Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
« Falcon Lake », premier long-métrage de la comédienne Charlotte Le Bon, impressionne par son ambiance et sa maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Anaïs Berno
Le film questionne avec délicatesse la frontière entre rêve et réalité.
Transfuge
par Serge Kaganski
En mélangeant récit initiatique, comédie ado et tonalité fantastique, Charlotte Le Très Bon fait preuve d’un sens du récit, de la direction d’acteurs et de la mise en place d’une atmosphère légèrement inquiétante absolument remarquable pour un premier !lm.
20 Minutes
par Caroline Vié
Charlotte Le Bon signe un premier long métrage aussi réussi que fascinant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un charme fou.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film d'atmosphère sensible et mélancolique.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Une douce rêverie mélancolique, qui commence comme un tendre teen movie avant de s'envoler vers une poésie d'une infinie délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une fiction très maîtrisée.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Rarement la soif et la peur de vivre, les sentiments confus et les penchants morbides de cet âge ont été aussi bien incarnés – chapeau à Sarah Montpetit et Joseph Engel, déjà formidable chez Louis Garrel (dans « l’Homme fidèle » et « la Croisade »).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Magnifique poème au charme étrange, peuplé de fantômes, inspiré d’une BD de Bastien Vivès, et qui vient de recevoir le prix Louis-Delluc du premier film.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
En adaptant Sœur , roman graphique de Bastien Vivès, Charlotte Le Bon atteint le cœur de la cible, restitue à merveille cette période où tout est à la fois possible et hors de portée, où l’on désespère de tomber un jour sur quelqu’un qui vous ressemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Victoria Gairin
Chaque plan est un tableau où s'animent des reflets, où vit la forêt, où s’apprivoisent les corps. De toute beauté.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Actrice et artiste, Charlotte Le Bon transpose la BD bretonne de Bastien Vivès au Canada. Film de premières fois, « Falcon Lake » est une jolie découverte à laquelle la réalisatrice ajoute une dimension fantastique, quasi gothique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Avec cette histoire d’amour et de fantômes d’une fulgurante poésie, Charlotte Le Bon réussit haut la main son passage derrière la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
C’est étonnant comme le film nous emporte et nous enferme dans un même mouvement de vrille immobile, le temps de la projection qui est la durée des vacances, une lente chronologie d’un apprentissage de la réalité en s’enfonçant dans une matière rêveuse, une expérience sans contour ni fond qui séduit et effraie, entre dépression et exultation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par E.B.
Une petite splendeur.
Paris Match
par La Rédaction
Si Falcon Lake est si réussi, c'est aussi parce qu'il s'agit d'un film qui traite des premiers sentiments amoureux avec un regard juste.
Positif
par Éric Derobert
Pour son premier long métrage, Charlotte Le Bon fait très fort.
Première
par Frédéric Foubert
Charlotte Le Bon nimbe la nature entourant les protagonistes de teintes fantastiques pour mieux raconter ces émotions teenage extraordinaires, qui donnent à ceux qui les éprouvent un sentiment d’absolu, d’éternité, tout en autant par nature vouées à disparaître presque instantanément, au moment même où on les éprouve avec le plus d’intensité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Charlotte Le Bon filme avec délicatesse ce premier amour et ses chicanes, ses interdits, ses rires, ses empêchements. Jusqu’à ce qui gronde en douceur, offrant à la trame de ce teen movie poétique quelque chose de grave et de mystérieux qui rarement nourrit le genre.
Télérama
par Jacques Morice
Un premier long subtil et maîtrisé pour l’actrice passée réalisatrice, qui adapte ici l’œuvre de Bastien Vivès.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
La beauté de Falcon Lake tient beaucoup à l’effort de rester coûte que coûte du côté de cette indécision, quitte à se moquer de la logique et du rationnel, et sans pour autant surjouer l’hésitation classique entre fantastique et réalisme (autre frontière naturellement brouillée ici).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Malgré un rythme un peu lâche, Falcon Lake recèle bien des qualités qui augurent d’une nouvelle cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Charlotte Le Bon renouvelle le genre du film sur les premiers émois adolescents en le mâtinant avec subtilité de fantastique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
De son intrigue ténue mais bien tenue, le film tire une atmosphère captivante qui flirte avec les codes du genre et, fantôme oblige, attise une tension envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Ma. Mt.
L’éveil à la sexualité se fait par glissements. Sans doute le film trouve-t-il une limite dans sa façon un peu sage d’enchaîner les « scènes à faire ». Mais sa mesure, sa progression subtile, la justesse de ses acteurs sont ce qui garantit sa fine tapisserie d’émotions désordonnées, comme directement sorties du cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Durant le temps suspendu des vacances d’été, Chloé et Bastien se tournent autour sur les bords d’un lac québécois, à l’orée d’une épaisse forêt. Inspiré de la bande dessinée de Bastien Vivès Une sœur (2017), le film déplie les âpres charmes de l’adolescence avec une infinie douceur, ponctuée de scènes érotiques d’une rare intensité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par J.O.
Ce premier film parle avec justesse de la sexualité des adolescents mais ne gagne vraiment en profondeur que dans les dernières minutes.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Ce premier long métrage de Charlotte Le Bon, basé sur une histoire pourtant classique, fait preuve d’une belle inventivité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
« Falcon Lake », premier long-métrage de la comédienne Charlotte Le Bon, impressionne par son ambiance et sa maîtrise.
