Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
CaptPicard
26 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 28 novembre 2013
les commentaires négatifs des non fan précédent sont totalement inutile. ce film s'adresse aux fans qui ont vu toutes les séries aux complets pour comprendre l'humour. les événements cité. la chute qui a fait pleurer tous les fans. j'ai du verser au moins 4 ou 5 fois des larmes devant l'émotion qui nous envahie sur certaines scène mythique et épique. ce film est tout simplement une merveille ou on retrouve tout nos acteurs favori au sommet de leurs formes. ce film reste gravé a tout jamais dans nos mémoires et vaux 20 J.J Abrams . les commentaires asserb de certains ne devraient même pas être publié. merci a tous pour ce film. et patrick on t'aime!
N'étant pas fan de Star Trek et n'ayant pas vu un seul épisode de la série, j'ai tout de même essayé de voir ce film...Je connais un petit peu l'univers et j'avoue avoir apprécié Star Trek Premier Contact en raison de la diversité des références science-fictionnelles proposées. Ici, rien de tel: on a en réalité une succession d'affrontement qui sont pour un non-initié sans âme. Ne connaissant pas les personnages en scène, je n'ai pu que (vaguement) m'attacher à l'androïde et un peu au capitaine du vaisseau, sans plus...Et il n'y a rien d'autre...Le thème principal (hormis les affrontements spatiaux), le clonage, est à mon avis mal traité et ne suscite ici pas de réflexion...La visualisation de la série m'a probablement manqué...Ce film ne peut s'apprécier que par référence au reste de la série et c'est bien son problème...
Un excellent film !!! C'est le dernier voyage interstellaire de l'équipage Picard à bord de l'U.S.S Entreprise !!! Patrick Stewart ( Professeur Charles-Xavier dans la saga X-Men ) remplie pour son dernier Star Trek !!! Whoopi Goldberg fait une apparition comme dans Star trek Generations !!!
Après deux opus réussis derrière la caméra, Jonathan Frakes laisse sa place à Stuart Baird pour ce qui est le dernier film de la "Next generation" avant le "lifting" opéré par J.J. Abrams. Ici, on suit Jean-Luc Picard et son équipage qui doivent rétablir des liens entre la Fédération et le peuple Romulien.
Et dans l'ensemble ça finit plutôt bien. Alors certes c'est imparfait, notamment à cause d'un scénario qui commence un peu à tourner en rond dans la seconde partie et, qu'excepté le personnage de Picard, les autres membres non robot de l'équipage ne sont toujours guère approfondis et intéressant mais il est bien difficile de bouder son plaisir devant ce film qui finalement s'avère bien rythmé, sans temps morts et avec un méchant réussi.
Contenant quelques idées périlleuses, il sait se faire efficace, avec des méchants qui vont donner du fil à retordre à Picard. Plutôt bien mis en scène et réalisé, c'est plaisant, avec de beaux plans, des scènes d'action réussies, un bon dosage entre action et moment calme ainsi qu'une bonne construction du récit. Les effets spéciaux sont réussis et bien utilisés et plusieurs scènes sont assez mémorables. Pour sa dernière, Patrick Stewart est encore impeccable, comme souvent, et face à lui le jeune Tom Hardy, pour l'un de ses premiers vrais rôles, campe à merveille un méchant affaibli.
Et enfin, pour cette dernière avant le renouveau d'Abrams, juste quelques mots pour féliciter ce que je considère comme une constante de haut niveau dans cette saga, à savoir la bande originale et plus particulièrement celle de Jerry Goldsmith qui aura signé 5 épisodes (dont celui-ci).
Conclusion d'une belle saga qui aura qui m'aura plutôt bien plu dans l'ensemble avant l'inévitable passage par la case "reboot" de notre ère. Une conclusion efficace et plutôt bien foutue pour l'équipage de "Next Generation" qui aura su prendre la relève de la génération Nimoy.
