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Paula Duarte
2 critiques
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2,5
Publiée le 3 octobre 2022
Film sympathique à voir plutôt à la Tv. Des longueurs où l'on s'ennuie. Certes Efira est toujours aussi convaincante et émouvante contrairement à Zem, mais l'ensemble est bien décevant. C'est un film que l'on oublie vite....
Super film très émouvant... Beaucoup de femme se retrouvent dedans , entre espoir et désespoir.... Très réaliste, je conseille vraiment ce film magnifique...
Quelle frustration...! Le son de ce film* est déplorable, on perd entre 20 et 80% (suivant avis de notre groupe d'amis présents) des dialogues et donc parfois le fil et le sens même de l'histoire...! Cela, ajouté à une manifestation inutile de son judaisme et à un parisianisme envahissant, donne le sentiment d'un "entre soi" où le spectateur est négligé ..; voir inutile!! Et c'est bien dommage car V. EFIRA est exceptionnelle, le sujet intéressant (même si il y a en réalité 2 thèmes, les difficultés de la belle mère et de la femme stérile), la musique excellente (que l'on entend très bien.. elle.!!) et les prises de vue originales (voir systématiquement!). Résultat, l'émotion recherchée ne passe pas et on sort perplexe, agacé et .. frustré!
* Cas fréquent des films français qui refusent la post synchronisation, contrairement aux films américains dans lesquels on entend très bien les dialogues !!
film ennuyeux au possible,plat, creux , lent ....il y a longtemps que je ne m étais pas autant ennuyée au cinéma....le thème aurait pu être bien mais c est raté....si. retire tous les gros plans de élira, certes très jolie, on retire déjà 30 minutes du film ....tout est prévisible, morne .. ..je trouve même que efira ne joue pas juste par moment ,comme si elle s'efforçant à rire ...bref film à.fuir
Histoire très banale .Bons acteurs . Désolé mais c est très plat .le démarrage est très long . Pagnol disait ,il faut trois conditions pour un bon film 1une bonne histoire 2 une bonne histoire 3 une bonne histoire .
Belle interprétation d'Efira. Le scénario est plutôt bien construit et la réalisation propre. Je n'ai pas compris l'intérêt de faire intervenir une dimension religieuse dans l'histoire
Le thème, comment une femme au début de la quarantaine pour laquelle comme on dit l'horloge biologique tourne ressent de manière de plus en plus poignante le désir d'être mère. Le film se focalise sur le lien qui s'établit entre cette femme et la fille de son nouveau compagnon. Lien ou transfert?
Un fil honnête sans grande surprise qui se voit avec plaisir.
Formidable Virginie Efira, qui sait tout jouer avec brio, drames et comédies, et dont la présence à l'écran s'impose de manière si solaire et évidente. Ce film, l'un des meilleurs de Rebecca Zlotowski, traite avec une grande subtilité du désir contrarié de maternité, mais va bien au-delà puisqu'il embrasse tous les sujets qui se posent dans une histoire d'amour, tous les sentiments, plus ou moins avouables, la passion charnelle, la confiance, les doutes, le dépit, les regrets. Le personnage masculin, malgré tout le talent de Roschdy Zem et sa densité physique, semble un peu perdu. Peut-être était-ce l'intention de la réalisatrice. Les relations qu'entretient le personnage de V. Efira avec sa famille, sa sœur et son père sont extrêmement justes, font parfois penser aux très bons Woody Allen. Clin d'œil de Zlotowski à ce maître de la comédie de mœurs qui se ressent également dans la mise en scène, les enchaînements entre les scènes et la musique (T. Monk). Un très bon film.
Une Virginie Efira excellente sur tout le film , mais un scénario trop court sur les amours de couples, sur les projets de naissance et sur les amours aux enfants. On passe un moment chaleureux
Parfaitement interprété, superbement écrit et mis en scène, Les Enfants des Autres confirme que Rebecca Zlotowsky est l'une de nos meilleures réalisatrices.
Les acteurs sont bons. Malheureusement on passe plus de temps sur les amours dénudés du couple que sur le sujet du titre les relatioins avec les enfants des autres DOMMAGE.
Alerte à la « surexposition » de l’excellente Virginie Efira: on sort de « Revoir Paris » pour Les enfants des autres……….
aujourd’hui, mon impression est plutôt mitigée…..La réalisatrice nous met devant les yeux le couple 2020 : éphémère ? Avec les problèmes affectifs pour conséquences et cette fois, vus de cette femme de 40 ans, sans d’autres enfants que les jeunes gens à qui elle enseigne…. Bien sûr, ce point de vue est intéressant lui aussi et les interrogations nous viennent: - une vie de femme (homme) peut elle se concevoir sans enfant ? Pourquoi pas….. - en filigrane on nous raconte la fragilité du couple d’aujourd’hui - l’enfant ne s’habitue pas toujours à « sa nouvelle maman » et en change, avant même de s’attacher.
Les enfants ballotés entre « papas » ou « mamans » me semblent « prioritaires » aux états d’âme de la femme sans enfant? Bref, le thème abordé me semble beaucoup plus intéressant que le film lui même, auquel je reproche le décalage de l’escapade en Camargue ou la brusque disparition de Roschdy Zem
Voilà un premier contact réussi avec le cinéma de Zlotowski. Certes quelques développements finaux dans le scénario et choix dans les personnages secondaires et la musique réduisent un peu mon enthousiasme, mais la réalisatrice, ancrée dans la tradition juive, nous propose, à partir d'éléments autobiographiques, une juste et profonde réflexion sur le choix d'être mère ou pas à l'approche de la quarantaine, et sur quoi transmettre aux "autres". Ainsi les moments d'échange avec la sœur de Rachel au moment de l'annonce de la maternité et de son accouchement sont remplis d'émotions contradictoires. Et puis enfin la franchise d'aborder le rôle de belle-mère, constante des couples recomposés de la société actuelle. Efira joue juste et lumineusement, Zem aussi mais si son rôle reste plus en retrait. Efira étant tellement présente sur les écrans, que l'on a tendance à la voir elle, dans d'autres compositions récentes, plutôt que son personnage Rachel. Cette impression s'effacera peut-être avec le temps. Les attitudes de la petite fille Leila sonnent très justes, il est très possible de passer d'un extrême à l'autre quand on a cinq ans et que la vie se joue dans le présent et pas dans la perspective d'une relation durable. cinéma - octobre 22