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C’était nul, film sans aucun intérêt que des scènes de sexes. Ce film n’apporte rien, on avais envie de se barrer dès les 20 premières minutes
Admirable performance d'Emma Stone qui porte le film sur ses épaules du début à la fin. Une oeuvre à mi-chemin entre Elephant Man et Frankenstein tout en embrassant l'émancipation de son héroïne.
Exceptionnel, PUISSANT un vrai moment de cinéma!
Malgré quelques effets très appuyés, je me suis laissée embarquée grâce à l'histoire, les comédiens, la réalisation. J'en suis encore assez ébranlée...
Nous étions quelques uns à rester "scotchés" à nos fauteuils bien après le générique.
ENVIE DE LE REVOIR ...
MERCI!!!
Malgré quelques effets très appuyés, je me suis laissée embarquée grâce à l'histoire, les comédiens, la réalisation. J'en suis encore assez ébranlée...
Nous étions quelques uns à rester "scotchés" à nos fauteuils bien après le générique.
ENVIE DE LE REVOIR ...
MERCI!!!
Un film malsain, insoutenable par moments, interminable par d'autres. Un film qui cherche juste à choquer dont on ne voit pas l'intérêt. Le message soi disant féministe est tout à fait limite. Aussi vu, aussitôt oublié. Je ne sais même plus comment ça finit.
Je n'ai vu que les derniers films de Lanthimos mais on dirait qu'enfin il a trouvé un terrain de jeu propice à son talent et à son ambition pour des films démesurés, amples, bigger than life (je parle franglais c'est ringard, et alors ?). Mais aussi que Lanthimos a trouvé une actrice à la hauteur de sa démesure, de sa folie géniale. Emma Stone est impressionnante là où pour moi les acteurs sont les plus impressionnants, en un seul regard, sans dire un mot, on a tout compris du personnage. Et ce regard évolue au cours du film. C'est prodigieux. Comme ces Poor Things, c'est génial de créativité, d'inventivité pendant 145 minutes. C'est très drôle, c'est intelligent, c'est du vrai et du pur plaisir cinéma ! Et ça marque durablement.
Oh et pour les chagrins qui trouvent que c'est du féminisme au rabais ou du féminisme de mauvais gout, c'est le principe même des grands personnages et des vraies libertés, ils s'en foutent.
Un chef d'oeuvre (et je ne galvaude pas ce genre de mot mais pour être en phase avec le début de mon texte : MASTERPIECE).
Oh et pour les chagrins qui trouvent que c'est du féminisme au rabais ou du féminisme de mauvais gout, c'est le principe même des grands personnages et des vraies libertés, ils s'en foutent.
Un chef d'oeuvre (et je ne galvaude pas ce genre de mot mais pour être en phase avec le début de mon texte : MASTERPIECE).
Un petit OVNI très intéressant qui va faire parler.
C'est l'histoire d'une création monstrueuse, d'un médecin farfelu et étrange qui se sert d'une femme qui tente de mettre fin à ses jours.
L'univers est incroyable, les décors et les costumes incroyables, tout est très soigné et onirique.
On voyage dans le temps, parce que le scénario se déroule dans un mélange d'époque, on voyage aussi à travers le personnage principal vers des villes totalement réinventée, c'est hyper créatif, un peu perché et ça évade vraiment surtout.
C'est l'histoire d'une création monstrueuse, d'un médecin farfelu et étrange qui se sert d'une femme qui tente de mettre fin à ses jours.
L'univers est incroyable, les décors et les costumes incroyables, tout est très soigné et onirique.
On voyage dans le temps, parce que le scénario se déroule dans un mélange d'époque, on voyage aussi à travers le personnage principal vers des villes totalement réinventée, c'est hyper créatif, un peu perché et ça évade vraiment surtout.
Très mitigé sur ce film. Sur le plan de la forme, c’est un film pénible, toujours en sur régime de plans, de cadrages qui se veulent baroques, dérangeants. Un début en noir et blanc ( pour faire chic, genre Éléphant Man ou Freaks ?) puis ça bascule à la couleur sans raison évidente. Un abus du procédé Fish Eye qui déforme jusqu’à l’écœurement bon nombre de scènes. Il y a trop d esbroufe, de maniérisme, et puis a supposer que cela fonctionne une ou deux fois cela devient franchement pénible et laid. Pareil pour les décors et coloriages qui font ressembler par exemple Paris à Barcelone. On ne sait plus si l’on est chez Tim Burton, chez Disney ?
