Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Film sec, indocile, ingambe, La Fille d'Albino Rodrigue, à son territoire instable et pourtant définitoire de la France [...], ajoute l'étrangeté d'une lignée qui oblige le spectateur à sonder particulièrement les rapports entre les personnages. Christine Dory [...] équilibre ce travail presque analytique [...] par une clarté du récit, se concentrant plutôt sur la construction du microcosme où Rosemay se déplace, se cache, cherche, enquête, fouille.
Closer
par J.B.
Grâce à une narration brute et à une mise en scène percutante, ce drame adapté d'une histoire vraie réussit à nous captiver sans nous manipuler.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un film prenant de Christine Dory, comparable à du Chabrol chez les prolétaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
« La Fille d’Albino Rodrigue », inspiré par un fait divers, épate en oscillant sans cesse entre douceur et drame avant de tourner au tragique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La Fille d’Albino Rodrigue est un film admirable d’intelligence, d’humanité, d’attention portée à ses personnages, où la réalisatrice parvient à transformer un fait divers sordide (inspiré de faits réels) et une enquête policière en récit d’une quête héroïque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Sans le vérisme néo-franchouillard, de tels films restent assez rares et seuls, "Peaux de vaches", "36 Fillette", "Sans toit ni loi", "Travolta et Moi", etc. auxquels la "Fille d’Albino Rodrigue" vient ajouter sa pierre blanche d’inscrire des « natures dans la nature », des filles farouches dans des espaces cadrés sur des lieux modestes, terres agricoles et aires d’autoroute, transfigurées par le genre, polar, western, road-movie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film passionnant qui tient en haleine jusqu'au bout.
Télé Loisirs
par Mathilde Aubry
Une atmosphère inquiétante et étrange plane sur ce drame à la Dardenne, saisissant et remarquablement interprété.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière ce drame social et fougueux, Christine révèle sur les écrans une grande actrice : Galatea Bellugi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Entre tragi-comédie familiale, non dénuée d’humour, polar et road movie, "La Fille de Albino Rodrigue" affiche une belle singularité par cette manière de ne pas nous donner ce à quoi on s’attendait, de préférer la sortie de route quitte à désarçonner en ne s’embarrassant pas de quelques invraisemblances.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Céline Rouden
Actrice trop rare à l’écran, Émilie Dequenne est formidable dans le rôle de cette mère inconséquente et frustrée, prête à tout, y compris à sacrifier ses enfants, pour se réinventer une vie à la hauteur de ses fantasmes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Attaché à Rosemay, le film file droit, sec et sans fioriture, à stricte hauteur de personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Deux personnages à l’écriture ciselée portés par un duo de comédiennes étincelantes : Emilie Dequenne et Galatea Bellugi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Librement inspiré d’un fait divers qui, comme l’on dit, dépasse la fiction, le film oscille entre la chronique sociale et la fable, le polar et la tragi-comédie, sans convaincre tout à fait. Problème de vraisemblance, de direction d’acteurs un peu trop flottante…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par X. L.
Les intentions ont beau être là, ainsi qu’une kyrielle de remarquables comédiennes et comédiens, rien n’y fait. Le film ne prend jamais. C’est la lecture lisse, sans point de vue, d’un banal fait divers.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
Film sec, indocile, ingambe, La Fille d'Albino Rodrigue, à son territoire instable et pourtant définitoire de la France [...], ajoute l'étrangeté d'une lignée qui oblige le spectateur à sonder particulièrement les rapports entre les personnages. Christine Dory [...] équilibre ce travail presque analytique [...] par une clarté du récit, se concentrant plutôt sur la construction du microcosme où Rosemay se déplace, se cache, cherche, enquête, fouille.
Closer
Grâce à une narration brute et à une mise en scène percutante, ce drame adapté d'une histoire vraie réussit à nous captiver sans nous manipuler.
Le Figaro
Un film prenant de Christine Dory, comparable à du Chabrol chez les prolétaires.
Le Parisien
« La Fille d’Albino Rodrigue », inspiré par un fait divers, épate en oscillant sans cesse entre douceur et drame avant de tourner au tragique.
Les Inrockuptibles
La Fille d’Albino Rodrigue est un film admirable d’intelligence, d’humanité, d’attention portée à ses personnages, où la réalisatrice parvient à transformer un fait divers sordide (inspiré de faits réels) et une enquête policière en récit d’une quête héroïque.
Libération
Sans le vérisme néo-franchouillard, de tels films restent assez rares et seuls, "Peaux de vaches", "36 Fillette", "Sans toit ni loi", "Travolta et Moi", etc. auxquels la "Fille d’Albino Rodrigue" vient ajouter sa pierre blanche d’inscrire des « natures dans la nature », des filles farouches dans des espaces cadrés sur des lieux modestes, terres agricoles et aires d’autoroute, transfigurées par le genre, polar, western, road-movie.
Ouest France
Un film passionnant qui tient en haleine jusqu'au bout.
Télé Loisirs
Une atmosphère inquiétante et étrange plane sur ce drame à la Dardenne, saisissant et remarquablement interprété.
aVoir-aLire.com
Derrière ce drame social et fougueux, Christine révèle sur les écrans une grande actrice : Galatea Bellugi.
Culturopoing.com
Entre tragi-comédie familiale, non dénuée d’humour, polar et road movie, "La Fille de Albino Rodrigue" affiche une belle singularité par cette manière de ne pas nous donner ce à quoi on s’attendait, de préférer la sortie de route quitte à désarçonner en ne s’embarrassant pas de quelques invraisemblances.
La Croix
Actrice trop rare à l’écran, Émilie Dequenne est formidable dans le rôle de cette mère inconséquente et frustrée, prête à tout, y compris à sacrifier ses enfants, pour se réinventer une vie à la hauteur de ses fantasmes.
Le Monde
Attaché à Rosemay, le film file droit, sec et sans fioriture, à stricte hauteur de personnages.
Première
Deux personnages à l’écriture ciselée portés par un duo de comédiennes étincelantes : Emilie Dequenne et Galatea Bellugi.
Télérama
Librement inspiré d’un fait divers qui, comme l’on dit, dépasse la fiction, le film oscille entre la chronique sociale et la fable, le polar et la tragi-comédie, sans convaincre tout à fait. Problème de vraisemblance, de direction d’acteurs un peu trop flottante…
L'Obs
Les intentions ont beau être là, ainsi qu’une kyrielle de remarquables comédiennes et comédiens, rien n’y fait. Le film ne prend jamais. C’est la lecture lisse, sans point de vue, d’un banal fait divers.