Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Figaro
par É.N.
Dumb Money constitue un spectacle réjouissant. Craig Gillespie (Moi, Tonya) rend presque compréhensibles les méandres de cette entourloupe à la Don Quichotte. On sent chez lui une alacrité non dissimulée. Il affiche une saine vigueur, filme pied au plancher, pratique un montage au shaker.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Craig Gillespie épingle avec un plaisir non dissimulé un système corrompu et truqué qui n'autorise que l'enrichissement des puissants. Le scénario, drôle et corrosif, ménage le suspense et réserve de beaux moments d'émotion.
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
On ne peut pas dire que Dumb Money restera dans les mémoires, car il n'a peut-être pas la matière, le talent ou la puissance de ses prédécesseurs, tout en se cantonnant à une affaire sûrement trop américaine pour nous, mais il n'en reste pas moins le solide exemple d'un David contre Goliath conçu avec beaucoup d'amour et d'humour. On passe un bon moment et parfois, on ne demande pas mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une comédie très bien ficelée.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Dumb Money saisit sur le vif beaucoup de nos excès contemporains. Accélération sans fin, confusion entre le virtuel et le réel, inégalités abyssales, addiction à l’immédiateté… Craig Gillespie transforme ce qui aurait pu n’être qu’un clip branché en fable percutante.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un film-manifeste savoureux, pertinent et passionnant, dont le message, sur la possibilité de changer la donne, vaut d’être médité.
Voici
par La Rédaction
Nerveux, pédagogique et porté avec conviction par Paul Dano, ce Dumb Money n'a rien d'une arnaque.
Ecran Large
par Antoine Desrues
S’il se perd un peu dans sa vision réductrice d'un capitalisme démocratique, "Dumb Money" est à son meilleur lorsque sa simplicité met en valeur ses personnages comme allégorie d’un système américain brisé de l’intérieur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film suit au plus près Keith Gill dans sa vie de famille, mais aussi ceux qui le soutiennent. Déclinaison actuelle de Robin des Bois, il tire efficacement son suspense d’un enjeu crucial : les petits vendront-ils chacun leurs actions pour récupérer leurs bénéfices, au risque de briser le bras de fer mis en place par Roaring Kitting ?
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Si le film s’avère assez réussi, il ne diffère toutefois pas beaucoup de nombreux longs-métrages que l’on peut voir ces dernières années sur les plates-formes de streaming et qui adaptent ces « belles histoires » économiques de combat à la David contre Goliath…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Le film se perd dans sa technicité, qui l’empêche de toucher au plus juste : les portraits humains qui se cachent derrière l’argent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré ces réserves (de taille), Dumb Money a le mérite de donner à voir les circuits incontrôlables et destructeurs de l’économie folle et prête à sourire en remettant au goût du jour l’éternel combat du pot de terre contre le pot de fer. Un spectacle qui en vaut assurément beaucoup d’autres.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 2 semaines
par Sébastien Ors
Avec son casting de choix et sa mise en scène roublarde, ce film inspiré de faits réels nous ferait presque croire que la Bourse est l'avenir de la démocratie.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Avec son casting de choix et sa mise en scène roublarde, ce film inspiré de faits réels nous ferait presque croire que la Bourse est l'avenir de la démocratie.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce que montre Dumb Money, et qui fait tout l’intérêt d’une telle reconstitution, est que les défenseurs de GameStop n’ont pas seulement acheté des actions pour s’enrichir (de manière parfois colossale). Ils ont investi dans une belle histoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Joffrey Liagre
Le point de vue schématique du film émousse son propos politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans la lignée des fictions sur la finance comme « The Big Short : le casse du siècle » ou la série « Succession », cette comédie sociale bénéficie du savoir-faire américain pour vulgariser les enjeux jargonneux du trading dans un récit à la David contre Goliath dont on a vite fait le tour, les circonvolutions et la multiplication des personnages meublant plus qu’autre chose. En streaming, sur son canapé, ce serait mieux passé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par J. Ma.
Dumb Money s’éloigne non seulement pour cette raison de son modèle inavoué – l’excellent, cruel et délirant Casse du siècle (2015), d’Adam McKay, avec Christian Bale et Steve Carell – mais ne lui arrive à la cheville dans aucun des secteurs requis pour la réussite d’un film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Autour d'une histoire intéressante, son film ne fait que reproduire une recette déjà usée par le cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Camille Nevers
"Dumb Money" est un succédané admiratif de "The Big Short" et plus généralement du style d’Adam McKay. [...] "Dumb Money" remplace le nom de la marque (McKay) par une pâle copie (Gillespie), qui n’a pas le savoir-faire et le sens des finitions, le cousu main est reproduit à la machine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Nicolas Moreno
Le matériau de cet énième film de finance aurait pu porter un message fort (le pouvoir des masses est capable de renverser les riches), mais il se perd en chemin sans trouver l’équilibre espéré entre humour, émotion et cours d’économie.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Un film inégal, aussi anodin dans son déroulé que passionnant dans les perspectives qu’il dessine.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Le projet achoppe sur ce défilé démonstratif de visages absorbés : la possibilité d’une résonance entre les personnages se fracasse sur un mur d’interfaces de smartphones.