Reste le scénario, plus intéressant que toutes ces affèteries : le parcours d’une jeune femme qui se libère progressivement de son statut de poupée ( on a parlé de Barbie, moi j’ai plutôt vu Pinocchio - encore trop de références) et affirme une liberté sexuelle radicale. Le récit baroque d’une émancipation. C’est le cœur du film, et c’est assez décapant, et surtout magnifiquement servi par une Emma Stone très inventive et Mark Ruffalo, comme toujours impeccable. Mais néanmoins, tout cela, malgré son brio , paraît extrêmement long …
Reste le scénario, plus intéressant que toutes ces affèteries : le parcours d’une jeune femme qui se libère progressivement de son statut de poupée ( on a parlé de Barbie, moi j’ai plutôt vu Pinocchio - encore trop de références) et affirme une liberté sexuelle radicale. Le récit baroque d’une émancipation. C’est le cœur du film, et c’est assez décapant, et surtout magnifiquement servi par une Emma Stone très inventive et Mark Ruffalo, comme toujours impeccable. Mais néanmoins, tout cela, malgré son brio , paraît extrêmement long …
Audrey L
Pauvres Créatures est une expérience stupéfiante. Le générique de fin est silencieux (on n'ose rien dire), comme un calme après la tempête de tout ce que Pauvres Créatures nous a fait vivre pour la bonne cause, réfléchir, redécouvrir Frankenstein (une œuvre qu'on pensait connaître par cœur, et Yorgos Lanthimos de trouver la faille), ouvrir grand les yeux devant ces décors hallucinants, devant la scène de danse complètement dingo, et devant le jeu sur-investi d'Emma Stone (le rôle de sa carrière), de Mark Ruffalo et Willem Dafoe (en grandes formes). Yorgos Lanthimos est un esthète, adorant mettre des focales fish-eyes (l'effet "Judas"), du noir et blanc, des décors sur-colorés, difformes, impossibles, balançant tous les costumes les plus fous (toutes ces épaulettes ! On veut les mêmes !), nous surprenant par la forme sans pour autant perdre de vue la force de son propos. Car, quel que soit votre genre, si vous avez un soupçon de considération pour les femmes, vous serez vite touché par le personnage de Bella, une "créature" qui s'éveille aux plaisirs de chair (attention : nombreuses scènes de nu, on préfère prévenir) avec toute l'innocence d'une enfant qui n'a pas connu l'adolescence (sans transition, c'est un jeu simple, agréable, intime, pour elle qui ne voit pas le regard possessif des machos sur son corps). Et Yorgos de préciser de suite : il ne s'attaque pas aux hommes en général, puisque deux des personnages positifs (le Professeur et l'étudiant) qui respectent la liberté de Bella, sont des hommes qu'on respecte nous-mêmes en retour, mais Yorgos trépane à vif ceux qui pensent qu'une femme est un objet à posséder, un sac-à-mains à exhiber en soirée mondaine, un défouloir sexuel à portée de main, et moins intéressante si elle réfléchit. Ceux-là même qui méritent le sort du méchant (qu'on a trouvé génial), littéralement
spoiler:
"bêtes à manger du foin"
. D'ailleurs, qui sont ces fameuses "Pauvres créatures" ("pauvres petites choses") du titre ? Vous avez 4h. Et n'oublions pas de parler du rapport divin du créateur (Godwin, "God", pour les intimes), du rapport à la beauté (le lien de Bella et les gueules cassées dans le lupanar parisien, ces "fracassés" qui restent plus honnêtes que le bel homme toxique campé par Mark Ruffalo)... Pour la ré-interprétation du mythe de Frankenstein, on pensait avoir tout vu, même au féminin (la Fiancée de Frankenstein qui est faite pour les besoins de La Créature, jusqu'au récent Weird Science, dont la Créature plantureuse ne veut pas céder aux hommes et redevient inerte), mais on n'avait pas vu venir ce 1% qu'il restait à explorer, la floraison-express d'une femme attirante sur le plan intime et intellectuel, dont le parcours est semé de déceptions et de soutiens inattendus, et dont le final reste spoiler: une belle image égalitaire qu'on rêve de ne plus qualifier d'utopie...
Pour la Créature si attachante, personne d'autre qu'Emma Stone, qui se donne à 1000%, nous emporte dans l'innocence de son personnage, dans les frasques amoureuses torrides, dans les gags qu'elle provoque malgré elle (Bella réagit à l'impulsion, en-dehors de tout code sociétal, et le décalage est très drôle), dans le regard triste de cette femme sur les cages dorées dont elle s'échappe, dans l'évolution intellectuelle de son personnage (jusqu'au dernier plan, jouissif). Pour la musique, Jerskin Fendrix (en lisant trop vite, on a pensé à un guitariste qui n'aurait pas boudé cette BO) nous offre des petites mélodies étranges, avec des cordes (de violons ?) pincées, tirées de façon dissonantes, et bizarrement fascinantes. Un peu comme Pauvres Créatures, comme Emma Stone, comme Bella : tout est cabossé, fait de douleurs et de moments de bonheurs suspendus, de stupéfaction pour ce qui nous échappe, surtout pour une liberté qui reste ce curieux objet du désir. Être (ou comprendre) les femmes, quoi.
