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Un visiteur
2,5
Publiée le 29 juin 2011
Un très bon casting, un très bon réalisateur, mais un scénario qui n'inspirera pas plus. Je l'ai vu il y a 3 semaines et j'ai déjà du mal à vraiment me rappeler de son histoire. Après un second visionnage, je trouve sincèrement qu'on aurait pu recevoir mieux du grand Francis Ford Coppola. C'est bien filmé, bien monté, très agréable à regarder. Mais les personnages ne m'ont vraiment pas intéressé. Celui qu'on aimerait vraiment voir à l'oeuvre, c'est motorcycle boy ! Mais le film ne répond pas à cette demande. Et la fin ne m'a pas inspirée plus que ça... Je suis vraiment resté sur ma faim.
Le réalisateur essaye de faire comme une "suite" à outsiders et tente de créer un personnage culte, le motorcycle boy (ça passait c'était beau). Il faut reconnaitre hélas que c'est une grosse plantade malgré le casting impressionnant. Le film est juste construit sur un embryon de scénario Coppola a à priori tout misé sur une photographie spécifique osée pour l'époque, hélas ça ne fonctionne pas vraiment.
Rusty James est un film mineur dans la filmographie de l’américain, et c’est pas cette simplicité que le film ébloui. Les deux personnages, tant celui de Rusty James que de Motorcycle Boy porté par l’élégance, la non-chalence et la naturalité de Mickey Rourke sont extremement biens écrits. On retrouve, dans la mise en scène, quelques éléments qui font la marque de Coppola (le noir et blanc parsemé de quelques couleurs le long du film) sans pour autant y insister et toujours éviter la laideur comme dans Tetro (fait presque 30 ans plus tard tout de même) L’histoire, archi-simple, est l’évolution d’un djeun en marcel, dans l’ombre de son grand frère, meneur de gang armé de sa superbe « motorcycle ». Plus le film avance, plus c’est vers se personnage touchant, perdu et vu par la société et le sheriff comme fou, y compris par son frère. Seul le père Dennis Hopper (quelques apparitions, géniales )le défend de l’image qu’on lui donne. Seulement ce père là est complètement paumé et alcoolo, alors ça compte pas vraiment. Une des scènes les plus touchantes est sans doute dans le magasin d’animaux, quand « The Bro » admire les poissons sans les couleurs fantastiques qu’ils proposent (notre ami est daltonien, ce qui explique le noir et blanc du film et peut-être aussi un peu sa folie), sans oublier le dernier plan-séquence du film, splendide. Malgré une petite histoire et certains mauvais goûts, tout de même, des années 80 (on se croirait souvent dans le clip Beat it de Michael Jackson), Coppola signe un film grandiose par sa mise en scène et la poésie qu’elle fait ressentir.
Reléguant volontairement l'intrigue au second plan, Coppola accomplit dans "Rusty James" un très beau travail formel qui empreinte certains effets à l'esthétisme publicitaire, mais qu'il parvient à transcender. S'ouvre ainsi un univers original et parcouru par une inventivité jamais remise en cause. (comment passer à côté des superbes scènes oniriques qui ponctuent cette oeuvre foncièrement expérimentale). A sa sortie, le film fut accueilli avec dedain (tout comme d'autres films contemporains du cinéaste) mais demeure une réussite majeure qui révéla toute une génération d'acteurs (Matt Dillon, Mickey Rourke, Nicolas Cage et la belle Diane Lane).
J'ai regardé ce film parce que c'est Coppola le réalisateur, mais ooooh surprise certain cinéphiles disent que ce film est culte, mais moi j'ai avant tout trouvé le temps un peu longs.
J'ai aussi été surpris par une scène qui m'a fait penser au clip "beat it" du Roi de la pop d'ailleurs "beat it" et cette fameuse scène sont pratiquement identiques alors qui copié sur qui? J'imagine que c'est un hommage du Roi de la pop à ce film.
Bref c'est un film sur un petit caid admiratif de son frêre avec un mélange de bagarre, de drogue (ouai bon voilà quoi), le fait que ca soit en noir et blanc rajoute un aspect dramatique.
Je n'ai pas du tout accrocher.
Côté casting on retrouve les jeunes Matt Dillon, Mickey Rourke, Diane Lane (magnifique) et Nicolas Cage.
