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Votre avis sur Pauvres Créatures ?
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Film obscène, justifiant la pédophilie d'hommes sur une enfant sous couvert qu'elle est dans un corps d'adulte. Une enfant dans un corps d'adulte dont tout le monde abuse. Et en nous faisant passer le message que le seul plaisir qu'elle a en tant qu'enfant, c'est le sexe.
Elle ne croise que des psychopathes et des dérangés mentaux pendant tout le film.
Passez votre chemin, plusieurs personnes ont quitté la salle pendant la projection.
Violence animal, femme Objet, tout y est.
Elle ne croise que des psychopathes et des dérangés mentaux pendant tout le film.
Passez votre chemin, plusieurs personnes ont quitté la salle pendant la projection.
Violence animal, femme Objet, tout y est.
Aucun intérêt, histoire décousue et caricature des personnage, aucune magie, style déjà vu (la magie en moins), cinéma d'initiés. Seul point positif : la qualité de jeu de l'actrice principale
Vérifiez 2 fois avant d'y aller, des personnes ont fini par quitter la salle
Vérifiez 2 fois avant d'y aller, des personnes ont fini par quitter la salle
Une coquille vide, de beaux décors fantasmagoriques mais pas de dialogue de qualité pas d'intrigue , ennuyeux et pire devient progressivement un porno serie B.
C'est la première fois que je quitte une salle avant la fin
C'est la première fois que je quitte une salle avant la fin
J’ai mis 5/5 (attention, je vais être chiante)
C’EST UNE MERVEILLE CE FILM WOAW C’ÉTAIT BEAU À REGARDER
de la magie en barre
Emma Stone + Willem Dafoe + Mark Ruffalo = ouais (même si Willew Dafoe me fou les fucking jetons)
J’ai la FLEMME d’argumenter tfacon le film est pas sorti donc personne pour me contredire (j’ai prévenu que j’allais être chiante mais ouais j’ai vu le film en avant première française hehehehe flex)
Je suis contente d’être dans l’univers dans lequel je peux regarder Emma Stone être une actrice je pense que c’est un des meilleurs univers alternatif possible juste apres celui où la guerre n’existe pas et celui où la couleur jaune moutarde n’a jamais été utilisée avec le vert kaki
C’EST UNE MERVEILLE CE FILM WOAW C’ÉTAIT BEAU À REGARDER
de la magie en barre
Emma Stone + Willem Dafoe + Mark Ruffalo = ouais (même si Willew Dafoe me fou les fucking jetons)
J’ai la FLEMME d’argumenter tfacon le film est pas sorti donc personne pour me contredire (j’ai prévenu que j’allais être chiante mais ouais j’ai vu le film en avant première française hehehehe flex)
Je suis contente d’être dans l’univers dans lequel je peux regarder Emma Stone être une actrice je pense que c’est un des meilleurs univers alternatif possible juste apres celui où la guerre n’existe pas et celui où la couleur jaune moutarde n’a jamais été utilisée avec le vert kaki
Difficile de faire plus soporifique . Une créature se balade dans des décors baroques et expérimente le kama -sutra. C’est interminable, répétitif soporifique. Des spectateurs quittent la salle. Le film est porté aux nues au motif qu’il s agirait de libération féminine.
En fait c’est un navet baroque et sans aucun intérêt.
Ne
N est pas Fellini qui veut !
A éviter sauf pour les insomniaques
En fait c’est un navet baroque et sans aucun intérêt.
Ne
N est pas Fellini qui veut !
