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    Rusty James
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    116 critiques spectateurs

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    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2016
    Dans la continuité d’Outsiders, Coppola continue d'aborder le thème de l'adolescence et plus précisément de la délinquance à travers Rusty James, où l’on retrouve une certaine mélancolie d’un passé révolu. Il met en avant ici les liens familiaux, ainsi que la jeunesse, l’humain, la vie ou encore la délinquance. Très bien écrit, l’œuvre prend vraiment une dimension forte, immersive, attachante et grandement émotionnelle, bénéficiant aussi d’un noir et blanc très bien expérimenté par Coppola, tandis que l’on baigne dans une ambiance envoutante et fascinante, alors que Matt Dillon et Mickey Rourke sont grandement charismatiques (et Stewart Coppeland livrant une mémorable bande-originale).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 février 2014
    Un film envoutant et d'un magnifique désœuvrement, qui sous la caméra virtuose et sensible de Coppola nous laisse entrevoir la poésie de ses frères singulier et de leur pérégrination existentielle.
    Dans ce film, on retrouve Rusty James, un jeune caïd d'une ville des États-Unis qui,
    étant le petit frère de l'ancien chef de gang, Motorcycle Boy, absent, veut marcher sur ces traces. Il n'hésite pas à affronter lui-même un chef de bande rivale. Il sera sauvé par le retour de son frère, un être désabusé fasciné par les poissons s'acharnant contre leur propre reflet.
    Rusty James est blessé durant le combat.
    On suit alors les pérégrinations de ces deux frères, on apprend leur passé et leur vie familiale. Le chef de la police trône comme l'ombre qui condamne Motorcycle boy.
    La photo et la mise en scène de ce film est magnifique et rend ce film, qui laisse présager d'un simple teen movie, dans la veine de"la fureur de vivre", une magnifique réflexion onirique sur deux frères, l'un désabusés, l'autre en perdition, l'un voulant marcher sur les traces de l'autre, l'autre à la croisé des chemins.
    Cette vie de bagarre et de douleur qui est en miroir de ces poissons bagarreurs et enfermés et qui fascine le daltonien Motorcycle Boy.
    Matt Dillon et Mickey Rourke ont chacun un charisme indéniable et campe magnifiquement leur rôle. Le travail de Coppola sur les visages et notamment de ces deux héros possède une force et capte parfaitement ces yeux distants ou plein de fureur de Rusty Boys.
    Le cadre pour filmer les héros, la ville est tout simplement sublime et rend une atmosphère singulière, entre réalisme et rêve.
    De plus, Rusty Boys souffre de son incapacité à devenir le chef d'un gang et se perd entre les coup qu'ils reçoit et la fille qui le quitte pour son ami.
    Il y à également une réflexion sur l'inconscience que ce soit de Motorcycle boys ou de Rusty James et d'un mystère quant au voyage de Motorcycle Boys à Los Angeles et sa rencontre avec sa mère. On comprend la réalité d(un arrière fond familial qui à œuvré à la psyché de nos deux frères.
    En conclusion, je ne peux que conseiller ce formidable film, mis en scène de manière magistral et qui élève le film à une poésie et une singularité qui en fait un film par delà le teen movie, un film sur des personnages, sur une atmosphère, sur une beauté formelle onirique et intriquant de ces magnifiques mouvements de caméra et de ces nuages qui trônent tout au long du film, et qui nous fait avoir peur pour l'avenir de nos héros d'une belle épaisseur et trèc touchant.
    A découvrir et se perdre avec nos deux frères
    Julien D
    Julien D

