Mon compte
    Rusty James
    Note moyenne
    3,5
    3306 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Rusty James ?

    116 critiques spectateurs

    5
    33 critiques
    4
    28 critiques
    3
    24 critiques
    2
    17 critiques
    1
    11 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Julien D
    Julien D

    62 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2009
    Une magnifique mise en scène de Coppola avec une superbe photographie en noir et blanc et un Mickey Rourke charismatique à souhait. Le scénario et les personnages sont très réussis malgré les dialogues qui ont peut-être un peu vieilli. Un classique méconnu à découvrir...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mai 2008
    Partant d'un scénario relativement simple, Coppola aurait pu rapidement tomber dans les clichés du genre.
    Et pourtant...
    La richesse des plans, le soucis du détail, l'esthétique photographique, le travail sur les ombres et surtout le visuel noir et blanc confèrent à ce film une atmosphère unique. Mené par un Mickey Rourke très convainquant, érigé en mystérieux et charismatique héros, et un très bon Matt dillon,
    ( on appréciera ausi la présence de Nicolas cage, mais surtout celle de Dennis hopper ), Voici Une oeuvre authentique, pourvue d'un joli métaphore sur la quête de la liberté. A voir!
    Stéphane R
    Stéphane R

    33 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 décembre 2009
    Un film unique dans son genre qui m'avait envouté à l'époque de sa sortie. Filmé en noir et blanc (à l'exception des poissons rouges), le jeu de Mickey Rourke et de Matt Dillon était de ceux qui créent les légendes (les nouveaux James Dean, en quelque sorte). Magistral mais un peu vieilli aujourd'hui.
    ptiverat
    ptiverat

    14 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2013
    Le “ En attendant Godot” du teenage movie. Écho de la“ Fureur de vivre” et de la réplique de Buzz à James Dean qui lui demande:- Pourquoi on fait ça? (la course de voitures)--parce qu'il y a rien d'autre à faire!- Et oui il n'y a rien à faire dans ces banlieues américaines où “l'inculture” triomphe en prenant une marche interminable avec l'ennui!Et ses voyous s'ennuient jusqu'à la nausée du spectateur! Coppola a décidé de nous le montrer avec un scénario qui distille l'ennui sur des images et des plans parfaits échos aussi de du film de Ray! Le plan d'ensemble sur l'école rappelle furieusement le plan sur le planétarium ! Malheureusement la base d'un film qui tient la route ce n'est pas une bonne caméra à la bonne place. C'est un bon scénario! Et ici cela est mince, très mince et si la pièce sur l'ennui de Beckett fonctionne miraculeusement (aidé par le médium) le film de Coppola lui rouille très rapidement. La pellicule aurait mieux fait de brûler pour faire plutôt écho à Neil Young . Et ce n'est pas parce que le héros s'appelle aussi James ( ça commence à être gros comme référence) qu'il a de quoi se mettre quelque chose sous la dent dans le texte! Même le jeu de Mickey Rourke qui nous fait du Brando à la sauce parrain est ennuyant avec son faux mystère appuyé sur des sables mouvants scénaristiques. Le mystère pousse bien mal quand il est cultivé au cinéma avec des chaînes prêtes à tirer des motos" Et le papa alcoolique et la mère absente et le petit frère qui veut ressembler au grand frère? HOUU là! à peine de quoi tenir 20 minutes! Car effectivement au bout de 20 minutes on a tout compris; même le méchant policier, qui va c'est sur tirer l'admirateur des poissons multicolores, distille l'ennui! Je ne sais vraiment pas pourquoi j'avais aimé ce film à sa sortie? Je devais être sous l'effet des mêmes substances que consomment les voyous rouillés du film! Adios James plein de rouille...Et la finale putain la finale télégraphié dix minutes à l'avance!??? N'importe quoi pour ne pas nous distraire de notre ennui et de la rouille. Pour la somptueuse photo je mets 2 étoiles et s'il avait osé un film muet sur son scénario (avec petits cartons en prime) je lui aurais reconnu une certaine audace ! Il arrive ce Godot, je veux dire ce scénario?
    Damien R
    Damien R