Le Figaro
Dumb Money constitue un spectacle réjouissant. Craig Gillespie (Moi, Tonya) rend presque compréhensibles les méandres de cette entourloupe à la Don Quichotte. On sent chez lui une alacrité non dissimulée. Il affiche une saine vigueur, filme pied au plancher, pratique un montage au shaker.
Le Journal du Dimanche
Craig Gillespie épingle avec un plaisir non dissimulé un système corrompu et truqué qui n'autorise que l'enrichissement des puissants. Le scénario, drôle et corrosif, ménage le suspense et réserve de beaux moments d'émotion.
Le Journal du Geek
On ne peut pas dire que Dumb Money restera dans les mémoires, car il n'a peut-être pas la matière, le talent ou la puissance de ses prédécesseurs, tout en se cantonnant à une affaire sûrement trop américaine pour nous, mais il n'en reste pas moins le solide exemple d'un David contre Goliath conçu avec beaucoup d'amour et d'humour. On passe un bon moment et parfois, on ne demande pas mieux.
Ouest France
Une comédie très bien ficelée.
Sud Ouest
Dumb Money saisit sur le vif beaucoup de nos excès contemporains. Accélération sans fin, confusion entre le virtuel et le réel, inégalités abyssales, addiction à l’immédiateté… Craig Gillespie transforme ce qui aurait pu n’être qu’un clip branché en fable percutante.
Télé 7 Jours
Un film-manifeste savoureux, pertinent et passionnant, dont le message, sur la possibilité de changer la donne, vaut d’être médité.
Voici
Nerveux, pédagogique et porté avec conviction par Paul Dano, ce Dumb Money n'a rien d'une arnaque.
Ecran Large
S’il se perd un peu dans sa vision réductrice d'un capitalisme démocratique, "Dumb Money" est à son meilleur lorsque sa simplicité met en valeur ses personnages comme allégorie d’un système américain brisé de l’intérieur.
La Croix
Le film suit au plus près Keith Gill dans sa vie de famille, mais aussi ceux qui le soutiennent. Déclinaison actuelle de Robin des Bois, il tire efficacement son suspense d’un enjeu crucial : les petits vendront-ils chacun leurs actions pour récupérer leurs bénéfices, au risque de briser le bras de fer mis en place par Roaring Kitting ?
Le Parisien
Si le film s’avère assez réussi, il ne diffère toutefois pas beaucoup de nombreux longs-métrages que l’on peut voir ces dernières années sur les plates-formes de streaming et qui adaptent ces « belles histoires » économiques de combat à la David contre Goliath…
Les Fiches du Cinéma
Le film se perd dans sa technicité, qui l’empêche de toucher au plus juste : les portraits humains qui se cachent derrière l’argent.
Marianne
Malgré ces réserves (de taille), Dumb Money a le mérite de donner à voir les circuits incontrôlables et destructeurs de l’économie folle et prête à sourire en remettant au goût du jour l’éternel combat du pot de terre contre le pot de fer. Un spectacle qui en vaut assurément beaucoup d’autres.
Télé 2 semaines
Avec son casting de choix et sa mise en scène roublarde, ce film inspiré de faits réels nous ferait presque croire que la Bourse est l'avenir de la démocratie.
Télé Loisirs
Avec son casting de choix et sa mise en scène roublarde, ce film inspiré de faits réels nous ferait presque croire que la Bourse est l'avenir de la démocratie.
Télérama
Ce que montre Dumb Money, et qui fait tout l’intérêt d’une telle reconstitution, est que les défenseurs de GameStop n’ont pas seulement acheté des actions pour s’enrichir (de manière parfois colossale). Ils ont investi dans une belle histoire.
Critikat.com
Le point de vue schématique du film émousse son propos politique.
L'Obs
Dans la lignée des fictions sur la finance comme « The Big Short : le casse du siècle » ou la série « Succession », cette comédie sociale bénéficie du savoir-faire américain pour vulgariser les enjeux jargonneux du trading dans un récit à la David contre Goliath dont on a vite fait le tour, les circonvolutions et la multiplication des personnages meublant plus qu’autre chose. En streaming, sur son canapé, ce serait mieux passé.
Le Monde
Dumb Money s’éloigne non seulement pour cette raison de son modèle inavoué – l’excellent, cruel et délirant Casse du siècle (2015), d’Adam McKay, avec Christian Bale et Steve Carell – mais ne lui arrive à la cheville dans aucun des secteurs requis pour la réussite d’un film.
Les Echos
Autour d'une histoire intéressante, son film ne fait que reproduire une recette déjà usée par le cinéma américain.
Libération
"Dumb Money" est un succédané admiratif de "The Big Short" et plus généralement du style d’Adam McKay. [...] "Dumb Money" remplace le nom de la marque (McKay) par une pâle copie (Gillespie), qui n’a pas le savoir-faire et le sens des finitions, le cousu main est reproduit à la machine.
Première
Le matériau de cet énième film de finance aurait pu porter un message fort (le pouvoir des masses est capable de renverser les riches), mais il se perd en chemin sans trouver l’équilibre espéré entre humour, émotion et cours d’économie.
aVoir-aLire.com
Un film inégal, aussi anodin dans son déroulé que passionnant dans les perspectives qu’il dessine.
Cahiers du Cinéma
Le projet achoppe sur ce défilé démonstratif de visages absorbés : la possibilité d’une résonance entre les personnages se fracasse sur un mur d’interfaces de smartphones.