    1 211 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 février 2014
    Si l’on fait l’impasse sur la présence au casting de comédiens déjà reconnus et de futures stars montantes, tout dans Rusty James laisse à penser qu’il s’agit de la première expérience concrète, certes prometteuse, d’un réalisateur qui n’aurait jusque-là signé que quelques clips-vidéo. Et pourtant, derrière la caméra se tient un cinéaste qui vient, en à peine dix ans, de marquer à jamais l’approche cinématographique de la mafia et de la guerre du Viêt-Nam en signant Le parrain 1 et 2 et Apocalypse Now. Alors, qu’a-t-il pris à Francis Ford Coppola de revenir à un thème aussi rétrograde que la guéguerre que se livrent des gangs de jeunes délinquants? Sans doute est-ce parce que derrière ce contexte dépassé peuplé de poncifs, tiré du roman de Susan E. Hinton (dont il a aussi adapté dans la foulée The Outsiders qui se situe tellement dans le même univers que l’on ne peut les considérer, sinon comme des suites, au moins comme un dyptique), le réalisateur traite de son sujet de prédilection qu’est la transition du pouvoir. Malheureusement l’écriture pêche dans sa dynamique trop littéraire et dans le manque de vigueur de son propos, ce qui a pour effet de rendre le film terriblement monotone. Il mérite toutefois le coup d’œil pour profiter de l’astucieuse utilisation du noir et blanc, justifié par le daltonisme de l’un des principaux personnages, et pour redécouvrir les premiers pas de jeunes acteurs pleins de promesses.
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 décembre 2013
    Après le bon "Outsiders" Francis Ford Coppola remet ça avec un film sur la jeunesse malheureusement la magie ne prend pas comme avec le précédent la seule chose que je retiens est le casting qui est très bon pour le reste c'est un film très ennuyeux au scénario limité, on ne sait pas ou il veut en venir ce qui rend le tout assez léger et décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 juillet 2013
    « Petit frère » d'Outsiders,sorti 5 mois plus tôt en salles, Rusty James se déroule lui aussi dans la ville de Tulsa en Oklahoma, théâtre des exploits de Motorcycle Boy (Mickey Rourke), roi déchu dont tous les jeunes glorifient le nom. Son frère (Matt Dillon) rêve d'acquérir la même notoriété, et n'hésite pas pour cela à défier le chef du clan rival. Mais le retour improbable de son aîné lui sauvera la mise.

    Sur fonds de tensions familiales, Rusty James reprend les thématiques d'Outsiders, à savoir le mal être des jeunes, qui évacuent leur frustration par la violence entre bandes. Élevés par un père fauché et alcoolique, et délaissés par leur mère, les deux principaux protagonistes sont perdus, et vivent leurs existences sans buts ni objectifs.

    On retrouve ici les défauts inhérents à Outsiders : des personnages caricaturaux, qui malgré les artifices (crans d'arrêts, blousons de cuir), ont du mal à être crédibles. La faiblesse du scénario est également au rendez vous, puisqu'il n'y a pas réellement de fil conducteur dans la narration.

    Le principal intérêt du film réside principalement dans sa conception : le parti pris de Coppola de filmer en noir et blanc donne à l'image une qualité que peu de films ont réussi à atteindre. Matt Dillon montre un grand talent d'acteur, et sa beauté particulière est magnifiée par ce noir et blanc de toute beauté. Les plans montrant des poissons combattants aux couleurs éclatantes offre un contraste saisissant pour le spectateur, et montre la maîtrise absolue de l'image de Coppola dans ce film. La photographie est sublime, et met parfaitement en valeur la présence magnétique de Mickey Rourke, très bon dans la peau d'un Motorcycle Boy perdu et énigmatique. Le reste du casting regroupe des futures valeurs sures d'Hollywood, comme Chris Penn, Nicolas Cage ou encore Laurence Fishburne.

    Rusty James est un film qu'il ne faut pas regarder pour les mauvaises raisons : il ne peut contenter les amateurs de scénarios ficelés ou de films relatant les tensions entre bandes rivales. Ce film de Francis Ford Coppola plaira aux amateurs de cinéma désarticulé, parfois contemplatif, dans lequel la forme prend clairement le pas sur le fond.
    AMCHI
    AMCHI

    5 902 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 juin 2016
    Si ce film est parfaitement maîtrisé sur sa forme et que le N&B n'est nullement gênant car très beau il est quand même étrange de se dire que Coppola a réalisé Rusty James après les 2 premiers Parrains et Apocalypse now car Rusty James donne l'impression d'être le 1er film d'un jeune cinéaste. Rusty James semble assez creux, ça manque de hargne de rage ; le style fait parfois clip-vidéo, reste la découverte des débuts d'une nouvelle génération d'acteurs qui marquera plus ou moins le cinéma.
    ptiverat
    ptiverat

