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    Les Enfants des autres
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    101 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2022
    Le plus "simple", dépouillé, et aussi le plus beau film de Rebecca Zlotowsky. Qui s'autorise ici l'émotion, sous la gouverne prudente d'une pudeur à laquelle Virigina Efira donne sa juste mesure. Tantôt délicatement solaire, lumière qui libère alors au mieux monsieur Zem, invariablement impériale, de son empreinte première, qu'il élargit de film en film. Tantôt fragile, au bord de l'émiettement. Son meilleur role. Magnifique.
    AZZZO
    AZZZO

    302 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2022
    Rebecca Zlotowski a réalisé un film plein d'optimisme.
    Sur une histoire difficile, celle d'une femme seule devant renoncer à la maternité, d'autres auraient conçu un film noir. Mais la réalisatrice ne s'arrête pas aux aspérités de la vie, son personnage - subtilement joué par Virginie Efira - montre qu'il est possible de survivre aux difficultés et en tirer profit.
    La mise-en-scène est réaliste tout en étant originale. Il y a du Claude Sautet dans ce film ; par le grain, les mouvements de caméra et les fondu-enchainés, Rebecca Zlotowski parvient à montrer le quotidien avec justesse et poésie. Un excellent moment de cinéma.
    Laurette S
    Laurette S

    23 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Un portrait de femme où beaucoup de femmes d'aujourd'hui se reconnaîtront et finement interprété par Virginie Efira. En nos jours d'incertitude morale, la question se pose toujours : existe t'il un instinct maternel qui a besoin de s'exprimer? Choisir de ne pas avoir d'enfant est il toujours finalement une erreur existentielle? On peut bien sûr aimer les enfants des autres dans une famille reconstituée, mais ce n'est ni simple, ni garanti. Un vrai drame exposé avec justesse et une grande sensibilité.
    Math719
    Math719

    185 abonnés 702 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 septembre 2022
    Virginie Efira et Roschdy Zem nous embarquent ici dans un film assez mou et décevant.. L'histoire ne décolle pas, mais la fin est très touchante. Il y a une belle simplicité et beaucoup d'humanité mais ça ne suffit pas une déception pour moi.
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 septembre 2022
    "Les Enfants des autres" en compétition cette année à la Mostra de Venise est un drame social à la française qui se regarde. En effet en dépit d'un scénario qui alterne le bon comme le mauvais avec des moments d'ennuis surtout la première partie , j'ai trouvé tout de même l'histoire intéressante traitant du désir d'enfant , dressant le portrait une héroïne sans enfant qui se prend d'affection pour la fille de son nouveau compagnon porté par la belle composition de Virginie Efira.
    VeryVéro
    VeryVéro

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 novembre 2022
    Un film d'une extrême platitude, long et ennuyeux sans aucune lueur d'espoir... passez votre chemin !
    Max O.
    Max O.

    21 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2022
    Les Enfants des Autres s’apparente plus au journal intime de la réalisatrice qu’à une fiction pensée pour un public.
    Si on joue le jeu, si on a envie de voir Virginie Efira sous tous les angles en gros plans pendant deux heures jouer la vie de Rebecca Zlotowski, alors oui : les acteurs sont bons et le récit est touchant.
    En revanche, force est de constater que les rebondissements scénaristiques sont cousus de fil blanc, et que les idées de mise en scène sont inexistantes.
    Dzibz
    Dzibz

