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    Les Enfants des autres
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    Delphine Solange
    Delphine Solange

    12 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    Je ne recommande absolument pas Les Enfants des autres. Je ne comprends pas pourquoi Rebecca Zlotowski bénéficie d'une telle aura critique. Un ramassis de nunucheries (on y abêtit les enfants de "Ma chérie" et autres "Mon coeur" toutes les 10mn!). Un filmage de série télé dont le seul titre de gloire risque d'être d'avoir enfin réussi à déshabiller Roschdy Zem. A vous dégoûter du cinéma français (dont je suis un des plus ardents défenseurs). Virginie Efira s'abîme de film en film (Benedetta, Adieu les cons, Don Juan). Bon courage!
    Denis L.
    Denis L.

    28 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 septembre 2022
    que dire.....si en un mot "supplice" ! long très long...très clichés ! on s'ennuie et on subit . dialogue et scénario ridicule ! au finale on se demande pourquoi ! pourquoi ce film a été fait
    Jm J.
    Jm J.

    16 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    Belle réalisation et beau filmage, son pas au top, Virginie sur tous les plans, on pense que la réalisatrice est un peu amoureuse..de son actrice. Evidemment on s'attendait à ce que le trop grand attachement de Rachel pour la petite fasse naitre le conflit avec Ali et la vraie mère, ce n'est pas du tout ça et au final on a du mal à croire à ce scénario. Des histoires annexes de deuil peu expliquées (qui c'est Jeanne ?) . La juive amoureuse d'un arabe : OK ça peut exister mais sujet inutile ici. L'attitude d'Ali n'est pas non plus raccord avec la première heure du film.
    garnierix
    garnierix

    230 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2022
    Cette prof crée beaucoup d'émotion sur l'écran. Un orvet des Cahiers du Cinéma regrette que "le potentiel militant de son histoire" passe au second plan. Nous, on s'en félicite.
    Du prologue à l'épilogue, le film donne envie de pleurer. On ne sait pas si c'est sur soi ou sur l'autre. Bravo la réalisation, bravo Roschdy Zem, bravo Virginie Efira.
    Au début, scène de lycéens dans une classe regardant d'un œil le film Les Liaisons Dangereuses (de Vadim) : on entend geindre Trintignant, il discoure sur la tristesse, sa puissance, "même dans le plaisir" au final. De l'autre œil, les lycéens et la prof sont sur leurs mobiles. Autre tristesse. Ça donne le ton.
    Et à la fin du film, la chanson de Moustaki, Les Eaux de Mars, "Un pas, une pierre, un chemin qui chemine... la promesse de vie", etc. Il n'y a pas un chanson du répertoire qui se veut aussi positive et qui soit aussi triste.
    Entre prologue et épilogue, tout ça, l'hystérie de la vie d'aujourd'hui, de la ville surtout, les mobiles, le bruit des talons dans un hall, celui du métro, de la pluie... Mais surtout des images de tout ça.
    Ce sont les images surtout qui racontent le film. Pas beaucoup de mots. C'est comme un coup de génie dans notre monde d'aujourd'hui, et notamment celui des films, qui en général n'arrêtent pas de causer.
    D'ailleurs, les mots sont inutiles ici, l'histoire du film étant presque secondaire par rapport à l'ambiance générale. Certes, le prétexte reste bien cette prof, la maternité, l'amour des autres. Mais le sujet est plus large au final, s'agissant de tous ces êtres qui croient avoir raté un truc dans leurs vies, qui regrettent d'avoir négligé des moments... Et sur cette question, on en est tous là, on en est tous au même point.
    A.G
    fraivert
    fraivert

    3 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    Virginie Efira a beau se démener, avec le grand talent qu'on lui re-connaît, pour traduire sur son visage tous ses états d'âme et d'amours, ce film (trop) léché qui enfile les clichés est très indigeste. Musique omniprésente qui couvre des dialogues susurrés la plupart du temps. Exposition permanente des corps et de scènes de sexe qui n'apportent rien et confinent au voyeurisme.
    Bref un film à vite oublier!
    Domnique T
    Domnique T

    65 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2022
    Quand Virginie Efira est à l'écran, je mets systématiquement une étoile bonus ! Voyez ce qu'il reste pour le film ! Il y avait très longtemps que je n'avais pas regardé ma montre aussi souvent ! Je n'ai pas été du tout sensible à cette description lénifiante de la relation de deux quadras en plein doutes. ATTENTION ... le sujet semble être plus sur le désir d'enfant quand l'horloge biologique tourne que sur "les enfants des autres" ...
    Bardef54
    Bardef54