    14 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2013
    Le “ En attendant Godot” du teenage movie. Écho de la“ Fureur de vivre” et de la réplique de Buzz à James Dean qui lui demande:- Pourquoi on fait ça? (la course de voitures)--parce qu'il y a rien d'autre à faire!- Et oui il n'y a rien à faire dans ces banlieues américaines où “l'inculture” triomphe en prenant une marche interminable avec l'ennui!Et ses voyous s'ennuient jusqu'à la nausée du spectateur! Coppola a décidé de nous le montrer avec un scénario qui distille l'ennui sur des images et des plans parfaits échos aussi de du film de Ray! Le plan d'ensemble sur l'école rappelle furieusement le plan sur le planétarium ! Malheureusement la base d'un film qui tient la route ce n'est pas une bonne caméra à la bonne place. C'est un bon scénario! Et ici cela est mince, très mince et si la pièce sur l'ennui de Beckett fonctionne miraculeusement (aidé par le médium) le film de Coppola lui rouille très rapidement. La pellicule aurait mieux fait de brûler pour faire plutôt écho à Neil Young . Et ce n'est pas parce que le héros s'appelle aussi James ( ça commence à être gros comme référence) qu'il a de quoi se mettre quelque chose sous la dent dans le texte! Même le jeu de Mickey Rourke qui nous fait du Brando à la sauce parrain est ennuyant avec son faux mystère appuyé sur des sables mouvants scénaristiques. Le mystère pousse bien mal quand il est cultivé au cinéma avec des chaînes prêtes à tirer des motos" Et le papa alcoolique et la mère absente et le petit frère qui veut ressembler au grand frère? HOUU là! à peine de quoi tenir 20 minutes! Car effectivement au bout de 20 minutes on a tout compris; même le méchant policier, qui va c'est sur tirer l'admirateur des poissons multicolores, distille l'ennui! Je ne sais vraiment pas pourquoi j'avais aimé ce film à sa sortie? Je devais être sous l'effet des mêmes substances que consomment les voyous rouillés du film! Adios James plein de rouille...Et la finale putain la finale télégraphié dix minutes à l'avance!??? N'importe quoi pour ne pas nous distraire de notre ennui et de la rouille. Pour la somptueuse photo je mets 2 étoiles et s'il avait osé un film muet sur son scénario (avec petits cartons en prime) je lui aurais reconnu une certaine audace ! Il arrive ce Godot, je veux dire ce scénario?
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2022
    Mon frère ce héros !
    Un conte mélancolique qui fascine plus par sa mise en scène en noir et blanc virtuose, et son casting dément, avec notamment un Mickey Rourke magnétique, que pour son scénar pas super captivant
    this is my movies
    this is my movies

    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2016
    Après l'énorme échec de "Coup de coeur", Coppola se retrouvait acculé par les dettes (même si ce ne fût pas son dernier gros échec) et se tourna vers un cinéma plus modeste avec une nouvelle génération d'acteurs. On peut voir ce film comme un prolongement de "Outsiders" en tout cas, il en reprend les thèmes et l'acteur principal : M. Dillon. Ce dernier démontrait alors qu'il était la future star du cinéma US grâce à un jeu nerveux, une vraie présence et un physique avantageux. Dans son N&B somptueux, Coppola signe quelques plans d'une beauté à couper le souffle tandis que ses scènes du début confirment qu'il n'a rien perdu de son talent malgré un budget plus restreint. Toujours avide d'expérimentations (notamment sur le montage), il confirme son génie du cadre et de la direction d'acteurs. Après avoir tourner avec la crème des acteurs des 70's, il lance toute une nouvelle génération appelée à régner sur Hollywood : M. Rourke, son neveu N. Cage, la magnifique D. Lane, C. Penn ou encore L. Fishburne (plus D. Hopper pour encadrer le tout). Un film sur (une certaine) adolescence magnifique et hyper adulte, plus métaphysique parfois, formellement magnifique, bien interprété mais plus destiné à un public mature. D'autres critiques sur
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    330 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2013
    Un film qui se regarde surtout pour la mise en scène plus que maîtrisé de Francis Ford Coppola, accompagné,qui plus est, d'un noir et blanc sublime. Chaque plan pourrait être encadré et affiché dans une expo photo. Côté scénario j'ai l'impression d'être passé un peu côté. Mickey Rourke campe une sorte de Marlon Brando époque "l'équipé sauvage" repenti et philosophe, admiré par son frère (Matt Dillon). On retrouve les archétype déjà vu 100 fois des voyous bagareurs en blousons noirs. Rien de très original... A voir quand même.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    288 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2013
    La même année que The Outsiders, Francis Ford Coppola s’est associé une seconde fois avec S.E. Hinton pour adapter, avec elle, cette fois, Rumble Fish, avec un casting qui lui ressemble.