    72 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2023
    Malgré son splendide nom qui rapporte v'là les points au Scrabble, et certainement parce que celui-ci aurait pu en faire encore plus si elle avait poussé le curseur jusqu'à le conclure par un magistral Y, Rebecca Zlotowski ne m'avait jusqu'ici jamais passionné. Euphémisme. Elle personnifiait en fait même à mes yeux jusqu'à il y a quelques mois ce que les défenseurs hardcore du cinéma d'auteur français refusaient d'admettre lorsque les détracteurs du cinéma d'auteur français disaient que "c'est quand même souvent chiant" : un cinéma bourgeois de gauche, passionnant sur le papier et en interview, mais mou du genou, prétentieux et radin à l'écran.
    Elle était bien plus douée pour me donner envie de voir ses films, à l'écouter en entretien sur France Inter, que pour me donner ensuite envie de les aimer une fois assis dans la salle, un peu comme Cédric Grolet et ses gâteaux en trompe-l'oeil : c'est super beau, bien fait et ça fait super envie sur Instagram, mais en vrai, mec, t'as coupé une pomme en morceaux, t'en as fait une compote et t'as assemblé le tout dans un moule en forme de pomme ; alors ça donne un truc qui ressemble à s'y méprendre à une pomme et qui a un goût de pomme, ça n'a pas beaucoup d'intérêt frérot.
    Voir Rebecca Zlotowski s'attaquer à un sujet me touchant si fort m'intriguait pas mal, dois-je bien l'avouer : comment pourrait-elle, avec cette radinerie qui à mon sens caractérisait son cinéma, faire dire quelque chose à la mise en images de cette si subtile et difficile relation belle-mère - enfant ? Je l'ai vécue, cette relation, alors tu peux pas test : si tu racontes des conneries, ou si ton film sonne faux, alors je serai forcément le premier à le voir, et l'on ne pourra pas me donner tort, ce sera la mise à mort définitive de ton cinéma auprès des quatre personnes sur qui j'ai un pouvoir prescripteur en matière de Septième art (rigolez pas, si j'étais critique aux Inrocks, avec quatre suiveurs, je serais le mec le plus influent du pôle cinoche, limite j'aurais, aux yeux de la rédac et du CNC, pouvoir de vie ou de mort sur les sorties en salles).
    Les lumières se sont donc lentement éteintes, et moi rapidement enfoncé dans mon siège pour un immense tourbillon d'émotions de presque deux heures. Mon petit coeur a tenu in extremis, mais c'est parce qu'elle a su en prendre soin, Rebecca Zlotowski, en fait.
    La pseudo-radinerie dont je faisais bêtement état dans ses précédents films que j'avais sûrement encore dû mal regarder (ça c'est parce que gamin, pendant que les apprentis cinéphiles découvraient Chaplin et Hitchcock, moi on m'abreuvait de Serge Pénard et de Jean Girault) était en fait de la subtilité. Dans ce film, il était certainement plus facile de la saisir que dans les précédents, tant chaque regard, chaque mot y apparaît comme primordial pour l'incroyable personnage de la belle-maman, campée avec intelligence par Virginie Efira. La confiance qu'elle et la réalisatrice ont en ma compréhension de l'importance de ce qui se joue dans chaque plan, c'est un truc rare et précieux, au cinéma. En faire plus aurait bien entendu été une erreur, piège dans lequel beaucoup seraient sûrement tombés : ils auraient dédramatisé ou bien sorti les violons, en rajoutant des arcs narratifs sexy mais futiles : ils n'auraient ni eu cette confiance en leur sujet, ni cette foi en leur spectateur (ils auraient alors certes probablement en revanche eu des sélections en prestigieux festivals, des César et des milliards d'entrées, mais je vous jure, ce n'est pas grand chose à côté d'une première place dans mon top annuel - vous pouvez tabler sur quatre achats en VOD du film à sa sortie, c'est cadeau c'est pour moi). Car à l'écran, là, sans fioritures, il y a tout de cette incroyable et insolite relation sur un fil ténu, que l'on ne voit pas arriver, et dont on ne sait comment composer avec.
    Si le film n'apparaît pas dans beaucoup de tops cinéphiles annuels, c'est que celui-ci me semble avoir été réalisé pour moi. Et donc que forcément, il est excluant pour les autres, qui de fait me jalousent énormément, ce qui explique d'ailleurs sûrement pourquoi on m'a piqué ma place de parking devant la maison.
    Immense merci, donc, Rebecca Zlotowski, et désolé pour la mauvaise pub des années passées ; eu égard à mon immense pouvoir de persuasion, celle-ci vous a mathématiquement sûrement fait perdre quatre entrées (j'ai bien conscience que vu l'état actuel du cinéma, chaque entrée compte, vous me transmettrez donc à ce titre votre Rib, je suis prêt à m'affranchir de la somme due, disons 28 €, pour me racheter).
    Claude WOLFS
    Claude WOLFS