Dans ce film , le temps est long ... En plus d'une image en noir et blanc plus que très agaçant , je ne trouve en aucun cas , l'intérêt de ce film ... Disons que , ça parle de bagarres , de drogues , mais dans les parties de l'intrigue , rien ne se rassemble , et devient totalement artificiel. Dans ce cas là , Nicolas Cage et toute la bande déconnent par leur présence inutile . Seul Matt Dillon reste en haut de l'affiche ; mais on a toujours pas compris la présence de Mickey Rourke... A vrai dire, le film est dix fois trop vague ... Coppolla n'est pas un Dieu et il le prouve dans ce film un peu moyen.
Le noir et blanc est très beau et les acteurs, à l'image de Matt Dillon et de Mickey Rourke, sont bien dirigés. C'est les seules choses que j'ai à dire de positif sur ce film de Francis Ford Coppola, parce que je me suis vraiment emmerdé. J'ai trouvé l'histoire inintéressante et le temps très long. Bref je n'ai pas grand-chose à dire, simplement que j'étais à la limite de m'endormir pendant la globalité du film, qui est pourtant court, donc ma note est plutôt généreuse.
"Rumble fish" est un grand film. Filmé dans un splendide noir et blanc, "Rumble fish" est la preuve qu'un genre aussi connoté que le "teen-movie" peut donner naissance à des chef-d'œuvres. L'intrigue est bête comme chou; "Rusty james" aimerait bien être à la hauteur de son frère, ancien chef de gang, mais il ne comprend pas que son frère a vieilli et qu'il voit maintenant ces bagarres comme futiles. Cette histoire toute simple se déroule dans des 50's fantasmées, une ambiance onirique et parfois oppressante. Un conte sur la transition entre l'adolescence et l'age adulte, traité de façon quasi-expérimentale, "Rumble fish" est un film à voir. Et la musique de Steward Copeland, le batteur de Police, est assez brillante pour être soulignée.
Un très bon film de Coppola , une oeuvre plus intimiste et émouvante a travers la relation d'admiration entre ces deux frères , et qui aborde subtilement le problème de l'identification et des choix . Malgré un bon Matt Dillon , j'ai trouvé excellent la prestation de Mickey Rourke en ancien caid complètement chamboulé par un voyage révélateur , et on voit plein de seconds rôles très présents dans la filmo de Coppola (Nicolas Cage ou Laurence Fishburne par exemple) . La réalisation est trés maitrisé et nous laisse admirer la vie de cette jeunesse déboussolée des eighties , mais certains plans comme les transitions jour/nuit sont vraiment trop longs .
Le réalisateur d’Apocalypse Now (1979) a réalisé avant de conclure sa saga sur le Parrain, ce petit film adapté du roman de S. E. Hinton. Rusty James (1984) est un drame sociale qui nous raconte les déboires de certains adolescents aux Etats-Unis dans les années 70. Il y est question de bandes rivales, de secrets de famille et de fraternité entre frères, dont l’un est un jeune délinquant et l’autre, possède une solide réputation, celle du légendaire « Motorcycle Boy ». Francis Ford Coppola allie ici un scénario assez simpliste, à une sublime qualité photo en noir & blanc et à l’immense distribution dont fait preuve son film, dans laquelle on retrouve dans les rôles principaux : Matt Dillon, Nicolas Cage, Chris Penn & Laurence Fishburne. On se régalera encore du superbe jeu d’acteur de Mickey Rourke aux côté de Dennis Hopper, dans ce drame où l’émotion et la soif de vengeance se font sentir du début à la fin.
Après "Outsiders", Coppola livre ici un film dans la ligné du précédent, même millieu hors, non même époque, Matt Dillon et Mickey Rourke sont excellent, l'Histoire fraternelle de ce film est poignante, présente dans de nombreuses œuvres de l'auteur rappelant sa propre histoire. Les quatre couleurs utilisé pour ce film donne un aspect charmant et plein de style.
"Un film sur le passage à l'âge adulte". Voilà ce que je pouvais lire grosso modo -entre autres - sur la jacquette du DVD.
Et bien à mon avis le tout est assez décevant. Y a pas grand chose qui sonne juste dans cette histoire, du début à la fin, avec notamment le personnage de Mickey Rourke, sorte de mentor et de modèle à Matt Dillon, mais qui n'arrive pas à surpasser son frère... Mouai, la relation entre les deux est mal exploitée, tout comme le film qui n'avance pas. On a du mal à savoir où il veut en venir.
Au final il ne reste pas grand chose à sauver. Le nom du réalisateur n'y fera rien. Une seule toute petite étoile.