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Votre avis sur Spider ?
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Pour la composition mélancolique du génial Howard Shore...mais surtout pour Ralph Fiennes, magnifiquement dirigé par Cronenberg. Pourtant, sans rester totalement extérieur à Spider, le spectateur que je suis a eu du mal à pénétrer pleinement dans ce film explorant avec une certaine sobriété l'esprit fou de l'être humain. Chose rare avec la coqueluche canadienne, la dimension organique et charnelle est rejetée au profit d'un caractère plus cérébral ( c'est sans doute ce qui m'a le plus surpris ). Sans pour autant se prétendre intellectuel, Spider demeure plus hermétique qu'un The Fly ou qu'un Dead ringers, en raison de l'absence quasi totale de viscéralité. Voilà donc un bon film qui se réclame psychologique mais pas totalement efficace ( trop d'introspection tue parfois l'introspection...). Si le scénario peut décevoir ( quelques longueurs, d'autant plus que le film de Cronenberg est parfois creux ), l'interprétation est magistrale ( surtout celle de Ralph Fiennes, dont le personnage se situe entre la transe et l'évanescence ). Intéressant, sans être captivant...
🎬 RENGER 📼
Avec Spider (2002), nous nous retrouvons dans la tête d’un schizophrène, où la folie est omniprésente.
David Cronenberg, plus doué avec les thrillers (A History of Violence - 2005 ou encore Les Promesses de l'ombre - 2007) qu’avec les films socio/dramatiques, nous endors dès le premier quart d’heure. Scénario complexe, quasi-incompréhensible, mise en scène lente et dénouement aussi difficile à cerner que le film en lui-même.
David Cronenberg nous embarque dans un autre monde, une bizarrerie qui risque d’en laisser plus d’un sur le carreau !
C’est regrettable, car niveau distribution, nous ne pouvions pas rêver mieux, avec d’un côté Gabriel Byrne et de l’autre Ralph Fiennes qui est réellement stupéfiant et impressionnant !
David Cronenberg, plus doué avec les thrillers (A History of Violence - 2005 ou encore Les Promesses de l'ombre - 2007) qu’avec les films socio/dramatiques, nous endors dès le premier quart d’heure. Scénario complexe, quasi-incompréhensible, mise en scène lente et dénouement aussi difficile à cerner que le film en lui-même.
David Cronenberg nous embarque dans un autre monde, une bizarrerie qui risque d’en laisser plus d’un sur le carreau !
C’est regrettable, car niveau distribution, nous ne pouvions pas rêver mieux, avec d’un côté Gabriel Byrne et de l’autre Ralph Fiennes qui est réellement stupéfiant et impressionnant !
Regarder SPIDER, cest attendre en vain que quelque chose se passe, dans un film qui ne se prête pas à ce quil se passe grand chose... Autrement dit : sennuyer. Et linterprétation nerveuse et tourmentée de Ralph Fiennes, aussi troublante soit elle, ne parvient pas à ne pas faire décrocher. « Il y a pire que de perdre lesprit, cest de le retrouver. » Cest vrai, il serait pire de se rappeler de SPIDER alors que Cronenberg a fait bien mieux.
Spider est un film fascinant qui réussit le tour de force de nous faire comprendre la folie vue de l'intérieur.Viggo Mortensen, l'acteur, est littéralement génial. La mise en scène est d'autant plus convaincante qu'elle est sobre et réaliste. Un vrai suspense psychologique qui vous tient de bout en bout.A voir absolument.
TTNOUGAT
Quelque soit le talent de Cronenberg comme réalisateur, quelque soit le mérite de ses acteurs, je ne peux pas aimer ce film. D’abord, je ne le comprends pas assez, les flashbacks sont confus, trop nombreux et embrouillés à la première vision de ce film qui en nécessite une seconde pour bien en parler. Ensuite, autant le fonctionnement normal d’un cerveau me passionne autant celui d’un cerveau malade me met mal à l’aise. Je laisse cela aux psychiatres /psychanalystes
et surtout à l’élite d’entre eux. Apparemment, le héros du film repart à l’asile guérit de son syndrome si j’ai bien compris, il a réussi à rétablir la vérité que sa schizophrénie avait bouleversé. Or, presque tout est fait pour que le spectateur ne puisse y penser trop tôt. Par exemple, le réalisme avec lequel est mis en scène l’assassinat de l’épouse ne laisse planer aucun doute sur sa réalité. Ce procédé là me gène par contre, j’ai apprécié l’art cinématographique qui nous permet de confronter l’enfance et l’âge adulte du héros. En faisant la part du vrai et des visions, je reverrai ce film par curiosité intellectuelle sans espérer cependant en sortir séduit.
et surtout à l’élite d’entre eux. Apparemment, le héros du film repart à l’asile guérit de son syndrome si j’ai bien compris, il a réussi à rétablir la vérité que sa schizophrénie avait bouleversé. Or, presque tout est fait pour que le spectateur ne puisse y penser trop tôt. Par exemple, le réalisme avec lequel est mis en scène l’assassinat de l’épouse ne laisse planer aucun doute sur sa réalité. Ce procédé là me gène par contre, j’ai apprécié l’art cinématographique qui nous permet de confronter l’enfance et l’âge adulte du héros. En faisant la part du vrai et des visions, je reverrai ce film par curiosité intellectuelle sans espérer cependant en sortir séduit.
