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    À bout de souffle
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    3,8
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    369 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 décembre 2011
    Le film français de base : une histoire bateau dont on se contente avec une réalisation zéro technique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 octobre 2011
    Ah Belmondo! Quelle prestation, quelle allure et quel charisme. Dire qu'aujourd'hui, les actions men français sont Cornillac, Lellouche et Sisley ça me donne envie de pleurer.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 octobre 2011
    Encore une fois, Godard signe là un film prétentieux, chiant, mal branlé, avec un jean-pierre Belmondo pas charismatique du tout et vraiment présomptueux. Tellement décousu qu'on a l'impression que c'est le spectateur qui doit faire le montage à la place de Godard, du foutage de gueule complet.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 novembre 2011
    "Entre le chagrin et le néant, je choisis le néant. Le chagrin est un compromis." rétorque Michel Poiccard - interprété par un Jean-Paul Belmondo en forme, acteur que je ne connaissais que de nom (je sais, incroyable !) - à Patricia Franchini - incarné par la sublime Jean Seberg, que je ne connaissais, cette fois-ci, absolument pas (je sais, c'est moche). Ce simple dialogue composé de 15 petits mots, cette simple citation, qui à elle seule pourrait résumer le film et son état d'esprit, ou du moins l'état d'esprit de son personnage principal, mais finalement c'est quasi du pareil au même ! A bout de souflle, film emblématique de la Nouvelle Vague, se regarde tranquillement et doucement, s'en vraiment se prendre la tête mais sans non plus provoquer chez le spectateur une excitation démesurée. Le film n'est absolument pas fade mais quand même légèrement monotone, il n'y a pas de pic d'intensité, le film commence très bien mais reste toujours un peu sur la même ligne de conduite, a contrario de "Bande à part" par exemple, qui lui changeait de registre au gré des diverses actions. Mais ne vous y méprenez pas, j'ai vraiment bien apprécié ce film (d’où la note) et ce n'est qu'un aspect mineur d'un point de vue formel. Je suis assez sensible au cinéma de la Nouvelle Vague, qui met souvent en scène une quête de liberté, de l'oisiveté, d'indépendance mais aussi et surtout une quête d'amour ! Et ce film n'y échappe pas, fort heureusement. Le final, absolument magistral (comme toujours avec Godard), vient donner tout un sens à ces 15 petits mots... à moins que ce ne soit le contraire ?
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    68 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2011
    Un film qui respire la liberté et s'affranchit des limites. Godard éblouit en offrant des plans qui respirent, un montage hors des sentiers battus et un cinéma d'une fraîcheur qui reste intacte 50 ans après. Jean Seiberg est éblouissante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 octobre 2011
    Très bon film, malgré les quelques défaut de montage qui sont assez troublant... mais marrant. Un Godard et un Belmondo en très grande forme. De plus, le scénario est bourré de réplique culte à garder en mémoire.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 août 2011