Ouest France
Le film questionne avec délicatesse la frontière entre rêve et réalité.
Transfuge
En mélangeant récit initiatique, comédie ado et tonalité fantastique, Charlotte Le Très Bon fait preuve d’un sens du récit, de la direction d’acteurs et de la mise en place d’une atmosphère légèrement inquiétante absolument remarquable pour un premier !lm.
20 Minutes
Charlotte Le Bon signe un premier long métrage aussi réussi que fascinant.
CinemaTeaser
Un charme fou.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film d'atmosphère sensible et mélancolique.
Ecran Large
Une douce rêverie mélancolique, qui commence comme un tendre teen movie avant de s'envoler vers une poésie d'une infinie délicatesse.
Elle
Une fiction très maîtrisée.
L'Obs
Rarement la soif et la peur de vivre, les sentiments confus et les penchants morbides de cet âge ont été aussi bien incarnés – chapeau à Sarah Montpetit et Joseph Engel, déjà formidable chez Louis Garrel (dans « l’Homme fidèle » et « la Croisade »).
La Voix du Nord
Magnifique poème au charme étrange, peuplé de fantômes, inspiré d’une BD de Bastien Vivès, et qui vient de recevoir le prix Louis-Delluc du premier film.
Le Figaro
En adaptant Sœur , roman graphique de Bastien Vivès, Charlotte Le Bon atteint le cœur de la cible, restitue à merveille cette période où tout est à la fois possible et hors de portée, où l’on désespère de tomber un jour sur quelqu’un qui vous ressemble.
Le Point
Chaque plan est un tableau où s'animent des reflets, où vit la forêt, où s’apprivoisent les corps. De toute beauté.
Les Echos
Actrice et artiste, Charlotte Le Bon transpose la BD bretonne de Bastien Vivès au Canada. Film de premières fois, « Falcon Lake » est une jolie découverte à laquelle la réalisatrice ajoute une dimension fantastique, quasi gothique.
Les Fiches du Cinéma
Avec cette histoire d’amour et de fantômes d’une fulgurante poésie, Charlotte Le Bon réussit haut la main son passage derrière la caméra.
Libération
C’est étonnant comme le film nous emporte et nous enferme dans un même mouvement de vrille immobile, le temps de la projection qui est la durée des vacances, une lente chronologie d’un apprentissage de la réalité en s’enfonçant dans une matière rêveuse, une expérience sans contour ni fond qui séduit et effraie, entre dépression et exultation.
Marie Claire
Une petite splendeur.
Paris Match
Si Falcon Lake est si réussi, c'est aussi parce qu'il s'agit d'un film qui traite des premiers sentiments amoureux avec un regard juste.
Positif
Pour son premier long métrage, Charlotte Le Bon fait très fort.
Première
Charlotte Le Bon nimbe la nature entourant les protagonistes de teintes fantastiques pour mieux raconter ces émotions teenage extraordinaires, qui donnent à ceux qui les éprouvent un sentiment d’absolu, d’éternité, tout en autant par nature vouées à disparaître presque instantanément, au moment même où on les éprouve avec le plus d’intensité.
Sud Ouest
Charlotte Le Bon filme avec délicatesse ce premier amour et ses chicanes, ses interdits, ses rires, ses empêchements. Jusqu’à ce qui gronde en douceur, offrant à la trame de ce teen movie poétique quelque chose de grave et de mystérieux qui rarement nourrit le genre.
Télérama
Un premier long subtil et maîtrisé pour l’actrice passée réalisatrice, qui adapte ici l’œuvre de Bastien Vivès.
Cahiers du Cinéma
La beauté de Falcon Lake tient beaucoup à l’effort de rester coûte que coûte du côté de cette indécision, quitte à se moquer de la logique et du rationnel, et sans pour autant surjouer l’hésitation classique entre fantastique et réalisme (autre frontière naturellement brouillée ici).
Franceinfo Culture
Malgré un rythme un peu lâche, Falcon Lake recèle bien des qualités qui augurent d’une nouvelle cinéaste à suivre.
La Croix
Charlotte Le Bon renouvelle le genre du film sur les premiers émois adolescents en le mâtinant avec subtilité de fantastique.
Le Journal du Dimanche
De son intrigue ténue mais bien tenue, le film tire une atmosphère captivante qui flirte avec les codes du genre et, fantôme oblige, attise une tension envoûtante.
Le Monde
L’éveil à la sexualité se fait par glissements. Sans doute le film trouve-t-il une limite dans sa façon un peu sage d’enchaîner les « scènes à faire ». Mais sa mesure, sa progression subtile, la justesse de ses acteurs sont ce qui garantit sa fine tapisserie d’émotions désordonnées, comme directement sorties du cœur.
Les Inrockuptibles
Durant le temps suspendu des vacances d’été, Chloé et Bastien se tournent autour sur les bords d’un lac québécois, à l’orée d’une épaisse forêt. Inspiré de la bande dessinée de Bastien Vivès Une sœur (2017), le film déplie les âpres charmes de l’adolescence avec une infinie douceur, ponctuée de scènes érotiques d’une rare intensité.
Télé Loisirs
Ce premier film parle avec justesse de la sexualité des adolescents mais ne gagne vraiment en profondeur que dans les dernières minutes.
aVoir-aLire.com
Ce premier long métrage de Charlotte Le Bon, basé sur une histoire pourtant classique, fait preuve d’une belle inventivité.