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Votre avis sur Les Enfants des autres ?
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Ce film de Rebecca Zlotowki est pas mal du tout, je me suis imaginé dans le personnage, je ne vous dirais pas lequel et c'est peut etre car ce film est tiré d'un roman qu'il est aussi précis, aussi juste. Nous avons une Virginie Efira au sommet de sa carrière qui joue le role de la belle mère avec merveille, elle m'a émeut, elle m'a touché. 3,5/5 pour ma part
film vraiment mauvais, sans profondeur, c'est brouillon, mal joué. Je me suis ennuyée du début à la fin!!
Un film qui traite de plusieurs sujets importants. Les familles recomposées, être mère célibataire sans enfants à 40 ans etc.
L'histoire est banale mais elle est plutôt bien racontée, portée une nouvelle fois par une Virginie Efira toujours aussi inspirée. C'est sans aucun doute, l'une des meilleures actrices francophones de sa génération.
L'histoire est banale mais elle est plutôt bien racontée, portée une nouvelle fois par une Virginie Efira toujours aussi inspirée. C'est sans aucun doute, l'une des meilleures actrices francophones de sa génération.
Sur un sujet assez peu abordé au cinéma (l'amour et la place d'une belle mère, les blessures collatérales d'une rupture) ce mélodrame est profondément vrai et touchant, notamment grâce à l'interprétation de Virginie Efira, pleine de sensibilité, de tendresse et de vulnérabilité, qui continue de marquer le cinéma après un autre rôle saisissant cette année dans "Madeleine Collins".
velocio
Vais je le voir ou ne vais je pas le voir ? J'hésite parce que je suis partagé entre le peu d'appétence que j'ai pour le cinéma de Rebecca Zlotowski et mon intérêt pour le sujet traité dans ce film, sujet qui, à ma connaissance, n'a été que très rarement traité au cinéma, celui des femmes qui, arrivées à 40 ans, se disent qu'il est peut-être encore temps de devenir mère et qui, au même moment, deviennent les nouvelles compagnes d'un homme père d'un enfant très jeune. C'est donc ici ce qui arrive à Rachel, une prof de français interprétée par Virginie Efira qui "tombe dans un amour réciproque" avec Ali, interprété par Roschdy Zem, que sa femme Alice a quitté et qui est le père de Leila, 4 ans 1/2. Petit à petit, les liens se tissent entre Rachel et Leila, mais, il n'empêche, cette dernière est quand même l'enfant des autres. Comme va l'être l'enfant que Louana, la sœur de Rachal, met au monde. Comme l'est Dylan, un élève de 16 ans que la prof Rachel s'efforce de maintenir à flot dans sa scolarité. J'ai hésité, mais j'ai fini par aller voir "Les enfants des autres". Quel beau sujet, mais, au final, quelle déception : en effet, Rebecca Zlotowski fait partie de ces réalisatrices et de ces réalisateurs qui poussent le désir de ne pas faire dans le pathos jusqu'à faire en sorte de ne jamais faire ressentir la moindre émotion aux spectateurs. Enfin, soyons honnête, il y a bien 2 ou 3 scènes où sourd un tout petit ruisseau d'émotion. Mais quand même, comment se fait-il, par exemple, qu'on n'en ressente aucune lors des scènes concernant le cancer de Jeanne, la maman d'une copine de judo de Leila ? Avec tout ça, Virginie Efira, si remarquable dans "Revoir Paris", et Roschdi Zem, qui a pour habitude d'être toujours excellent, en arrivent à être assez loin de leurs standards habituels. Pour contrebalancer un tout petit peu la déception ressentie, on se doit de donner 2 satisfécits à ce film : nous permettre de revoir Mireille Perrier (malheureusement, cela ne dure que 15 secondes !) et nous permettre d'entendre le "Cocaine Blues" de Gary Davis, interprété par Dave Van Ronk (oui, le Dave Van Ronk devenu Llewyn Davis dans "Inside Llewyn Davis" des frères Coen).
En partie autobiographique, en tous cas inspiré des tourments intimes de sa réalisatrice Rebecca Zlotowski, Les enfants des autres questionne la place de la belle-mère au sein d’une famille recomposée, avant d’élargir avec tact sa réflexion sur la notion de transmission des plus âgés vers les plus jeunes. Si le film met un peu de temps à se mettre en place, il prend toute son ampleur après la première demi-heure, alors que le récit parvient à pénétrer au cœur des émotions de ses personnages, en nous offrant plusieurs séquences bouleversantes. Un très beau duo Virginie Efira/Roschdy Zem.
Excellent film, à la mise en scène belle et travaillée, au récit passionnant et traité intelligemment, au rythme et à l'émotion parfaite. Virginie Efira crève l'écran.
Juste, émouvant - dans sa simplicité descriptive d'une vie de couple avec l'enfant d'une autre - et dans sa conclusion (le bien que l'on fait sans en avoir l'air et qui conforte un être humain dans sa confiance en soi).
Alain D.