    Moyen-bon film de Jean-Luc Godard, son premier long-métrage, construit à partir d'une intuition de Truffaut en pensant à un fait divers de l'époque : au début du film, un voyou, Michel Poiccard (Jean-Paul Belmondo of course), voleur et trafiquant de voitures, tue un flic au cours d'une malheureuse (et bien triste à l'écran, cf. le moment assez risible où le flic se fait tuer...) course-poursuite, et fuit la police à ses trousses pendant toute la suite du film jusqu'à la "sad-end" habituel. Le concept, cependant, n'est pas celui de Hypertension par exemple (Hypertension constituant comme le paradigme du genre de film auquel je réfère, je le cite ici, mais rien, absolument rien à voir) : il ne s'agit pas d'une tension permanente, totale, de la première à la dernière minute, de l'action à ne plus respirer. Car à la suite de cette première séquence rapide, violente, mouvementée, le film se construit, comme toujours avec notre réalisateur instigateur de la Nouvelle Vague, sur l'équation vie = cinéma, et plus particulièrement sur l'équation vie = cinéma si et seulement si vie = relation amoureuse complexe d'un homme avec une femme (faut pas déconner, cela ne va pas être avec un homme). Si bien que A bout de souffle n'est pas vraiment un titre transparent, signifiant unilatéralement un suspense haletant et suffocant ; à bout de souffle, c'est presque une métaphore pour qualifier la relation impossible de Michel avec Patricia Franchini (la très belle Jean Seberg). L'objet du film est donc moins la fuite d'un criminel que l'amour ardemment convoité, l'amour transitoirement obtenu, et l'amour irrémédiablement perdu d'avec Patricia, ou, comme toujours là encore, d'avec la femme en général (on sent toujours en même temps une sorte d'investissement autobiographique de la part de Godard dans ses histoires d'amour, et une visée plus universelle, indéfinie, «essentielle»).
    La fuite de Michel n'est donc que le décor général sur lequel se dessine et se joue l'essentiel : sa relation avec Patricia. A bout de souffle, de ce point de vue, annonce les points d'inflexion du cinéma de Godard, ou ses points de réflexion, c'est selon. Premièrement, la place primordiale du discours, qu'il soit monologué ou dialogué (il n'y a presque jamais de troisième voie ou de troisième «discourant» : la règle c'est soit un, soit surtout deux, avec un homme et une femme qui peuvent varier eux-mêmes). Pour tout avouer, les dialogues sont toujours justes, calculés et efficaces. Les répliques font mouche et ne sonnent jamais faux : il y a une sorte de naturalisme onirique dans ces échanges homme-femme chez Godard qui réussissent parfaitement à séduire le spectateur, bien qu'il ne s'y dise à peu près rien (c'est peut-être le vrai point fort que je reconnaitrais aux dialogues de Godard : le dialogue ne sert pas à dialoguer, mais à séduire). Deuxièmement, la liberté de la réalisation, soumise au seul charisme des acteurs principaux et de leur présence virtuose : sans faire jamais beaucoup, il y a quelques "trucs" qui marquent, comme cet aller-retour sensuel (ou kitch, c'est selon, mais en tous les cas répété comme un tic) du pouce de Michel sur ses lèvres supérieure puis inférieure, ou comme les très belles poses avec cigarettes et fumées, souvent accompagnées de lunettes de soleil et de chapeaux en mode mafieux. Les gros-plan notamment sont magnifiques, et on saura noter l'obsession pour le visage, les grimaces, et toute une métaphore délicieusement filée dans le film sur l'expression «faire la tête». Troisièmement, la musique, créant à elle seule toute l'atmosphère d'A bout de souffle en ce Paris bouillonnant, dangereux et fascinant : du jazz, un simple air de jazz créé par Martial Solal, mais répété là encore à l'envie, pour rappeler le spectateur à la tension qui anime l'intrigue.