    45 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 octobre 2022
    Franchement....un scenario convenu, des personnage stéréotypés au possible, une réalisation de Rebecca Zlotowski se voulant autobiographique mais devient vite sirupeuse et mélodramatique, bref un meli mélo de bon sentiments, de réalité mal filmé et surjoué.
    J'avais bien lu les critiques, je savais a quoi m'attendre mais la....Virginie EFFIRA (Que j'adore) filmée en gros plan, puis en gros plan, puis nue, puis en gros plan, 40 ans, toujours pas maman (On ne peut pas être et avoir été) s'accroche comme elle peut à l'amour (Ou au rêve....) qu'elle porte a Leila (Magnifique), 4 ans, la fille de l’homme (Roschdy ZEM (Que j'admire aussi)) avec qui elle partage momentanément sa vie....mais ce qui devais arrivé....arrive et la tout cet amour s'effondre, pour laisser place au vide.
    J'ai vraiment pas adhéré...pour aborder ce thème je préfère la chanson de Serge Lama ....Chacun son truc
    dominique R
    dominique R

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 septembre 2022
    Décevant, je nai pas réussi à accrocher à l'histoire et aux personnages. Il n'y a pas de scénario fort, pas d'émotions, aucun des thèmes du film n'est vraiment approfondi. Les personnages du second plan ponctuent maladroitement le film car on ne les connaît pas. On voit les mêmes scènes 3-4 fois (la sortie du judo, les ébats amoureux). Virgine Efira est moins convaincante que dans Revoir Paris.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    140 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2022
    Les Enfants des autres parvient tout à fait à retranscrire les émotions qu'il cherche à décrypter. On se prend au jeu en se mettant à la place de Rachel. Un peu attendu par contre.
    Agnès J.
    Agnès J.

    13 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 septembre 2022
    Le film traîné en longueur. Pas de rebondissements. On finit par s'ennuyer. Bien joué mais ça ne suffit pas à nous intéresser.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2022
    Abandonnant le schéma de ses derniers films (Une fille facile, Planétarium, Grand Central), dans lesquels son propos était trop intellectuel pour vraiment séduire, Rebecca Zlotowski retrouve ici l'efficacité dramatique de son premier film, jusqu'alors le meilleur, Belle Epine.

    Les enfants des autres revêt la forme d'un mélodrame pur : intrigue dépouillée (voire même simpliste), mise en scène plate, effets renforçant les effets de narration (fermeture à l'iris à la fin de chaque plan terminant une séquence), attention extrême aux petites choses de la vie, sentiment du temps qui passe, refus du happy end facile et poids de la fatalité.

    Pour sublimer cette forme assez ingrate, il faut une interprète à la hauteur, capable de parcourir la gamme des émotions la plus large possible : du désir brut (le scène de la douche) à la sérénité résignée en passant par la joie, la tendresse, le désespoir, la gêne, la déception. Virginie Efira trouve peut-être ici son rôle le plus complet, celui qui donne à voir toute la palette de son talent. Le reste du casting, Roschdy Zem (qui a visiblement prêté son T-shirt de Springsteen à sa partenaire), en tête.

    Un beau film, osé et réussi, sensible et délicat, qui relance la carrière de Rebecca Zlotowski et confirme le statut de très grande actrice qui est désormais celui de Virginie Efira.
    Y L
    Y L

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    Le film est grandiose dans son humilité et sa sincérité. Les personnages sont traités sans artifices, et l’émotion naît dès les premières scènes. La force du film réside certainement dans le fait que, malgré la dimension hyper personnelle et l’hyper féminité du sujet, Rebecca Zlotowski parvient à émouvoir chacun, sans prise d’otage ni pathos. Seuls les grands films parviennent à cela.
    Un film lumineux au milieu des gros films de bonhommes steroidés.
    Ciné-13
    Ciné-13

    118 abonnés 1 070 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2023
    Toutes les étoiles récompensent le talent de ces 2 acteurs majeurs : Virginie et Roschdy...
    Elle est à la fois une amoureuse rayonnante, une attendrissante belle-mère, et une malheureuse sans enfant.
    On aurait aimé que le scénario soit plus fluide, mais de multiples séquences arrivent un peu comme des cheveux sur la soupe : obsèques au cimetière juif, revirement de situation avec la mère biologique, désamour soudain de la petite, accident de voiture inutile.
    Mais il y a de belles scènes d'amour avec la magnifique Doris DAY en fond sonore.
    Exceptionnel jeu d'actrice de Virginie!
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