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Un visiteur
0,5
Publiée le 2 décembre 2009
Ce film est concternant. Les filles y sont évoquées comme de la simple chair fraiche tout le long du film. L'agressivité permanente de Belmendon envers cette pauvre fille est insupportable. Il l'appelle "dégueulasse" !!! Les dialogues sont d'une bétises c'est concernant et absurde. Godard veut nous faire avaler cette histoire sous forme de thriller, je cherche encore l'action. La pseudo histoire d'amour n'est pas crédible pour un sous. Les hommes avait vraiment une position confortable à l'époque, ça n'a finalement pas trop changé. Incroyable que notre Bébel ait commencé sa carrière par ce film, qui pour moi (qui adore les vieux films) est un navet !!
au dela de laissait ce chef d'oeuvre s'inscrire dans l'"histoire du cinema , il serait interressant de comprendre le film unique et splendide . Tout d'abord , un duo hétéroclite avec un bebel qui nous fascine tout au long du film , il nous fascine en etant si mysterieux et libéré (superieur aux autres personnages , gestes sur la bouche) Il rentre alors dans l'archétype de l'anti-heros et ose mettre en second plan la belle amercaine quoi que un peu cretine au début , ET a dans un moment de bascule , il y a inversion des roles (par l'interview) l'amercaine devient une matiere a l'intrigue . ON comprend alors que le theme du film c'est la dépendance de la femme vis a vis de l'homme , l'amercaine alors se pose comme l'incarnation des nations unies ou la femme est emmancipé , libéré tandis que le reste du monde ne dépandent que de leurs mariages. Elle devient l'heroine du film renversant cet homme a l'allure si puissante et imbus de sa personne, incarnation du degeulasse, elle est l'exemple de toute une generation feministe . elle comprend toute l'erreur de cette femme qui par amour a suivit un voyou et s'est fait arreter a la frontiere avec lui , ce n'etait pas par manque de courage qu'elle lui dit non, plutot par obligation d'un individualisme naissant chez elle. Elle ne dépend de personne , a la fin on n'a du mal a savoir si elle aime ou pas meme sur ce domaine elle est paradoxale , il semblerait que pour ma part , elle n'a avec lui qu'une relation de jeux et de plaisir et qu'elle refuse l'amour quotidien . une question pourtant m'obsede , est ce que michel poicard finit par mourir par amour pour elle ? par stupidité ? ou par fierté de l'homme (qui est intimement persuadé qu'elle va agir pour lui , qu'elle va pleurer comme une fillete de l'avoir perdu )? et c'est la que la fin , il lui dit "vous etes degeulasse" , son "c'est quoi degeulasse?" et le geste de michel rapelle que c'est la liberté , un degeulasse est libre de ces sentiments et de ces principes
A bout de souffle est un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Dans l'esprit d'abord, à l'image du personnage joué par Belmondo, désinvolte à la recherche d'une liberté totale (mais isolé et enfermé pendant une bonne partie du film dans sa chambre d'hôtel) On restera aussi en admiration devant le sens du cadrage et du montage de Godard, devant la sublime Jean Seberg et devant une très belle fin aux multiples interprétations possibles. On s'amusera de ce montage particulier (des faux raccords qui produisent un rythme assez étrange), des phrases toutes faites ("Si vous n’aimez pas la mer, si vous n’aimez pas la campagne, si vous n’aimez pas la ville, allez vous faire foutre"), de Belmondo qui se la joue Bogard, des scènes tournées en extérieur à la grande surprise des passants qui ne peuvent s’empêcher de se retourner pour regarder ce qui se passe... On regrettera le scénario inexistant et quelques répliques qui tombent complètement à plat (mais qui font aussi tout le charme du film).
"Un vent de liberté a soufflé sur le monde du cinéma". C'est vrai qu'avec "A bout de souffle", Jean-Luc Godard se permet de toutes les audaces qui contraste fortement avec le côté traditionnaliste du cinéma français de l'époque : raccords hasardeux, post-synchronisation parfois un peu baclé, nombreux dialogues à l'emporte-pièce. Mais comme tout bon Godard, ce film est parfois franchement ennuyeux à mourir, moins quand même que les autres oeuvres du réalisateur, il faut bien l'avouer. Il y a même quelques instants de grâce qui en ressort, surtout dans les scènes avec Jean Seberg en particulier l'interview de l'écrivain incarné par Jean-Pierre Melville. Le film est un peu agaçant parfois mais on en ressort quand même sans le moindre regrets d'avoir consacré 90 minutes de sa vie à regarder ce film.
