Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
De la pluralité des expériences, de la confrontation des points de vue, de la friction des récits et de leur réversibilité, Reichardt tire une fois de plus un film immensément humain qui s'incarne aussi bien dans sa générosité et la richesse de son propos que dans la sécheresse de son apparat.
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Une magnifique œuvre organique qui passe de l’argile au vivant.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
[Showing up] témoigne d’une précision et d’une discrétion redoublées qui participent grandement de sa beauté [et] dans son ensemble, gravite autour [d'un] conflit entre mouvement et fixité pour dépeindre l’intrication entre la création artistique et l’ordinaire du quotidien.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Avec une grande acuité, Kelly Reichardt dresse le portrait d'une artiste en scrutant les liens qui se tissent entre le quotidien du personnage et son œuvre, influencée et remodelée par les petits événements de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
"Showing Up" s'avère d'une intelligence et d'une sagesse remarquables, une œuvre joliment poétique et philosophique bien que par moments un peu bancale. Mais le film ne se fait-il pas non plus finalement théoricien de l'imperfection ?
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Marguerite Baux
Une réflexion malicieuse sur la fabrication de l'art.
Le Figaro
par É. S.
Showing up est une satire empathique d'une communauté bohème arty, avec ses ateliers, ses vanités, ses ridicules. Kelly Reichardt se moque, mais jamais de façon ricanante, jamais en surplomb. Elle ne se cache pas d'appartenir à ce monde, celui des créateurs, qu'ils soient géniaux ou pathétiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Avec beaucoup de malice, Kelly Reichardt dépare son actrice. Voilà Michelle Williams, star hollywoodienne, en chaussettes et en Crocs blanches, démaquillée et dépossédée de son blond platine, sommée de ne jamais sourire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Un bel autoportrait.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Bien que différent de ses œuvres précédentes, Showing Up partage avec elles un point commun : c’est magnifique !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Showing Up est un hymne discret au faire et au care, plus qu’à la parade ostentatoire, il est une délicate comptine sur l’obstination à créer malgré toutes les contingences environnantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Ce qui pointe le bout de son nez dans "Showing Up" [...] c’est l’art ; ce que le film raconte, c’est l’art qui se fait devant nos yeux sans qu’on s’en rende compte. Le miracle de la création attrapé comme tel, on ne l’avait pas vu dans un film depuis "Paterson" de Jarmusch.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
On y retrouve tout ce qui fait la singularité de la réalisatrice de « First Cow », cette manière si délicate d’approcher un sujet qui semble toujours sur le point de se dérober, ou mieux, de s’envoler [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Théo Ribeton
Showing Up est d’une grande justesse sur l’espèce de nonchalance irrespirable de cet Hipsteristan, mais aussi d’une vraie drôlerie qui en fait peut-être la première comédie de KR – et surtout son premier “film sur rien”, ou sur des choses aussi ineffables que la contrariété, la quotidienneté, l’inconfort physique et mental, et l’art à l’épreuve de tout cela.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Séverine Danflous
La mise en scène, sensible, s’installe, se fond dans les gestes qui façonnent la matière, s’accommode de la lenteur du processus.
Télé 2 semaines
par S.O.
Toute la magie du cinéma [de Kelly Reichard] réside dans sa façon de faire surgir de ces petits riens des moments d'intensité, d'émotion, d'humour et même de beauté.
Télérama
par Louis Guichard
Showing Up relève du tour de magie dans sa façon d’organiser, en toute discrétion, ces micro-événements, aux effets différés, imprévisibles et finalement salvateurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un personnage volontairement guère sympathique auquel on finit toutefois par s'attacher grâce à une mise en scène épurée et une performance tout en retenue de Michelle Williams.
L'Obs
par N. S.
De la même manière qu’il est difficile de trancher face aux sculptures de Lizzie – croûtes ou chefs-d’œuvre ? –, on balance entre la banalité de ce qui se joue à l’écran et la délicate retenue avec laquelle la réalisatrice de « First Cow » saisit la communauté artistique de Portland et le quotidien d’une de ses membres (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le scénario est ténu et les dialogues rares mais tout l’art de Kelly Reichardt tient dans cette façon de transcender la banalité du quotidien avec ses cadrages élégants, la lumière douce d’une fin d’été et quelques notes de musique ponctuant les étapes de l’acte de création jusqu’à son objectif final : le dévoilement au public.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un portrait de femme singulier et rugueux dont le rythme lent et contemplatif peut désarçonner, tout comme la volonté de ne faire aucun gros plan de son interprète principale, Michelle Williams, incroyable et méconnaissable [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un film mineur de Kelly Reiichardt mais qui a le charme d’un certain cinéma indépendant américain. Michelle Williams y est radieuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par La Rédaction
Atrocement filmé, sans queue ni tête, ce portrait d’une artiste moderne très politiquement correcte ne parvient jamais à l’effet de gentille dérision qu’il semble prétendre à susciter.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Plus laconique et contemplative que jamais, Kelly Reichardt flirte avec l'auto-caricature dans un film qui, malgré la prestation de la toujours excellente Michelle Williams, ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
La Septième Obsession
De la pluralité des expériences, de la confrontation des points de vue, de la friction des récits et de leur réversibilité, Reichardt tire une fois de plus un film immensément humain qui s'incarne aussi bien dans sa générosité et la richesse de son propos que dans la sécheresse de son apparat.