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2022
    J'ai été extrêmement déçue par ce film alors que le thème m'intéressait beaucoup et que les critiques étaient élogieuses
    C'est une succession de clichés ; la problématique des familles recomposées est abordée de façon très superficielle.
    A éviter absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 octobre 2022
    INSIPIDE - On voulait voir Efira… On a été servis. Belle plastique, et tellement de sourires que ça devenait gênant pour elle. Le film ne démarre jamais. C’est gnan-gnan, convenu, prévisible, insipide. Une tâche dans sa si belle carrière et une soirée un peu gâchée.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2022
    Rachel (Virginie Efira) rencontre Ali (Roschdy Zem) à un cours de guitare. Elle est enseignante, quadragénaire, sans enfant ; il travaille dans le design automobile, a peut-être une dizaine d’années de plus qu’elle et une petite fille de quatre ans et demie, Leïla, dont il partage la garde avec son ex-femme (Chiara Mastroianni).
    Rachel tombe très vite amoureuse d’Ali. Elle éprouve tout autant de sentiments pour Leïla sur laquelle son statut précaire lui interdit pourtant de revendiquer aucun droit. Saura-telle s’en faire accepter ?

    spoiler: La bande-annonce des Enfants des autres ne m’avait pas donné envie de le voir. J’imaginais déjà un film à thèse, comme ceux qu’on projetait jadis en première partie de soirée aux Dossiers de l’écran le mardi soir sur Antenne 2 dans les années 70. Il aurait introduit un débat intitulé : « Les belles-mères et les enfants des autres » où auraient été appelés à témoigner une belle-mère qui, après avoir sacrifié de longues années à l’éducation des enfants de son conjoint, en aurait été brutalement séparée après leur rupture, une mère biologique rappelant les droits du sang, un père coincé entre deux légitimités qu’il n’oserait pas départager et un avocat ou un journaliste appelant à l’urgence de réformer le Code civil. Certes, "Les Enfants des autres" n’évite pas ce moralisme un peu balourd. Il le fait d’autant moins qu’il se sent obligé d’ajouter au rôle de la belle-mère sacrifiée celui de l’enseignante militante : on y voit Virgnie Efira batailler dans un conseil de classe pour sauver un Dylan (sic) du déclassement en classe spécialisée. Cette scène-là annonce la dernière du film qui ressemble à une pub pour l’Education nationale : « Chère Sylvie, enseignante en collège, tu as quarante-cinq ans, ton mec t’a plantée, tu n’as pas réussi à faire un enfant, mais tu n’as pas tout à fait raté ta vie : Dylan/Kevin s’en est sorti ! ». Mais – et c’est tout le paradoxe de cette dernière scène – "Les Enfants des autres" m’a arraché des larmes malgré son moralisme pachydermique. Il le doit d’abord à ses acteurs. Virginie Efira au premier chef qui réussit miraculeusement (à la différence d’Isabelle Huppert) à envahir les écrans sans se répéter ni me lasser. Elle est parfaitement juste dans ce rôle profondément sympathique de la quadragénaire nullipare en mal d’enfants, loin des personnages hystériques écrits par Christine Angot ou des égocentriques adulescents à la FabCaro qui sont tellement à la mode dans le cinéma français. Virginie Efira est une tête d’affiche ; mais ce n’est pas une star inaccessible comme l’était Deneuve ou Adjani. C’est la copine ou la sœur qu’on aimerait avoir, la girl next door avec qui on aimerait prendre un thé ou faire les boutiques. Mais il n’y a pas qu’elle. Roschdy Zem est lui aussi parfait. Il trimballe de film en film la même dégaine avec sa veste en jeans trop serrée et ses pieds en canard. Mais il est lui aussi très juste et, ce qui ne gâte rien, Rebecca Zlotowski laisse sensuellement sa caméra traîner sur ses fesses – alors qu’elle filme la nudité de Virginie Efira sur un mode comique pas du tout sensuel (la scène du balcon) qui lui va très bien. Mention spéciale à Chiara Mastroianni qui en trois scènes seulement revisite la figure de la mère et évite le manichéisme dans lequel on l’aurait spontanément enfermée. Rebecca Zlotowski ("Une fille facile", "Planétarium", "Grand Central", "Belle Epine") est une cinéaste confirmée. Elle sait y faire. Elle dirige avec beaucoup de maîtrise ses acteurs. Elle sait susciter grâce à eux une émotion qui a eu tôt fait de lever mes réticences. Le scénario y est pour beaucoup qui nous entraîne gentiment, quitte à un détour vacancier par la Camargue, du début vers la fin dans un récit dont la paisible linéarité m’a reposé des complexes flashbacks dont chaque film aujourd’hui se sent obligé d’être lesté. Reste une minuscule réticence sur ce scénario : le revirement de Ali que j’ai trouvé trop abrupt.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2022
    Une œuvre subtile, cohérente avec l'univers de la réalisatrice Rebecca Zlotowski. Sans pathos mais avec une émotion discrète, ce récit brille par sa délicatesse d'écriture et de mise en scène. Et encore un rôle en or pour Virginie Efira.
    Claude C.
    Claude C.