Ce film est un chef d'oeuvre, une bouffée d'air pur et de liberté qui, je trouve, n'a pas pris une ride. C'est tout d'abord, precisons-le un film phare de la Nouvelle Vague, qui réunit Jean-Luc Godart à la réalisation , François Truffaut au scénario et Claude Chabrol comme conseiller !, c'etait deja bien parti . La plupart des dialogues ont été improvisés parles acteurs, ce qui donne au film cette sincerité, cette fraicheur. Belmondo et Jean Seberg sont formidables, les plans de Paris invitent à la nostalgie de l'epoque, et toujours cette touche d'humour irrresistible Et comme le dit si bien Belmondo : "Si vous n'aimez pas la mer… si vous n'aimez pas la montagne… si vous n'aimez pas la ville… allez vous faire foutre ! " A voir
Le premier long métrage de Jean Luc Godard, qui le fit connaitre, est un coup de maitre. Belmondo et Seberg sublime crêve l'écran dans un Paris des 60's. Tournée à la va-vite, avec des moyens médiocre, ce film marque aussi la premiere collaboration entre le celebre producteur de la nouvelle vague, Georges de Beauregard. L'histoire est simple et sublime à la fois, c'est une fausse love story version parisienne. Quel cinéphile ne connais pas le geste de Belmondo ou les répliques de Seberg. CULTISSIME !
Mon premier Godard et mon premier film de la nouvelle vague, periode dorée du cinéma français.... Soyons clairs, je me suis bien fait chier. J'ai trouvé que le film était vide, chiant, avec des dialogues frisant le ridicule. C'était juste... pénible.
Pour mon 1er Godard ce n'est pas trop mal. "A bout de souffle" comporte beaucoup de bon et un peu de moins bon, et selon moi ce film doit en grande partie sa réussite à un très bon Belmondo.
un tournant du cinéma français. Un cinéma qui peut dérouter pour son audace, mais qui est relativement délicieux car il y a vraiment le désir de remettre en question le cinéma. Godard le fait très bien, avec bien sûr une histoire pas compliquée pour un sou, mais des scènes très drôles entre Belmondo et Jean Seberg (qui forment un beau couple à l'écran), valent vraiment le détour. Ce film est vraiment à voir car c'est un tournant du cinéma français qui fit beaucoup de bruit et qui n'a jamais été égalé.
Voilà encore un film de Godard qui mérite l'appellation de Chef d'oeuvre. A bout de souffle est bien représentatif de La Nouvelle Vague. Avec un scénario signé Truffaut et la réalisation de Godard, on était en droit de s'attendre à quelque chose d'énorme, et c'est le cas. Belmondo est excellent dans son rôle de voyou beau gosse, qui est, comme le titre l'indique, à bout de souffle
Grâce à son histoire et à sa réalisation, ce film est tout simplement excellent.
A bout de souffle est l'un des films les plus connues de la Nouvelle Vague. C'est un assez bon film policier avec beaucoup de dialogues qui sont des pensées instantanés et des platitudes. Le film mélange les scénes longues un peu ennuyeuses et des scénes courtes qui font avancer l'histoire.Belmondo joue bien le roublard mythomane et sans gene.L'un de mes principales regets est l'absence quasi de scénes d'action et le montage est parfois un peu décousu meme si il était novateur a l'époque. L'ambiance générale du film est entre humour et sentimentalisme. Un film qui reste intéressant a voir car il marque une nouvel époque pour le cinéma français malgré des scénes qui ont un interet aléatoire.
Un film explosif, aucune seconde de répit, des acteurs charismatiques, des dialogues cultes, une qualité d'image absolument irréprochables, un scénario très profond ... bon OK j'arrête ! En faite c'est tout l'inverse, un film où rien est à comprendre, des acteurs qui "soi disant" faisaient exprès de mal jouer !! du jamais vu dans toute la débilité cinématographique (et D*** sait que ce n'est pas parce que c'est un vieux film que je dis ça je suis par exemple un inconditionnel des Tontons Flingueurs). Je n'ai pas détecté la moindre trace de talent dans cette ... "œuvre" alors je suis désolé pour tout ceux qui y ont vu les prémices du Cinéma Moderne mais je n'adhère pas, peut être à cause de mon époque ...