Shephard69
Construit sur un modèle très proche de "Shutter Island" de Martin Scorsese, une nouvelle plongée de David Cronenberg dans les abîmes de la folie que ce thriller schizophrénique. Une écriture brillante mais exagérément complexe pour une histoire au final toute simple, prévisible. Un rythme extrêmement lent, une pénible sensation d'ennui renforcée par une mise en scène complètement dépouillée et une atmosphère austère, angoissante. Une déception à peine sauvée par l'excellente interprétation de Ralph Fiennes.
maxime ...
David Cronenberg ne manque pas de style. Il se joue de son récit , malmène les apparences, trouble son histoire pour mieux nous faire ouvrir les yeux et dégommer nos perceptions. Il n'éclair aucune zone d'ombre, s'en accommode tellement qu'il me perd ... La bizarrerie prend beaucoup de place, une énigme insoluble qui s'agite tout au long du film mais qui ne prend jamais racine. Spider déconcerte dans son aspect comme dans la forme, trop pour moi ...
Film d'une tendresse remarquable, qui nous berce comme une mère bercerait son enfant. Remarquable.
gimliamideselfes
Au début je trouvais ça un peu mou, puis passé la première demi heure, j'ai été captivé par l'écran, Cronenberg signe une oeuvre malsaine (comme à son habitude), délirante, belle, et surtout avec un Ralph Fiennes magnifique.
Un film qui se suit avec intérêt avec un bon scénario sans non plus nous époustoufler!!
Nul, ennuyant à mourir, j'ai été obligé d'arrêter tellement je n'ai pas accroché:
- c'est la seule fois depuis plus de 3 ans que j'arrête un film
- j'ai tellement été dégouté que j'en ai laissé une critique la seule d'ailleurs...
Pourtant, j'ai été extrèmement tolérant (plus d'une heure de film) vu que c'était un Cronenberg... Mais là, vraiment, soyons sérieux, c'est mauvais... Quand au bout d'une heure, on se pose toujours la question: "quand est-ce qu'il commence ce film?"; C'est qu'il y a un pb!
Je laisse le soin aux champions de la critique de vous vanter les qualités techniques de ce film pour "public restreint" et moi, en tant que simple cinéphile, je vous conseille de passer votre chemin.
BREF: Même si on me payait, je ne regarderai pas la dernière demi-heure...
- c'est la seule fois depuis plus de 3 ans que j'arrête un film
- j'ai tellement été dégouté que j'en ai laissé une critique la seule d'ailleurs...
Pourtant, j'ai été extrèmement tolérant (plus d'une heure de film) vu que c'était un Cronenberg... Mais là, vraiment, soyons sérieux, c'est mauvais... Quand au bout d'une heure, on se pose toujours la question: "quand est-ce qu'il commence ce film?"; C'est qu'il y a un pb!
Je laisse le soin aux champions de la critique de vous vanter les qualités techniques de ce film pour "public restreint" et moi, en tant que simple cinéphile, je vous conseille de passer votre chemin.
BREF: Même si on me payait, je ne regarderai pas la dernière demi-heure...
un tre bon film asse etrange com tous les cronenberg
Redzing
Traumatisé par un événement survenu dans sa jeunesse, un homme dérangé décide de mener sa propre psychanalyse, en arpentant les lieux de son enfance. Avec son rythme lent et sa réalisation très sobre, ce thriller psychologique en déroutera plus d'un, même parmi les fans de Cronenberg. Néanmoins, "Spider" se révèle intéressant à plus d'un titre. D'une part, Ralph Fiennes joue ce personnage principal tout en retenue, presque sans dialogue, et parvient à porter le film de manière touchante. Par ailleurs, cette plongée dans l'esprit est bourrée d'allégories, de métaphores, et de symbolismes plus ou moins cachés, qui donnent des clés pour saisir une intrigue à plusieurs niveaux de lecture. En somme, "Spider" est peut-être mineur dans la filmographie de Cronenberg, mais il est loin d'être inintéressant.
Santu2b
"Spider" n'est pas le film le plus connu de David Cronenberg mais mérite pourtant d'être vu. Le long-métrage est d'ores et déjà à ranger parmi les films "cérébraux" de son auteur. Point d'effets spéciaux ou de regards corporels, c'est en effet l'âme humaine que le cinéaste vient sonder, ici en l'occurrence la schizophrénie. Le générique, brillant, en donne le ton, en proposant une série variations subtiles autour du test de Rorschach. Cronenberg enchaîne alors avec une mise en scène épurée au possible, ce qui ne l’empêche pas d'être parfois d'une précision millimétrée. On peut saluer d'ailleurs le remarquable travail de Ralph Fiennes qui a véritablement confectionné lui-même son personnage. Cependant, ce n'est pas tant le déroulement lent de l'intrigue qui gêne mais plutôt son côté prévisible. "Spider" est donc un film attendu mais intelligent et globalement efficace.
Un des meilleurs films de Cronenberg.
Tout est parfait: histoire, acteurs, réalisation, décors, musiques, ...
Franchement j'ai adoré ce film, il ne peut laisser indifférent.
Vive Cronenberg.
Tout est parfait: histoire, acteurs, réalisation, décors, musiques, ...
Franchement j'ai adoré ce film, il ne peut laisser indifférent.
Vive Cronenberg.
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