Marie Claire
Une magnifique œuvre organique qui passe de l’argile au vivant.
Cahiers du Cinéma
[Showing up] témoigne d’une précision et d’une discrétion redoublées qui participent grandement de sa beauté [et] dans son ensemble, gravite autour [d'un] conflit entre mouvement et fixité pour dépeindre l’intrication entre la création artistique et l’ordinaire du quotidien.
Critikat.com
Avec une grande acuité, Kelly Reichardt dresse le portrait d'une artiste en scrutant les liens qui se tissent entre le quotidien du personnage et son œuvre, influencée et remodelée par les petits événements de la vie.
Culturopoing.com
"Showing Up" s'avère d'une intelligence et d'une sagesse remarquables, une œuvre joliment poétique et philosophique bien que par moments un peu bancale. Mais le film ne se fait-il pas non plus finalement théoricien de l'imperfection ?
Elle
Une réflexion malicieuse sur la fabrication de l'art.
Le Figaro
Showing up est une satire empathique d'une communauté bohème arty, avec ses ateliers, ses vanités, ses ridicules. Kelly Reichardt se moque, mais jamais de façon ricanante, jamais en surplomb. Elle ne se cache pas d'appartenir à ce monde, celui des créateurs, qu'ils soient géniaux ou pathétiques.
Le Monde
Avec beaucoup de malice, Kelly Reichardt dépare son actrice. Voilà Michelle Williams, star hollywoodienne, en chaussettes et en Crocs blanches, démaquillée et dépossédée de son blond platine, sommée de ne jamais sourire.
Le Point
Un bel autoportrait.
Les Fiches du Cinéma
Bien que différent de ses œuvres précédentes, Showing Up partage avec elles un point commun : c’est magnifique !
Les Inrockuptibles
Showing Up est un hymne discret au faire et au care, plus qu’à la parade ostentatoire, il est une délicate comptine sur l’obstination à créer malgré toutes les contingences environnantes.
Libération
Ce qui pointe le bout de son nez dans "Showing Up" [...] c’est l’art ; ce que le film raconte, c’est l’art qui se fait devant nos yeux sans qu’on s’en rende compte. Le miracle de la création attrapé comme tel, on ne l’avait pas vu dans un film depuis "Paterson" de Jarmusch.
Paris Match
On y retrouve tout ce qui fait la singularité de la réalisatrice de « First Cow », cette manière si délicate d’approcher un sujet qui semble toujours sur le point de se dérober, ou mieux, de s’envoler [...].
Première
Showing Up est d’une grande justesse sur l’espèce de nonchalance irrespirable de cet Hipsteristan, mais aussi d’une vraie drôlerie qui en fait peut-être la première comédie de KR – et surtout son premier “film sur rien”, ou sur des choses aussi ineffables que la contrariété, la quotidienneté, l’inconfort physique et mental, et l’art à l’épreuve de tout cela.
Transfuge
La mise en scène, sensible, s’installe, se fond dans les gestes qui façonnent la matière, s’accommode de la lenteur du processus.
Télé 2 semaines
Toute la magie du cinéma [de Kelly Reichard] réside dans sa façon de faire surgir de ces petits riens des moments d'intensité, d'émotion, d'humour et même de beauté.
Télérama
Showing Up relève du tour de magie dans sa façon d’organiser, en toute discrétion, ces micro-événements, aux effets différés, imprévisibles et finalement salvateurs.
Voici
Un personnage volontairement guère sympathique auquel on finit toutefois par s'attacher grâce à une mise en scène épurée et une performance tout en retenue de Michelle Williams.
L'Obs
De la même manière qu’il est difficile de trancher face aux sculptures de Lizzie – croûtes ou chefs-d’œuvre ? –, on balance entre la banalité de ce qui se joue à l’écran et la délicate retenue avec laquelle la réalisatrice de « First Cow » saisit la communauté artistique de Portland et le quotidien d’une de ses membres (...).
La Croix
Le scénario est ténu et les dialogues rares mais tout l’art de Kelly Reichardt tient dans cette façon de transcender la banalité du quotidien avec ses cadrages élégants, la lumière douce d’une fin d’été et quelques notes de musique ponctuant les étapes de l’acte de création jusqu’à son objectif final : le dévoilement au public.
Le Journal du Dimanche
Un portrait de femme singulier et rugueux dont le rythme lent et contemplatif peut désarçonner, tout comme la volonté de ne faire aucun gros plan de son interprète principale, Michelle Williams, incroyable et méconnaissable [...].
aVoir-aLire.com
Un film mineur de Kelly Reiichardt mais qui a le charme d’un certain cinéma indépendant américain. Michelle Williams y est radieuse.
Le Parisien
Atrocement filmé, sans queue ni tête, ce portrait d’une artiste moderne très politiquement correcte ne parvient jamais à l’effet de gentille dérision qu’il semble prétendre à susciter.
Les Echos
Plus laconique et contemplative que jamais, Kelly Reichardt flirte avec l'auto-caricature dans un film qui, malgré la prestation de la toujours excellente Michelle Williams, ne convainc pas.