    En effet, on y retrouve Matt Dillon entouré d’un nombre étonnant de jeunes premiers qui réussiront plus tard dans le cinéma comme Nicolas Cage, Laurence Fishburne et Chris Penn. Le film marche très bien dans son premier acte, avec une introduction des personnages efficace et une scène d’action plutôt bien amenée, avec l’arrivée du personnage de Mickey Rourke. C’est malheureusement là que le film s’écroule un peu, et tombe dans une torpeur dont il ne sortira plus, se traînant en longueur avant une fin un peu trop abrupte et pas forcément logique. C’est dommage car les acteurs sont très bons et le noir et blanc est magnifique. Le film n’est pas détestable, il est juste très lent, sans n’avoir réellement quelque chose à raconter. Et ce ne sont pas les apparitions réjouissantes de William Smith, ni la musique pour le moins insidieuse qui parviennent à le sauver.

    Rusty James n’est pas forcément un mauvais film, c’est un petit thriller original qui manque un peu sa cible et qui souffrira de la comparaison avec The Outsiders.
    Shephard69
    Shephard69

    341 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 mars 2013
    Malgré un casting hors pair, les excellentes interprétations de Mickey Rourke et Matt Dillon, ce film se perd dans une explication pseudo-intellectuelle sans fondement en se prenant beaucoup trop au sérieux et en devient du coup littéralement inaccessible et incompréhensible. Un bide retentissant devant autant d'arrogance.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 février 2013
    Ce film confirme une fois de plus à quel point Coppola est mauvais dans le registre intimiste. Il nous a concocté un long clip ultra-branchouille en noir et blanc, bouffi de prétention et parfaitement expurgé de toute émotion authentique. Impossible d’éprouver la moindre empathie pour le petit frère dont Matt Dillon fait un bellâtre à la limite de la débilité mentale. Difficile de supporter plus de trente secondes le cabotinage du grand frère façon lost generation campé par Mickey Rourke qui ne sort de sa catatonie que pour débiter des platitudes d’un air supérieur et mystérieux. Peut-être que son détachement de grand sachem sentencieux n’est pas très compatible avec son ego de vedette de quartier. Peut-être aussi que le regard du spectateur est trop hypnotisé par sa coupe mal coiffé travaillé à la micro-mèche près, allez savoir. Quoi qu’il en soit, une photo aussi belle plaqué sur un propos aussi artificiel et aussi niais, voilà qui repousse considérablement les frontières du ridicule. Je mets quand même 1 étoile et pas une demi-étoile pour la qualité de la photo.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 décembre 2012
    Dérrière le thème un peu convenu, se cache un petit trésor d'intelligence et un vrai message, que bien peu de gens ont capté, un message sur la liberté bien sur, sur le droit à la différence. (Non Rusty james, contrairement à ce qu'affirme la rumeur populaire, ton frère n'est pas fou) Un message sur le temps (L'horloge)...Sur l'enfer concentrationnaire des bandes et des quartiers (les poissons combattants libérés ne se battent pas entre eux), Bref un film de contre-beauf qui cache son jeu dérrière une esthétique année 80 extra (musique du batteur de Police) dans mes souvenirs, ce film avait eu d'excellente critiques mais un échec au niveau du public....Pourtant, le casting est royal (enfin, ça on le saura plus tard, les Cages, Dilon, rourque sont encore des gamins...) j'avais pour ma part pris une vrai claque....."Hein ? Cassandre ? les grecs ? Crac boum ! " Evidemment il faut avoir un peu lu pour capter le truc ! ... spoiler:
    cylon86
    cylon86

    2 544 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2012
    La même année qu'"Outsiders", Coppola réalisait ce film beaucoup plus réussi qui garde la thématique de la jeunesse des années 80 avec leurs gangs, leur relations avec les filles, leur famille et des jolies motos. Mais ici, le ton est aussi bien léger que mélancolique.. Et si le fond n'a rien d'original, le cinéaste se fait plaisir sur la mise en scène à l'esthétisme extrêmement travaillé qui surprend parfois mais suscite toujours beaucoup d'admiration et qui démontre un vrai sens de la mise en scène (la scène de l'affrontement des gangs est une merveille). Le noir et blanc, les poissons en couleurs, les courtes focales, les plans débullé, "Rusty James" est un vrai festival d'esthétisme qui contribue fortement à créer une atmosphère particulière, amenant de la poésie dans un univers qui n'a rien de poétique. Le tout avec Matt Dillon dans le meilleur rôle de sa carrière, un Mickey Rourke charismatique à souhait et les apparitions de Dennis Hopper, Tom Waits et Nicolas Cage.
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