    10 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juin 2011
    Le noir et blanc est soigné, les acteurs sont jeunes et deja plein de talent mais ce film manque d'energie.Dommage!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 juillet 2010
    La photo est grandiose, Mickey Rourke est excellent, la réalisation est pas mal du tout et le personnage de Motorcycle Boy est sympa. Mais bon, le scénario c'est l'histoire d'un mec qui voudrait être comme son frère (Rourke) qui a l'air d'un "prince en exil" qui se fait buter par un flic (alors qu'il était inoffensif) au moment où il veut relâcher des poissons volés dans la rivière... ouais, c'est plus ou moins ça... Donc Rumble Fish n'est pas un film à scénario... mais y'a pas non plus de message (si, la folie est un concept subjectif, scoop!), les dialogues sont (pour la plupart) inconsistants on dirait qu'ils parlent avec leurs fesses, y'a rien de vraiment intéressant ou d'interpellant qui me donnerait envie de le revoir. Mais c'est dommage pour toutes les qualités que j'ai cité au début, j'ai failli le trouver bon ce film, en fait la vraie note ce serait 0.75 étoiles
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    12 abonnés 663 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2023
    « Ils ne se battraient sûrement pas dans la rivière. S’ils avaient leur espace vital. »

    En même temps qu’il dirigeait The Outsiders, adapté d’un roman de Susan Eloise Hinton, Francis Ford Coppola écrivait et a commencé à réaliser ce Rusty James/Rumble Fish, tiré également d’un roman de S.E. Hinton, avec l’aide de l’autrice. Dirigeant les deux films en parallèle, le réalisateur les situe au même endroit, Tusla, avec une distribution partiellement commune : Matt Dillon, Diane Lane, Tom Waits, Glenn Withrow, auxquel·les s’ajoutent Mickey Rourke, Nicolas Cage, Denis Hopper, Chris Penn, Vincent Spano et Laurence Fishburne. Les deux racontent les histoires d’une fratrie désoeuvrée et délinquante. Ici encore, Coppola engage sa famille : Sofia, Gian-Carlo, Roman, ses enfants, et Nicolas Cage, son neveu.

    On notera cependant une première différence dans la dénomination des personnages principaux : dans The Outsiders, ils portaient un nom complet et un surnom alors qu’ici ils n’ont que leur surnom ou leur prénom. Le style, lui, est radicalement différent : The Outsiders était une commande et sa narration est assez classique, presque académique et de haute volée ; Rusty James tient plus du film expérimental, inspiré par le cinéma expressionniste d’avant-guerre et par la Nouvelle Vague française qui a enrichi le New Hollywood dont Coppola est l’un des fondateurs avec George Lucas, Steven Spielberg, Brian De Palma et Martin Scorsese. La musique n’est plus signée par le père, Carmine, et ne reprend plus des standards d’époque mais est composée par Stewart Copeland, le batteur de Police. Le son, enfin, subit les mêmes distorsions que les images, brouillé lorsque l’image est saturée, en écho lorsqu’elle propose un relief avec une ligne de fuite vertigineuse, par exemple.

    Rusty James/Rumble Fish est enfin un parcours identitaire et une formidable parabole sociale, comme la face B d’un même album dont The Outsiders serait la face A, chacun mettant en situation des personnages assez similaires, dans un endroit identique mais réagissant différemment et captés de deux façons complémentaires. Deux variations sur le même thème qui illustrent la maestria de Francis Ford Coppola.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 août 2009
    Petite déception pour Francis Ford Coppola
    qui nous a habitué a tellement mieux avec
    Le Parrain 1 et 2 et Apocalypse Now.
    Le sujet m'a moyennement plu avec ces histoires
    d'ados, gangs, drogues et prostitution
    mais au moins cette fois le réalisateur se plonge plus dans
    le côté émotionnelle et morale d'un grand frère qui veut
    remettre son cadet dans le droit chemin
    avec une légère ressemblance
    avec "American History x".
    Francis Ford Coppola varie bien ses films.
    Il peut autant faire de la maffia dan ses oeuvres que de la guerre
    et là du drame violent mais émotionnelle et morale.
    tomsdiniro
    tomsdiniro

    10 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 novembre 2006
    Un tres tres grand film du debut des années 80. On reconnait tout le génie de Coppola. Filmée en noire et blanc pour mieux montrer la dureté de la vie de ces jeunes. Une distribution alléchante, Mickey Rourke et Matt Dillon en tete et une mise en scene géniale.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 novembre 2012
    Bon, Rusty James est loin d'être le meilleur film de Coppola. C'est pas très original, on tombe même dans la caricature parfois, notamment lors de la scène du combat du début de film. Quant au personnage du méchant flic, j'ai l'impression de l'avoir vu des centaines de fois déjà... Malgré de nombreuses impressions de déjà-vu, le duo Dillon/Rourke fonctionne plutôt bien, tellement qu'il réussit à nous faire oublier les défauts que je viens de citer, ou d'autres, comme la scène surréaliste ou Rusty James (Dillon) s'imagine flottant dans les airs... A voir pour le duo d'acteurs et pour la très courte apparition de l'excellent Tom Waits.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 février 2019
    En 1983, Francis Ford Coppola s'approprie les codes du Teen movie, Young adult avec The Outsiders puis Rusty James la même année.

