Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
Pour un film dont le propos est aussi de parler des acteurs virtuels, se payer Al Pacino est encore un pied de nez à prendre largement au second degré. Mais en plus, faire dire à ce même Pacino au travers de son rôle qu'il ne peut pas travailler avec des faux, devient jubilatoire. Pacino est, qui en douterait, remarquable, tient quelques monologues (ou dialogues virtuels avec son interprète Simone) à bout de bras et rend crédible toutes les scènes où il apparaît, même les plus ironiques.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Le Parisien
par Bérengère Adda
Un film drôle et inquiétant sur le paradoxe de la gloire, et peut-être prémonitoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Cécile Mury
L'un des grands atouts du film est d'explorer de manière ludique l'éventail des possibilités offertes par cette gigantesque imposture, cette anticipation technologique. Mais au-delà de ce cocasse catalogue des mille et une farces et attrapes générées par la supercherie, Andrew Niccol se livre aussi à une excitante réflexion sur la création artistique et sur la place de l'acteur dans le cinéma hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Plus qu'une réinterprétation moderne et glamour du mythe de Frankenstein, S1møne est avant tout une satire sociale et une fable sur les éternelles ambitions humaines pour le futur, qui en passent par l'ordre et le contrôle.
Ciné Live
par Olivier Petit
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Humour jusqu'au bout des répliques avec par exemple Al Pacino, monstre sacré, lançant avec conviction un "à quoi sert les acteurs ?". Rien que pour cette petite phrase, il faut aller voir "Simone" !
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le personnage incarné par Al Pacino connaît très vite les joies et aussi les affres de l'imposture. Et c'est alors avec l'arrivée d'un burlesque plus classique, mais par moments efficace, à base de poupées gonflables, de portes qui claquent, de simulacres bricolés et d'exploitation de la crédulité ambiante, que le film atteint une amusante vitesse de croisière.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
A la longue, le film piétine peut-être un peu (...). Mais l'idée est bonne (...), les piques contre Hollywood savoureuses, Simone (...) vraiment ravissante, et, dans la peau du réalisateur, savourant cyniquement le succès de son stratagème, Al Pacino tout à fait réjouissant. Un bon divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Fable inoffensive sur le virtuel mais satire réjouissante d'Hollywood, Simone est un divertissement haut de gamme avec un Pacino étincelant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
Avec un Pacino génial d'inventivité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Quelqu'un voudrait gripper la machine à rêver, il ne pourrait mieux s'y prendre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Bertrand Rougier
Avec S1M0NE, le réalisateur de Bienvenue à Gattaca reste dans le domaine du récit d'anticipation mais se rapproche un peu plus de nos préoccupations contemporaines puisqu'il livre cette fois-ci une comédie alerte et profonde sur les aléas de l'ère virtuelle, doublée d'une relecture moderne du mythe de Prométhée.
Novaplanet.com
par Alex Masson
La malicieuse comédie de moeurs hollywoodienne d'Andrew Niccol est d'autant plus réussie qu'elle ne parle pas des dangers du virtuel mais de la vanité humaine.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Première
par Christophe Narbonne
Eternel pessimiste, Niccol a une vision presque aussi impitoyable que celle d'un Kubrick.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par N. T. Binh
Le réalisateur de Bienvenue à Gattaca (et scénariste de The Truman Show) réussit une jolie fable sur l'illusion des médias et l'informatisation des humains. Même si le film s'essouffle vers la fin, la composition de Pacino reste d'une jubilation communicative.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
On pourra trouver ce film de façade plutôt divertissant, il sonne de toute façon bien creux.
Cine Libre
par Sébastien Lecordier
Finalement, même s'il agit comme un soin palliatif aux angoisses hollywoodiennes, Simone risque de plus amuser ceux dont il est censé se moquer que les spectateurs. Certes, certes mais entendre Pacino déclarer qu'on a plus besoin des acteurs justifie à lui seul le déplacement.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
En bref, cela reste un divertissement plaisant, sans plus, avec en prime un semblant de réflexion sur le faux et le vrai.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
MCinéma.com
par Benjamin Braddock
Toutefois, il ne faut pas faire la fine bouche : SIMONE reste un bon divertissement sans prétentions, un poil intello, mais malgré tout bien en-deçà de nos espérances.
Obejctif-Cinema.com
par Cyril Rota
Pourtant, sur la pente savonneuse du méta-film critique, il eut été facile de tomber dans la révolte conventionnée et la polémique de pacotille. Ce qui sauve le film, c'est son humilité et son aspect très divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Pessimiste incorrigible, le scénariste de "Truman Show" s'essoufle peu à peu à trouver un sens à son film.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Malheureusement, le reste est à l'avenant : entre grande maîtrise visuelle à la Soderbergh et exercice de style sans profondeur, le film avance à la manière d'un curieux objet de charlatan.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
Pour un film dont le propos est aussi de parler des acteurs virtuels, se payer Al Pacino est encore un pied de nez à prendre largement au second degré. Mais en plus, faire dire à ce même Pacino au travers de son rôle qu'il ne peut pas travailler avec des faux, devient jubilatoire. Pacino est, qui en douterait, remarquable, tient quelques monologues (ou dialogues virtuels avec son interprète Simone) à bout de bras et rend crédible toutes les scènes où il apparaît, même les plus ironiques.