A éviter sauf pour les insomniaques
selenie
On reconnaît la patte de Lanthimos, ce mélange des genres savamment dosé aussi bien sur la forme que sur le fond, de la dystopie, des sublimissimes décors flirtant avec le style steampunk dans un 19ème fantasmé, et ce scientifique qui nous présente cette variation de Frankenstein au féminin avec un lien pourtant résolument moderne et contemporain. On constate que cette émancipation et cette liberté que Bella cherche arrive par pour et avec son corps et donc par pour et avec le sexe. Le soucis n'est pas l'expérience en tant que telle, mais on constate que tout le cheminement de Bella vers son indépendance et son apprentissage du monde se résume au sexe. Dommage, d'autant plus qu'il y avait bien plus à explorer comme la politique et le militantisme abordés aussi vite qu'oubliés. Une chose est sûre, Lanthimos comme son actrice principale offrent une quête initiatique aussi audacieuse que fascinante malheureusement on aurait aimé un prisme plus large que cette angle uniquement sexuel, ce qui biaise un peu un propos qui s'avère alors un peu maladroit voir ambigu (tous les courants féministes vont une fois de plus se confronter !). Une petite déception.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
Film fantastique. Quelle originalité! Les couleurs, la musique, les décors. Quelques scènes assez malaisantes mais à prendre au second degré. Emma Stone est éblouissante.
Un film brillant mais dérangeant... à la croisée de orange mécanique et de tim Burton avec un zeste de Frankenstein....pour cinéphiles très avertis....Emma stone révèle une nouvelle facette de son immense talent et William Dafoe et Mark Ruffafo sont en pleine gloire
Film anti-féministe, pervert et malsain. En plus il est difficile de ne pas bailler tant le rythme est mauvais. Ce film prône l'insouciance féminine au détriment de leur responsabilité et donc de leur liberté et de leur pouvoir.
cauchmardesque malaisant
j ai eu envie de partir 10 fois ce qui ne m'arrive jamais.
ce n est pas une comédie loin de là.
gore
j ai eu envie de partir 10 fois ce qui ne m'arrive jamais.
ce n est pas une comédie loin de là.
gore
On peut trouver l'idée globale intéressante et l'esthétique (rétro futuriste vaguement steampunk) séduisante. Mais le traitement est glauque, la musique (?) abominable (un CALVAIRE), c'est gratuitement nauséeux, repoussant (à moins que vous n'aimiez les scènes avec scalpel à répétition), les personnages sont à peu près tous laids, l'histoire comporte UN seul rebondissement, c'est looooong (2h23), ça plaît à certains au vu des nominations mais ça peut aussi FORTEMENT déplaire pour ne pas dire donner envie de vomir. Vous ne direz pas qu'on ne vous aura pas prévenus :)
Aurais je déjà trouvé mon coup de cœur de 2024 en ce 1er janvier ?
Ce film aux allures d'impressionnisme aborde des thèmes de sociologie et de féminisme d'une délicatesse qui lui est propre. La musique est formidable et prenante, elle est bancale tout comme le personnage de Bella pour arriver à une musique douce et classique pour terminer le film.
Emma Stone est délicate et incroyable, ce role lui était destiné. Elle est fabuleuse et prête à dérober les prix d'interprétations !
Ce film aux allures d'impressionnisme aborde des thèmes de sociologie et de féminisme d'une délicatesse qui lui est propre. La musique est formidable et prenante, elle est bancale tout comme le personnage de Bella pour arriver à une musique douce et classique pour terminer le film.
Emma Stone est délicate et incroyable, ce role lui était destiné. Elle est fabuleuse et prête à dérober les prix d'interprétations !
Je crois qu'on tient la bouse arty chic pseudo-destroy de cette année 2024.
Filmer au fish eye ne fait pas un style. Avoir un budget costume, maquillage et décor illimité ne fait pas une esthétique. Filmer Emma Stone à poil la moitié du film et prendre en otage les spectateurs ne rend pas un film transgressif.
La bouse la plus boursouflée de prétention jamais vue.
Yorgos vainqueur par abandon(j'ai fuit 3/4 d'heure avant la fin).
Filmer au fish eye ne fait pas un style. Avoir un budget costume, maquillage et décor illimité ne fait pas une esthétique. Filmer Emma Stone à poil la moitié du film et prendre en otage les spectateurs ne rend pas un film transgressif.
La bouse la plus boursouflée de prétention jamais vue.
Yorgos vainqueur par abandon(j'ai fuit 3/4 d'heure avant la fin).
Univers glauquissime... Sur la forme, les idées, ça m'a fait penser à *la mort vous va si bien ", mais sinon, j'ai guetté l'heure.. En plus, si ce film est tout public, les bras m'en tombent...