    Réalisée en noir et blanc celui ci raconte l'histoire d'un jeune boxeur au nom de Rusty James bagarreur voulant absolument se sentir plus fort et ressembler comme son frère Motorcycle boy à la réputation de meneur.

    Un scénario qui nous plonge dans les profondeurs d'une Amérique et d'une jeunesse rebelle perdus, désœuvré bravant les dangers et les interdits en affrontant des gangs ou en volant.

    Ambiance sombre, peur qui règne, le spectateur est imprégné de cet atmosphère étrange, au rues repoussantes et au panache de fumée qui se dégagent fortement avec de bons plans, une couleur bien pâle et une bonne musique adapté à l'histoire édifiés par des personnages performants notamment avec Matt Dillon belle gueule, à la James Dean que l'on retrouve au côté de Coppola (après The Outsiders), une nouvelle fois habitué au genre young adult.
    Dillon accompagné de Mickey Rourke deviennent rapidement attachants en formant eux deux des frères unis et un super duo à l'écran et intense au fur et à mesure de l'histoire. A noter la présence de Nicolas Cage en second rôle. Le tout apportant des séquences inoubliables spoiler: comme dans l'animalerie ou sur cette moto
    et un fin tragique et émouvant spoiler: la mort de Motorcycle boy après avoir dévalisé le magasin


    Mêlant film adolescent et sentimentale, Coppola met le spectateur dans la peau de ces deux frères de façon à nous faire ressentir et partager ce qu'ils éprouvent, leurs difficultés, leur environnement social néfaste auquel ils sont confrontés et montrer une jeunesse en quête d'aventure et de soif de danger pour oublier leurs journées. Pas le meilleur Coppola mais il reste cependant intéressant
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 mai 2010
    Après "Outsiders", Coppola livre ici un film dans la ligné du précédent, même millieu hors, non même époque, Matt Dillon et Mickey Rourke sont excellent, l'Histoire fraternelle de ce film est poignante, présente dans de nombreuses œuvres de l'auteur rappelant sa propre histoire. Les quatre couleurs utilisé pour ce film donne un aspect charmant et plein de style.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juillet 2008
    Teen movie expérimental d'une beauté à couper le souffle. On voit et entend le film comme motorcycle boy. Il y règne un sentiment de nostalgie et de lassitude. Un film qui, de prime abord, pourrait paraitre mineur dans la filmographie de Coppola.
    Mais que nenni ! Il mérite aisément de cotoyer Apocalypse Now ou Le parrain.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 janvier 2010
    Rusty James est un film bien moins connu de Coppola mais qui mériterait pourtant que l'on s'y intéresse beaucoup car c'est sûrement l'une de ses plus grandes réussites avec la saga du Parrain ou Apocalypse Now. Tout d'abord par son esthétique rétro, d'un magnifique noir et blanc, puis par ses acteurs, particulièrement Mickey Rourke, qui est là tout en étant absent, parle d'une voix douceâtre, daltonien, à moitié sourd, sa présence à l'écran rend le film un peu en apesanteur, de plus le film ne comporte quasiment pas de scénario. Ce qui le rend beaucoup plus intéressant d'ailleurs, on se laisse porter par l'ambiance des quartiers chauds de Tulsa et on suit le destin de Motorcycle Boy et de Rusty James. Du très bon Coppola.
    Alexis C.
    Alexis C.

    4 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2018
    La force de Coppola c'est de vouloir et de pouvoir se lancer dans des films plus différents les uns des autres. Rusty James a tout d'une oeuvre de début de carrière pour son côté expérimental. Le réalisateur n'hésite pas à se lancer de nouveau défis et repartir de zéro. Ici la mise en scène est sublime et les acteurs très bien dirigés. J'ai beaucoup apprécié le travail sur la musique. Dommage que le film ne décolle jamais et qu'il souffre d'un manque de rythme. On a même la sensation que Coppola se perd lui-même parfois. Il en ressort quand même une oeuvre intéressante.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top