Le Parisien
Un film drôle et inquiétant sur le paradoxe de la gloire, et peut-être prémonitoire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
L'un des grands atouts du film est d'explorer de manière ludique l'éventail des possibilités offertes par cette gigantesque imposture, cette anticipation technologique. Mais au-delà de ce cocasse catalogue des mille et une farces et attrapes générées par la supercherie, Andrew Niccol se livre aussi à une excitante réflexion sur la création artistique et sur la place de l'acteur dans le cinéma hollywoodien.
Aden
Plus qu'une réinterprétation moderne et glamour du mythe de Frankenstein, S1møne est avant tout une satire sociale et une fable sur les éternelles ambitions humaines pour le futur, qui en passent par l'ordre et le contrôle.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Humour jusqu'au bout des répliques avec par exemple Al Pacino, monstre sacré, lançant avec conviction un "à quoi sert les acteurs ?". Rien que pour cette petite phrase, il faut aller voir "Simone" !
Le Monde
Le personnage incarné par Al Pacino connaît très vite les joies et aussi les affres de l'imposture. Et c'est alors avec l'arrivée d'un burlesque plus classique, mais par moments efficace, à base de poupées gonflables, de portes qui claquent, de simulacres bricolés et d'exploitation de la crédulité ambiante, que le film atteint une amusante vitesse de croisière.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
A la longue, le film piétine peut-être un peu (...). Mais l'idée est bonne (...), les piques contre Hollywood savoureuses, Simone (...) vraiment ravissante, et, dans la peau du réalisateur, savourant cyniquement le succès de son stratagème, Al Pacino tout à fait réjouissant. Un bon divertissement.
Les Inrockuptibles
Fable inoffensive sur le virtuel mais satire réjouissante d'Hollywood, Simone est un divertissement haut de gamme avec un Pacino étincelant.
Les Inrockuptibles
Avec un Pacino génial d'inventivité.
Libération
Quelqu'un voudrait gripper la machine à rêver, il ne pourrait mieux s'y prendre.
Mad Movies
Avec S1M0NE, le réalisateur de Bienvenue à Gattaca reste dans le domaine du récit d'anticipation mais se rapproche un peu plus de nos préoccupations contemporaines puisqu'il livre cette fois-ci une comédie alerte et profonde sur les aléas de l'ère virtuelle, doublée d'une relecture moderne du mythe de Prométhée.
Novaplanet.com
La malicieuse comédie de moeurs hollywoodienne d'Andrew Niccol est d'autant plus réussie qu'elle ne parle pas des dangers du virtuel mais de la vanité humaine.
Première
Eternel pessimiste, Niccol a une vision presque aussi impitoyable que celle d'un Kubrick.
Zurban
Le réalisateur de Bienvenue à Gattaca (et scénariste de The Truman Show) réussit une jolie fable sur l'illusion des médias et l'informatisation des humains. Même si le film s'essouffle vers la fin, la composition de Pacino reste d'une jubilation communicative.
Cahiers du Cinéma
On pourra trouver ce film de façade plutôt divertissant, il sonne de toute façon bien creux.
Cine Libre
Finalement, même s'il agit comme un soin palliatif aux angoisses hollywoodiennes, Simone risque de plus amuser ceux dont il est censé se moquer que les spectateurs. Certes, certes mais entendre Pacino déclarer qu'on a plus besoin des acteurs justifie à lui seul le déplacement.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
En bref, cela reste un divertissement plaisant, sans plus, avec en prime un semblant de réflexion sur le faux et le vrai.
MCinéma.com
Toutefois, il ne faut pas faire la fine bouche : SIMONE reste un bon divertissement sans prétentions, un poil intello, mais malgré tout bien en-deçà de nos espérances.
Obejctif-Cinema.com
Pourtant, sur la pente savonneuse du méta-film critique, il eut été facile de tomber dans la révolte conventionnée et la polémique de pacotille. Ce qui sauve le film, c'est son humilité et son aspect très divertissant.
TéléCinéObs
Pessimiste incorrigible, le scénariste de "Truman Show" s'essoufle peu à peu à trouver un sens à son film.
Chronic'art.com
Malheureusement, le reste est à l'avenant : entre grande maîtrise visuelle à la Soderbergh et exercice de style sans profondeur, le film avance à la manière d'un curieux objet de charlatan.