est une nouvelle partition, sur du Mozart, de l’invention de sa vie à tout âge et des détours très retors du désir.
Les Echos
Le cinéaste des « Choses qu'on dit, les choses qu'on fait » revient avec un film séduisant et spirituel où il met en scène deux amants qui se promettent de ne jamais tomber amoureux. Un « jeu de dupes » farfelu et émouvant avec une rare délicatesse et un art consommé de la suggestion.
Ouest France
Emmanuel Mouret confirme son statut de roi de la comédie romantique made in France avec deux interprètes au diapason.
Paris Match
Cette course à la séduction, petit bijou d’écriture, est sûrement le film le plus accompli de son auteur.
Voici
Délicate chronique d'une fin annoncée, touchante et drôle, portée par un duo d'acteurs en fusion !
20 Minutes
Emmanuel Mouret parle d’amour dans ce film léger où la gravité s’invite souvent.
Cahiers du Cinéma
Au-delà des mots, la relation amoureuse selon Mouret est un continuel partage de l’espace, joueur et impatient, où l’architecture, même dans ses barrières (portes et parois), accompagne les incessants transports des corps et des voix plutôt qu’elle ne les circonscrit. Au sens propre, la liaison est ici l’art de se lier partout, une agilité de la présence à deux autant qu’une souplesse de la conversation.
Critikat.com
Un film à la légèreté trompeuse qui s'achemine discrètement vers une dernière partie bouleversante.
Culturopoing.com
Un peu à la manière des Salons de Diderot, "Chronique d’une liaison passagère" incite par son allure de promenade à commencer par déambuler avant de se laisser saisir par l’expérience, amoureuse en l’occurrence, et toute la surprise qu’elle revêt.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La comédie romantique mais pas platonique, est joliment servie par les déclarations chuchotées de tendresse entre deux acteurs au caractère vif et enjoué.
Ecran Large
Derrière son titre décourageant et son verbe intimidant, Chronique d'une liaison passagère est une romance à la fois drôle, solaire et mélancolique. Grâce à la justesse de ses interprètes, à l'épure de son écriture et à la finesse de sa mise en scène, Emmanuel Mouret livre un sommet de délicatesse et de sensibilité.
Elle
Le réalisateur éprouve une tendresse infinie pour ses personnages. Nous aussi.
L'Obs
Mais Mouret, en privilégiant le mouvement, en utilisant le plan-séquence, sait aussi le lester d’ambiguïté : que cachent ses héros quand il les filme de dos ? Que disent-ils, que ne « non-disent-ils » pas ? Voire d’une vraie gravité comme en témoignent ces plans accompagnés d’une musique de Poulenc sur des lieux vides, témoins de leur bonheur passé.
La Croix
Emmanuel Mouret revient avec une comédie sentimentale étincelante sur les désaccords entre le féminin et le masculin, dans laquelle Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne jouent subtilement de leurs différences.
La Septième Obsession
Emmanuel Mouret interroge avec élégance ce en quoi le chemin de traverse, fait pourtant d’incertitudes, nourrit aussi l’inattendu. La beauté se loge dans ce film, et le cinéaste, l’esprit le plus libre et gracieux du cinéma aujourd’hui, étonne et émerveille,
Le Dauphiné Libéré
Il y a une évidence au couple délicieux formé par Sandrine Kiberlain (dans le rôle de la mère célibataire, femme libérée) et Vincent Macaigne (dans le rôle de l’homme marié, un rien gauche). Leur formidable élégance sentimentale rend particulièrement attachante cette chronique du dilemme amoureux.
Le Figaro
Une œuvre riche et singulière.
Le Monde
Voilà donc une terrible illustration de la complexité de l’âme humaine et du rapport amoureux, pourtant servie avec une clarté, une précision, une limpidité, qui enchantent.
Les Fiches du Cinéma
Une nouvelle variation mourettienne, mineure mais inspirée, et par endroits déchirante, autour du couple.
Les Inrockuptibles
Une comédie déchirante, parce qu’elle dit la beauté des amours qui auraient pu construire quelque chose de solide et puis au fond non, n’y pensons plus, c’est mieux comme ça. Chronique d’une liaison passagère est le meilleur film d’Emmanuel Mouret à ce jour.
Marie Claire
Que l'on trouve cette nouvelle romance [...] rafraîchissante ou prévisible, le cinéma de Mouret reste un refuge à la grisaille anxiogène.
Positif
Grâce à la précision de l’écriture et à la fluidité de la mise en scène, Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne donnent à voir toute la palette de leur talent.
Transfuge
Grand observateur de la séduction et du sentiment, Emmanuel Mouret parachève avec Chronique d’une liaison passagère son art du discours amoureux.
Télérama
Une comédie réjouissante, portée par des acteurs remarquables.
aVoir-aLire.com
Badin et délicat, ce nouvel opus d’Emmanuel Mouret est une très belle fable sur le désir, l’amour et la vacuité humaine.
La Voix du Nord
Beau et doux.
Le Journal du Dimanche
[Une] valse des sentiments portée par une mise en scène toute en insouciance et des dialogues faisant la belle langue du metteur en scène de Mademoiselle de Joncquières.
Première
Emmanuel Mouret prouve une nouvelle fois qu’il est le roi incontesté de la comédie romantique.
Sud Ouest
Même si le film souffre de certains ralentissements avant de décoller, Emmanuel Mouret parvient à creuser encore son territoire et à varier les angles : la grâce de l’instant dont l’amant, fût-il adultère, a tant de mal à profiter. La lenteur masculine qui, même déguisée en délicatesse, ne fait pas le poids face à la célérité féminine. L’éloge de la légèreté aussi, qui tourne au châtiment.
Télé 2 semaines
On sourit devant cette fantaisie un brin bavarde mais qui fait souffler un vent de fraîcheur sur la rentrée.
Télé 7 Jours
Une fois de plus, Emmanuel Mouret, cinéaste de la carte du Tendre contemporain, cisèle, avec l’élégance et l’humour qui le caractérisent, un marivaudage à la fois sensible et sincère, riche de tout petits riens qui font les films qui touchent et questionnent en douceur.
Libération
Si l’indifférence s’invite, c’est que le film paraît surtout se régaler ou s’émouvoir de ses propres idées, comme s’il se portait très bien sans nous.