    4 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2022
    Virginie Efira est très belle et joue plutôt bien dans ce film, même si je trouve que sa sensibilité et celle de Roschdy Zem auraient pu ressortir davantage. Le scénario est un peu maigre, et je me suis demandé s'il n'y avait plus d'argent ou si on ne savait pas trop comment finir le film. Enfin, je rigole souvent devant les scènes de conseil de classe ; cette fois, c'est un peu plus proche de la réalité, juste un peu. Ça se laisse regarder un soir à la télé. On reste un peu sur sa faim/fin.
    Bdfoucher
    Bdfoucher

    51 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2022
    Bon film, bien écrit, bien conduit, cohérent, par une réalisatrice douée, Rebecca Zlotowski, qui a fait ses preuves partout où on exige du métier et de la maîtrise, prix Louis Delluc (“Belle épine”), selections à Cannes dans les catégories les plus authentiques: Un certain regard (“Grand central”), La Quinzaine du Realisateur (“Une fille facile”) … le sujet est d’actualité, maternité à 40 ans et la solitude qui guette, la difficulté des rencontres, le métissage en toile de fond, seule concession à l’esprit du temps, trop d’amour, pas d’amour et une sortie sur une note positive quand Dylan, l’élève récalcitrant, dit merci à sa prof esseulée à laquelle il a pensé pendant des années après l’avoir beaucoup contrariée au lycée. Rachel voit le temps filer et elle veut un enfant. Elle tombe amoureuse de Ali, divorcé, dont la petite fille Leila occupe bien sûr la place centrale. La femme et la fille se lient. Trop d’amour, pas d’amour. Rien ne fonctionnera en définitive. Ali n’a plus 25 ans et Leila a une mère, sympathique et gravement malade. Ni les enfants des autres, ni la vie passée des autres ne peuvent devenir la vôtre. L’évidence s’impose un peu plus chaque matin. Viriginie Efira (Rachel) est solaire, mieux que dans “En attendant Bojangles” ou “Benedetta”. Roschly Zem est grave et il joue bien. Chiara M. est belle et joue juste. J’aime ce film aussi parce qu’il n’explique pas et qu’il laisse filer vos pensées. Tout cela est bien réglé, sensible et émouvant .
    OSC4R _
    OSC4R _

    74 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 septembre 2022
    Il y a un nombre incalculable de figurants qui jouent mal/regardent la caméra.

    On va passer rapidement sur l’unique qualité du film : les deux comédiens. On le savait, ils sont bons.

    C’est un film fait sans aucun bon sens, sans aucune envie de bien faire, et même, sans aucune conscience professionnelle.

    C’est bâclé. Je ne maîtrise absolument pas le sujet mais constate quand même l’approche stéréotypée, sans réflexion, sans documentation. Donc ça sonne très très faux.

    C’est vide, sans âme. Mal dirigé et pas réalisé. On ne sent aucune intention, aucune volonté et c’est franchement triste.

    Rien n’est subtil, des dialogues à la direction d’acteur.

    Et puis si on s’attarde un tout petit peu sur la construction de la fin, quelle morale de merde !
    Elisabeth Champ
    Elisabeth Champ

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    Très mauvais. Le scénario ne démarre jamais. C'est Efira en gros plan en permanence, on se lasse ! R.Zem est un figurant dans l'histoire. On s'ennuie profondément, tout est artificiel et on y croit pas une seconde! Les rôles secondaires sont inexistants. Il n'y a aucun dialogue qui indique qu'une relation d'échanges a lieu entre l'enfant et Efira. Et alors les scènes "muqueuses" ! Quel intérêt ? L'amour peut se suggerer de manière plus efficace que dans un lit !
    Gygye
    Gygye

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    Voilà un film que l'on sent sorti tout droit du coeur et de la chaire de sa réalisatrice !
    Enfin, une histoire de femmes écrite par une femme. Sans caricature de leurs interactions, avec une sororité délicate en fil rouge (la relation entre les sœurs, la scène du goûter glissé dans la main, l'intelligence du rapport entre la mère et la belle-mère qui tente de trouver sa place). Subtilité aussi dans le traitement de la relation de couple, où Roshdy Zem n'est jamais dépeint comme toxique ou méchant, mais où pour autant il est si facile de se retrouver dans chaque petite situation douloureuse car on sait pourquoi ça fait mal. Une petite merveille d'écriture que ce soit sur les moments dialogués ou non. Avec ce film très personnel, Rebecca Zlotowski a de quoi séduire les derniers sceptiques de son cinéma.
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