13 984 abonnés
12 478 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 7 juin 2021
Troisième et dernier film basè sur Star Trek : La nouvelle gènèration et premier Star Trek du XXIe siècle! En fait pour faire simple pour le non initiè, il s'agit là du dixième volet de la franchise! Y gravitent encore et toujours l'Enterprise et son infatigable capitaine Jean-Luc Picard qui rêve à des mondes nouveaux! Cap cette fois sur Romulus pour une affaire de grande importance! Un nouveau gouvernement est arrivè au pouvoir et Picard a du pain sur la planche pour remplir sa mission! Rèbellion, allègeance, devoirs impèriaux et un peu de sang mêlè sont au menu! Les F / X et la musique rèpondent prèsent ainsi que l'humour de Brent Spiner! Notons que c'est l'un des premiers rôles de Tom Hardy, la boule à zèro pour incarner le mèchant et patient Praetor Shinzon, une race fait pour la guerre et la conquête! Mais prêt à plonger tout le quadrant dans la guerre pour exorciser ses vieux dèmons personnels...
le plus faible épisode de cette saga. Autant le scénario que les décors s'apparentent plus à un épisode 'classique' de la série télé, du coup une grande déception pour les fans. PLV : à réserver aux complétistes
Déjà que l'univers Star Trekien me fascine pas des masses, l'équipe de la nouvelle génération est ici vraiment la plus pitoyable. Le personnage "Data" me gonfle tout autant qu'un Jar Jar Binks.
Dernier film "Star Trek" de la Nouvelle Génération avant le reboot de J.J. Abrams, "Nemesis" se pose comme l'opus le plus réussi des aventures du capitaine Picard et de son équipage. En effet, sur un scénario écrit par John Logan, Picard doit y affronter un ennemi en la personne de Shinzon qui n'est autre que son clone, mourant et décidé à s'en prendre à lui pour survivre. Parce que Shinzon est incarné par un Tom Hardy alors encore inconnu au bataillon mais déjà charismatique et parce que le film prend le temps d'explorer les sentiments de Picard et de Data (une fois de plus au détriment des autres personnages), cette aventure se révèle riche en rebondissements avec une réalisation au service des scènes d'actions qui ne manquent pas. Rythmé, instaurant une foule de thèmes intéressants comme celui de la dualité humaine, "Nemesis" permet de dire adieu aux personnages de la Nouvelle Génération en beauté. Force est de constater qu'ils nous manqueront tout de même moins que Kirk, Spock et consorts, la faute à un équilibre entre action et psychologie moins intelligemment maintenu que dans les anciens films. Reste tout de même ce quatrième film en guise de conclusion efficace, divertissant et spectaculaire comme il faut.
Pour ce qui est des nouveautés, le robot Data se trouvera un frère, et Tom Hardy (pour l'un de ses premiers rôles) viendra camper le méchant. "Star trek : Nemesis" viendra clore cette saga de façon assez regrettable, ne laissant aucun souvenir après son passage. Pour ce qui est de la saga, chaque épisode tiendra la route, mais aucun n'arrivera véritablement à relever le niveau d'un cran supérieur, et ce même degré d'ennui ne cessera de planer tout au long des volets. On n'arrive pas à s'accrocher aux personnages (hormis le robot Data peut-être), et quand bien même on développera un minimum de considération à leur égard, on se retrouvera confronté à une nouvelle équipe. De plus, il n'y aura pas vraiment de fil conducteur entre les épisodes. Les scénarios n'auront pas grande saveur, les effets-spéciaux n'arriveront pas à nous faire voyager, les dialogues se contenteront davantage de jargons techniques qu'autre chose, et certains passages seront d'une idiotie incontestable. Dans l'ensemble, "Star trek" manque de fignolage, tantôt dans l'écriture, tantôt dans la mise en scène ; et quand on sait que ce sont les détails qui font la différence, on comprendra alors pourquoi on restera indifférent face à cette expérience qu'est "Star trek". En définitive, il n'y aura pas photo, en tant que saga spatiale, "Star trek" restera loin derrière "Star wars". On a été bon joueur en lui donnant sa chance une fois, mais on ne s'y reprendra pas, car s'enfiler (s'infliger) ces dix volets n'était certainement pas une partie de plaisir.