Dans un rôle de maman de substitution, Virginie Efira est lumineusement mise en images dans ce film écrit et mis en scène par Rebecca Zlotowski ; un Drame nous montrant des scènes délicates et même quelques séquences émouvantes. Si la forme est très satisfaisante, le fond de cette réalisation est très affecté par un scénario ultra mélodramatique nous contant une histoire manquant de rythme et de profondeur.
Quelle surprise, venant de Rebecca Zlotowski dont j’avais aimé l’audace de ses précédents opus, de découvrir un film aussi lisse, aussi classique. On sent la grande sincérité du propos, on admire la fluidité de la mise en scène, on pense à Sautet et à Romy, on est ému et on sourit. Mais paradoxalement que me reste t il après quelques jours ? Pas grand chose à vrai dire. Il y a dans ce film une trop grande volonté de plaire, de gagner ses galons ( ou ses cesars) de la part de la réalisatrice et surtout de son interprète féminine, toujours paralysée par ce permanent désir de plaire. Virginie Effira est une bonne actrice et pourrait se faire plus rare et surtout relâcher un peu la séduction permanente.
De son côté Roshdy Zem, une nouvelle fois, incarne le mâle alpha avec finesse , quel comédien formidable.
Bref une impression mitigée et la frustration de conserver le sentiment d être resté à la surface de cette histoire qui aurait pu/du me bouleverser. …
De son côté Roshdy Zem, une nouvelle fois, incarne le mâle alpha avec finesse , quel comédien formidable.
Bref une impression mitigée et la frustration de conserver le sentiment d être resté à la surface de cette histoire qui aurait pu/du me bouleverser. …
Un film d'amour, de désirs, d'une femme en manque d'enfant.
Film vraiment long, un peu nébuleux avec des personnages imprécis qui complexifie le propos.
Efira pas toujours à son avantage.
Ne mérite ni les éloges ni les reproches des détracteurs.
Son meilleur rôle ? pas certain du tout.
Bande son sans grande coerance.
Film que l'on peut ne pas voir, sans risque de faire une méprise.
Film vraiment long, un peu nébuleux avec des personnages imprécis qui complexifie le propos.
Efira pas toujours à son avantage.
Ne mérite ni les éloges ni les reproches des détracteurs.
Son meilleur rôle ? pas certain du tout.
Bande son sans grande coerance.
Film que l'on peut ne pas voir, sans risque de faire une méprise.
Quelle chef d'œuvre ce film , Virginie effira est incroyable d'humanité, un film tendre et magnifique.
Malgré deux très bon acteurs, le film manque un peu de profondeur. L'histoire, la vie de tous les jours des familles reconstituées, est racontée "platoniquement". Le sentiment de frustration de Virginie Efira n'est pas ressenti comme il aurait pu l'être. Le film a eu du mal a démarré et j'ai trouvé le temps long!
Je n'ai pas réussi à croire à la relation entre cette petite et Virginie Efira. Impossible d'y croire alors Impossible de faire fonctionner le film. Je ne dis pas que c'est mal joué, ni que le scénario n'est pas bon. Je dis juste que je suis restée sur le quai et que je n'ai pas réussi à accrocher les wagons.
Attention à l’overdose de Virginie Efira ! Très présente dans les films actuellement, l’actrice adorée de toute la critique et du public, celle que j’ai déjà trouvé assez peu concluante dans Revoir Paris m’a également laissé sur ma faim dans la nouvelle réalisation de Rebecca Zlotowski... Ceci dit, je l'adore aussi.
Un film au scénario fin comme du papier à cigarette, où il est question de désir d’enfant de la part d’une femme qui n’en a pas et qui a dépassé la quarantaine réduire peu à peu ce projet de vie inabouti. Malgré ces bonnes intentions et un sujet en or, le film ne se montre jamais vraiment touchant, pas exempt de bons sentiments, avec un enchaînement de scènes plus ou moins convenues ou dispensables, et des dialogues souvent trop écrits, pour ne pas dire surlignés.
En revanche, ceux qui iront voir le film avant tout pour Virginie Efira ne seront pas déçus : elle est de tous les plans ou presque et dans toutes les tenues.
Bref, un film sympathique mais que j’aurais aimé moins lisse, avec plus de légèreté, et surtout j’aurais aimé ressentir la mélancolie de Rachel, croire en son personnage et son histoire.
Un film au scénario fin comme du papier à cigarette, où il est question de désir d’enfant de la part d’une femme qui n’en a pas et qui a dépassé la quarantaine réduire peu à peu ce projet de vie inabouti. Malgré ces bonnes intentions et un sujet en or, le film ne se montre jamais vraiment touchant, pas exempt de bons sentiments, avec un enchaînement de scènes plus ou moins convenues ou dispensables, et des dialogues souvent trop écrits, pour ne pas dire surlignés.
En revanche, ceux qui iront voir le film avant tout pour Virginie Efira ne seront pas déçus : elle est de tous les plans ou presque et dans toutes les tenues.
Bref, un film sympathique mais que j’aurais aimé moins lisse, avec plus de légèreté, et surtout j’aurais aimé ressentir la mélancolie de Rachel, croire en son personnage et son histoire.
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