. D'ailleurs, qui sont ces fameuses "Pauvres créatures" ("pauvres petites choses") du titre ? Vous avez 4h. Et n'oublions pas de parler du rapport divin du créateur (Godwin, "God", pour les intimes), du rapport à la beauté (le lien de Bella et les gueules cassées dans le lupanar parisien, ces "fracassés" qui restent plus honnêtes que le bel homme toxique campé par Mark Ruffalo)... Pour la ré-interprétation du mythe de Frankenstein, on pensait avoir tout vu, même au féminin (la Fiancée de Frankenstein qui est faite pour les besoins de La Créature, jusqu'au récent Weird Science, dont la Créature plantureuse ne veut pas céder aux hommes et redevient inerte), mais on n'avait pas vu venir ce 1% qu'il restait à explorer, la floraison-express d'une femme attirante sur le plan intime et intellectuel, dont le parcours est semé de déceptions et de soutiens inattendus, et dont le final reste spoiler: une belle image égalitaire qu'on rêve de ne plus qualifier d'utopie...
Pour la Créature si attachante, personne d'autre qu'Emma Stone, qui se donne à 1000%, nous emporte dans l'innocence de son personnage, dans les frasques amoureuses torrides, dans les gags qu'elle provoque malgré elle (Bella réagit à l'impulsion, en-dehors de tout code sociétal, et le décalage est très drôle), dans le regard triste de cette femme sur les cages dorées dont elle s'échappe, dans l'évolution intellectuelle de son personnage (jusqu'au dernier plan, jouissif). Pour la musique, Jerskin Fendrix (en lisant trop vite, on a pensé à un guitariste qui n'aurait pas boudé cette BO) nous offre des petites mélodies étranges, avec des cordes (de violons ?) pincées, tirées de façon dissonantes, et bizarrement fascinantes. Un peu comme Pauvres Créatures, comme Emma Stone, comme Bella : tout est cabossé, fait de douleurs et de moments de bonheurs suspendus, de stupéfaction pour ce qui nous échappe, surtout pour une liberté qui reste ce curieux objet du désir. Être (ou comprendre) les femmes, quoi.
Sérieux mais la musique déjà est la pire qu'on puisse faire c'est un calvaire pour les oreilles et pour les yeux car le film descend l'image des hommes pour montrer une liberté decadente de la femme .. cest un film pọŕñø !!!!! Donc n'y allez pas avec des enfants ce n est pas mentionné mais il y a plus de sexe que de parole
Magnifique, à la fois plein de poésie, de folie, humour et de leçon de vie. C'est un film que j'ai déjà envie de revoir !
un pur chef d'œuvre le scénario est très prenant mais aussi d'une pureté étonnant lié avec un langage esthétique puissant qui montre bien que ce n'est pas un film banal qui parle bien de la vie en général avec des petites touches d'humour bien placé
Wow ! Enfin un scénario original ! Les images, la cadrage, la musique !! Tout est parfait pour se mettre dans cet univers absurde.
En revanche, quelques scènes qui traînent en longueur et ramollissent le rythme du film pour au final avoir une fin selon moi bâclée. Quel dommage qu'il y ait autant de scènes sexuelles qui selon moi n'étaient pas utiles à regarder pour montrer les travers de Bella !
En revanche, quelques scènes qui traînent en longueur et ramollissent le rythme du film pour au final avoir une fin selon moi bâclée. Quel dommage qu'il y ait autant de scènes sexuelles qui selon moi n'étaient pas utiles à regarder pour montrer les travers de Bella !
Tout d’abord, n’emmenez pas vos enfants voir ce film ! Il est tout public mais ce n’est pas normal du tout (gore, beaucoup de scènes de sexe…).
Pour ma part, je n’ai pas du tout aimé, malaisant, glauque, long, très très long j’ai trouvé…
Je suis partie avant la fin alors que ça ne m’arrive jamais … 👎
Pour ma part, je n’ai pas du tout aimé, malaisant, glauque, long, très très long j’ai trouvé…
Je suis partie avant la fin alors que ça ne m’arrive jamais … 👎
Une expérience de cinéma comme on en voit rarement, quoique, "Babylone" et "Parasites" ne sont pas si loin... Bref, encore une claque revigorante qui rappelle que le cinéma reste un art majeur, à condition qu'on le sorte des diktats commerciaux et de la médiocrité ambiante. Emma Stone et ses collègues sont stupéfiants, l'audace et la liberté du personnage principal est magnifiquement servie par les décors, costumes, et la réalisation. Ce conte pour adultes jouissif, trash, libéré, hilarant, inquiétant, étrange, beau et laid à la fois, vaut le détour. Seule sa morale un peu trop appuyée menace parfois de briser le charme, heureusement sans y parvenir !
Le style, les images, la musique, l'ambiance, tout est très bien travaillé et frôle la perfection. En plus de cela le propos est profond, et le film est beaucoup plus intello que ce qu'on pourrait imaginer. Je n'ai pas vu passer le temps !
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