Dixième et dernier film de la saga et quatrième celle imaginée pour la série "The Next Generation", Star Trek Némésis n'a pas l'étoffe des précédents grands longs-métrages, notamment l'incontournable Premier contact, mais a le mérite d'être suffisamment réussi et divertissant pour conserver sa place parmi la décalogie. Tout d'abord grâce à son esthétique nettement plus attractif que son prédécesseur mais aussi grâce à son scénario certes très typé épisode de la série mais néanmoins plutôt bien ficelé... Alternant entre (courtes) scènes d'action et dialogues cérébraux autour d'un enjeu politique finalement très proche de la réalité lors de la sortie du film (nous sommes en 2002). En effet, notre cher Capitaine Jean-Luc Picard et sa fine équipe doivent empêcher un mégalomane rémien (clone semi-raté de Picard et télépathe de surcroît) d'étendre ses armes de destruction massive sur la Terre. Un pitch basique heureusement appuyé par des confrontations réussies, un humour toujours aussi présent, des scènes d'action palpitantes et l'approfondissement – encore une fois – des personnages. Ainsi, outre le mariage de Riker et Deanna, nous faisons à nouveau face à la psychologie sans cesse grandissante de Data, l'androïde sensible aux émotions humaines, qui découvre ici son "frère" Proto, issu du même créateur. Quant au méchant de l'histoire, c'est le jeune et encore méconnu Tom Hardy (fabuleusement charismatique) qui se charge d'incarner ce clone de Picard, Rémien à la tête des Romuliens. Nous rigolerons bien entendu du retour au kitch des maquillages peu reluisants des Romuliens (pauvre Ron Perlman), de dialogues parfois incompréhensibles et des nombreuses lenteurs du film. Reste pourtant de ce dixième et dernier opus un spectacle tout à fait réjouissant où confrontations et émotion se mêlent à un complot politique finalement très sympathique. Plusieurs passages resteront gravés dans la mémoire des fans (les principaux spectateurs de la saga) comme la confrontation entre l'Enterprise et le vaisseau ennemi Cimeterre ou encore le sacrifice final d'un personnage emblématique particulièrement touchant. Pas aussi impressionnant qu'espéré mais néanmoins bon en soit, Star Trek Némésis clôture gentiment une saga vieille de plus de vingt ans.
Ce star trek est moins bien que le précédent et pas vraiment le meilleur, mais la présence de bons effets spéciaux quasi absents dans la plupart des star trek à cause de leur vieillesse donne un plus à ce film. Fans de star trek, ne vous atendez pas à voir spock, ça fait lontemps qu'il n'est plus là et si vous voulez le voir, regardez le prochain !
Malgré des moyens honorables, ce dixième opus est marqué par une intrigue alambiquée et peu crédible, des acteurs peu expressifs. L"intrigue et bien moins intéressante que les épisodes de la série. Ici, Star Trek c'est la menace fantôme de l'attaque des clones du Jedi Picard. Par ailleurs, la musique ressemble plus à celle d'un comics qu'à celle de Star Trek. Une vraie déception.
Dernier film du commandant Picard (20 ans avant son retour dans la série éponyme !), le film marque la fin d’une série ayant marqué une génération de spectateurs. On assiste donc aux adieux des différents personnages qui ont bien vieilli dans une histoire qui confronte notre héros âgé à son clone plus jeune et assoiffé de pouvoir ! Une bonne histoire de conclusion histoire de boucler la boucle ! Bataille spatiale spectaculaire, retournement de situation, alliance inédite, fin heureuse ou tragique, tous les ingrédients sont réunis pour une fin en apothéose ! La nostalgie est forcément de mise à la fin du film et l’émotion est bien présente dans les yeux de Patrick Stewart lors de cette dernière scène.
Vraiment pas terrible. Les costumes et le maquillage des méchants sont toujours aussi mauvais. Le scénario a de l'idée mais est vite effacé par des dialogues sans saveur ni profondeur. J'ai l'impression que c'est toujours la même issue avec de l'action similaire aux autres Star Trek spoiler: Boucliers inefficaces, vaisseau qui est touché et qui tremble mais s'en sort... . Une vraie déception, aucune originalité. Tom Hardy est tout de même une surprise et en dehors d'avoir l'aspect charismatique d'un méchant, il en a au moins la teneur.