L'année 2024 débute sous d'heureux auspices avec ce très réussi «Pauvres Créatures», concocté par le talentueux réalisateur Yórgos Lánthimos, et à l'occasion duquel il retrouve l'une des actrices de son précédent (et très réussi aussi) «La Favorite», Emma Stone.
Relecture lointaine et haute en couleurs de l’œuvre de Mary Shelley, et récompensée par le Lion d'Or à la dernière Mostra de Venise, il s'agit là surtout d'un récit sur l'apprentissage et encore plus sur le désir féminin.
Celui de Bella, une jeune femme s'étant suicidée et ayant été ramené à la vie par son "père", le docteur "God"win Baxter.
Une jeune femme "désynchronisée" et sans filtre (mais pas sans intelligence), qui va réapprendre la vie et le monde, en voyageant et en vivant tout, le meilleur comme le pire.
Une jeune femme à la sexualité et à la pensée décomplexées, qui va tracer sa propre route, sans l'aide des hommes autour d'elles, et encore moins de ceux qui lui disent comment elle devrait se comporter selon les bonnes mœurs de la société, ceux qui la considèrent comme une simple expérience, ceux qui veulent la garder enfermée, prisonnière.
Emprunt d'une folie douce constante, combinant décors victoriens et esthétique pastel, et accompagnée d'une musique désaccordée et expérimentale (à l'image de sa protagoniste principale), une œuvre poétique, drôle et déstabilisante qui est portée par un casting des plus solides, de Willem Dafoe, très convaincant en docteur défiguré aux méthodes peu orthodoxes, à Marc Ruffalo, délectable en séducteur lourdaud et très frustré.
Mais LA force principale du film, celle qui vaut presque à elle seule le déplacement n'est autre qu'Emma Stone. Tour-à-tour excentrique et irrévérencieuse, fragile et déterminée, elle fait littéralement des étincelles dans le rôle (son meilleur à ce jour) de cette "Prométhée" moderne et féministe, qui devrait lui valoir très prochainement un second Oscar.
Bref, une fable inventive et singulière sur la reconstruction et le libre-arbitre, une ode intelligente et outrancière à l'émancipation, et le premier film véritablement qualitatif de ce début d'année. 7,5-8/10.
Relecture lointaine et haute en couleurs de l’œuvre de Mary Shelley, et récompensée par le Lion d'Or à la dernière Mostra de Venise, il s'agit là surtout d'un récit sur l'apprentissage et encore plus sur le désir féminin.
Celui de Bella, une jeune femme s'étant suicidée et ayant été ramené à la vie par son "père", le docteur "God"win Baxter.
Une jeune femme "désynchronisée" et sans filtre (mais pas sans intelligence), qui va réapprendre la vie et le monde, en voyageant et en vivant tout, le meilleur comme le pire.
Une jeune femme à la sexualité et à la pensée décomplexées, qui va tracer sa propre route, sans l'aide des hommes autour d'elles, et encore moins de ceux qui lui disent comment elle devrait se comporter selon les bonnes mœurs de la société, ceux qui la considèrent comme une simple expérience, ceux qui veulent la garder enfermée, prisonnière.
Emprunt d'une folie douce constante, combinant décors victoriens et esthétique pastel, et accompagnée d'une musique désaccordée et expérimentale (à l'image de sa protagoniste principale), une œuvre poétique, drôle et déstabilisante qui est portée par un casting des plus solides, de Willem Dafoe, très convaincant en docteur défiguré aux méthodes peu orthodoxes, à Marc Ruffalo, délectable en séducteur lourdaud et très frustré.
Mais LA force principale du film, celle qui vaut presque à elle seule le déplacement n'est autre qu'Emma Stone. Tour-à-tour excentrique et irrévérencieuse, fragile et déterminée, elle fait littéralement des étincelles dans le rôle (son meilleur à ce jour) de cette "Prométhée" moderne et féministe, qui devrait lui valoir très prochainement un second Oscar.
Bref, une fable inventive et singulière sur la reconstruction et le libre-arbitre, une ode intelligente et outrancière à l'émancipation, et le premier film véritablement qualitatif de ce début d'année. 7,5-8/10.
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