    [...] à l'inverse de la spontanéité masculine, Patricia dissout sa délibération dans un délai qui s'allonge à mesure que se dilate la temporalité de l'action. Entre l'homme et la femme, entre ces deux contraires que rien ne peut unir parfaitement et définitivement, Godard fait jouer tout un ensemble de ponts que l'un bâtit et que l'une détruit, que l'un désire et que l'une retarde et fait achopper. La relation entre l'homme et la femme est toujours tragique, au sens où les deux volontés ne peuvent jamais se rejoindre complètement, au sens où ce qui tient ensemble les deux parties n'est qu'une distance, qu'une impossibilité de relation, ou qu'une relation toujours déjà en échec, en faillite, mordant d'emblée sur le malheur.
    Belmondo et Seberg sont excellents, l'atmosphère du film réussie, les dialogues convaincants. Plutôt bon film donc, mais qui ne transporte pourtant pas vraiment. Ou alors idée bien suivie, mais peut-être idée un peu faiblarde, ou peut-être encore trop d'idée et pas assez d'autre chose. En tous les cas, ce n'est pas le plus nul, ni le meilleur Godard ; 13/20.

    La critique complète sur le Tching's Ciné bien sûr :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 août 2011
    Film assez nul dans l'ensemble, par un très mauvais réalisateur qui sortira de l'histoire aussi vite qu'il en est arrivé : )
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2014
    Juste excellent, une fraîcheur sixties qui n'a pas vieilli, avec un Belmondo qui se trouve être l'acteur idéal pour interpréter le "style Godard"... Un classique du cinéma français et même de la culture française, qu'il faut voir au moins une fois.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 juillet 2011
    Je ne suis pas fan de Godard, ni de la Nouvelle Vague, et alors que je m'attendais sérieusement à m'ennuyer devant "A bout de souffle", j'ai réussi néanmoins à entrer dans l'histoire de cet homme inconscient, tueur de flics amoureux d'une new-yorkaise ravissante (Jean Seberg, géniale). Il faut bien reconnaître que c'était une nouvelle façon de faire du cinéma, il y avait une volonté de dépoussiérer la production française de l'époque. Une nouvelle façon de filmer, une nouvelle façon de monter, une nouvelle façon de jouer. On peut trouver ça exaspérant (la plupart des films de Godard semblent l'être) et inutile, mais le fait que tant de réalisateurs se disent influencés par la Nouvelle Vague n'est pas anodin. Un bon film et, de fait, un document historique précieux sur une certaine époque du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 juin 2011
    Un classique dont je ne me lasse pas. A bout de souffle est indispensable.
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juin 2011
    Je n'ai jamais vu un film du cinéaste Jean-Luc Godard, la nouvelle vague se définissait pour moi à du cinéma intellectuel, avec "A bout de souffle", j'ai pris mon pied. Ce long métrage suit le parcours d'un meurtrier recherché par la police à l'allure trés décontracté disant tout ce qui lui passe par la tete et rencontrant une jeune Américaine jolie, curieuse et papotante. La légende de ce long métrage est justifié, Jean-Luc Godard signe un film culte qui emmerveillera le cinéma mondial avec une liberté de dialogues, une façon de filmer remarquable et offre aux jeunes Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg une aurat d'ovation dans le jeu et lancera leurs carrières que l'on connait par la suite. Un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 juin 2011
    L'un des plus grands navets du 7ème art! Et quoi de plus normal, quand on sait que c'est GODARD qui a fait le film : l'homme de la nouvelle vague, cette vague qui a détruit à jamais le vrai cinéma français des VERNEUIL, GRANGIER, DELANNOY, LA PATELLIERE, LAUTNER, DUVIVIER, RENOIR ... sans oublier AUDIARD dans les dialogues ou encore JEANSON, c'est à dire ceux que GODARD et ses amis détestent, on se demande bien pourquoi : la jalousie sans doute.Tout dans ce film est vide : le jeu des acteurs, la réalisation (le sommet du catastrophisme), l'histoire : bref : une grande nullité. Tout un plat de ce GODARD qui n'aura été que le fossoyeur du GRAND CINEMA A LA FRANCAISE. La preuve aujourd'hui, on ne parle plus de la nouvelle vague, mais c'est trop tard : elle aura tout détruit sur son passage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 mai 2011
    Excellent. J'y allait à reculons suite aux nombreuses critiques négatives sur ce film et sur les films de Jean-Luc Godard en général que je ne connaissais pas trop. Celui-ci m'a beaucoup plu. Les acteurs jouent très bien. Michel Poiccard, petite frappe; l'insolence même; rôle qui correspond tout à fait à Belmondo dont la réplique est donnée par Jean Seberg, incarnant Patricia folle amoureuse de ce dernier, naïve aux premiers abords. Une bonne réalisation, qui pour moi ne vieillit pas trop (contrairement à ce qui a pu être dit) et des dialogues et répliques cultes. Ce film m'a vraiment donné envie de découvrir l'œuvre de Godard.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 avril 2011
    Film phare de la nouvelle vague, "à bout de souffle" impose quelques innovations techniques et nous fait découvrir un jean-paul belmondo impressionant, malgré une scène finale horrible.
    A son côté Jean Seberg est jolie et... est-ce suffisant?

    Le film raconte la fuite en avant de ce duo alors que bebel est recherché pour le meurtre d'un policier.

    Il marque des points en bousculant les codes de l'époque, en montrant un héros différent, mais ce montage baclé, ces dialogues inégaux mettent à mal un scénario intéressant.

    En bref, le film vaut plus par l'avancée qu'il a permis dans le cinéma que pour sa qualité propre, médiocre au mieux.
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