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Uptownblues
19 abonnés
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1,5
Publiée le 10 février 2023
Un film bénéficiant juste de sa période de sortie. Dans les faits, ce n'est qu'une piètre copie d'un 28 jours plus tard sans le talent de Boyle, banal et pauvre enchaînement vide et sans intérêt de scènes très gores et très trashes quoiqu'aux effets spéciaux assez risibles.
Ultra gore, The Sadness retrace l'arrivée d'une mutation d'un virus et créé chez les personnes infectées, une véritable envie de réaliser tous leurs plus sombres désirs. Ce film est une masterclass niveau VFX et gore. C'est sûrement le film le plus choquant de l'année 2022, qui lui aura valu de nombreux articles de presse et polémiques. La majorité des gens n'ont retenu que le film Terrifier 2 sorti fin 2022 aux US pour son côté gore alors qu'il n'arrive pas à la cheville de The Sadness. Certes, le scénario suit l'avancée d'un virus, c'est du vu et revu comme sujet de cinéma, mais il le fait avec brio. On ne s'attend pas à voir des scènes aussi violentes et crues tout au long du film, c'est impressionnant. S'il on ajoute à ça les yeux rouges et noirs des infectés, il nous reste une image terrifiante dans la tête après la fin du film.
« The Sadness » est un film d’horreur taïwanais avec une histoire minimaliste mais de circonstance (il surfe sur l’épidémie du Covid). Mais « The Sadness », c’est surtout de l’hyper-violence, très gore, comme l’Asie sait en produire. Malheureusement, l’effet de surprise passé, le manque de scénario et le manque de profondeur des personnages – certaines réactions de personnages sains sont même très difficiles à comprendre – ne poussent pas le spectateur à entrer davantage dans l’histoire. C’est du « Walking Dead » en condensé.
Une oeuvre aux scènes d'ultra-violence de grandes qualités qui ravira les fans du genre. Après, rien de bien exceptionnel avec un scénario absent. Le côté critique du film sur le comportement individuel reste bien léger et ne suffit pas à élever le film.
Le film démarre plutôt bien. Le scénario est bien ficelé et on rentre très rapidement dans le film. Tout s'enchaîne bien puis ensuite, rien. On suit les évènements mais sans vraiment ce petit quelque chose qui nous permet de totalement s'investir dans le film. C'est dommage ça partait plutôt bien même pour un scénario déjà exploité maintes et maintes fois. Les maquillages sont beaux et les acteurs plutôt bons. Mais encore une fois il manque ce petit quelque chose pour ce film soit bon.
Sadness, un récit d'horreur gore qui à bien fait parler de lui à sa sortie. Véritable boucherie visuelle, audio et psychologie, que l'on peut comparer à "Walking Dead" pour son aspect zombifiant et gore, toute fois, il se pourrait que ni le réal ni le scénario n'est réellement compris ce qu'est un zombie. Après il est vrai que le déroulement est long à se mettre en place tant le développement de notre couple héros est bien présent, tant mieux d'une certaine manière. Puis les premières victimes sont faites mais aucun éléments physique ne montre la transformation en acharner du bocal. Le -16 est parfaitement respecter, les dialogues crus et sexuellement vulgaires sont promise cuiter et les symboles moraux y sont nombreux avec quelques scènes bien trash. Mais une fois encore, si le gore est là, les zombies ne restent pas moins que de vrais humains bien conscients métamorphosés en pervers sanguinaires. Regina Lei & Berant Zhu sont donc parfaitement ancrer dans leur personnageavec un très bon jeu commun, que je dirais quand même du genre "vu et revu", tant leur couple est victime de ce que n'importe lesquels peuvent vivre au cours de l'année. Enfin, Tzu-Chiang Wang représente par son jeu, tous ce que l'homme à de plus bas en instinct, de plus primal et de plus sadique. Dialogue, regard, gestes, il est le grand méchant du cinéma asiatique le plus percutant que j'ai pu voir (même si le nombre de films locaux vu est très mince). Réussi en partie mais doubler d'une incohérence massive.
Plutôt déçu par ce film. C'est très gore par moment, puis ennuyeux, puis lent, puis gore, etc. Le côté gore n'est pas renversant et a été vu mille fois. Seul le vieux méchant obsédé est marrant. En tout cas un non événement comparé au battage médiatique.
Dans le genre du "gros délire entre potes uniquement là pour divertir", "The Sadness" est une œuvre plutôt correcte pour qui voudra bien tenter cette expérience un peu folle. Tout le délire de ce film va tourner autour d'une grande dose de plaisir coupable, le projet cherchant toujours à se rendre de plus en plus déroutant au fur et à mesure du visionnage. Le concept est basé sur de l'horreur gore, très décomplexé et qui ne se pose aucune réelle limite. En tant que spectateur, vous serez confronté à toutes les horreurs les plus folles que vous pouvez imaginer. Vous n'allez pas être épargné entre les meurtres, le sang à outrance, les viols, etc... Si on prend le long-métrage comme un gros délire, cela peut donc passer. Cependant, il est clair que la question du "pourquoi ce film a été réalisé ?" m'échappe toujours. Forcément, on a l'impression de voir un film où le réalisateur s'est complètement lâché et a voulu retranscrire le plus de ces délires personnels. Et cette impression se ressent notamment au niveau du scénario, et de l'écriture en général. Certes, le concept de base est intéressant, et il justifie bien tout ce déchaînement de violence. Mais le développement de l'histoire en lui-même n'a rien d'intéressant, les thématiques sont survolées et on ne prend pas vraiment le temps de s'attacher à nos personnages. Au tout début, le film essaie d'instaurer quelques enjeux au niveau de ce jeune couple qui nous est présenté, et de laisser planer une ambiance très énigmatique. Mais une fois que les premières grosses scènes sont là, tout sera laissé de côté. On enchaîne les instants horribles les uns après les autres, avec tout de même, de gros ventres mous entre ces séquences. Je pense donc qu'il ne faut pas voir ce film de manière sérieuse, on est sur un gros délire. Le domaine de l'éthique est forcément à remettre en cause, mais après tout, le cinéma n'est pas là que pour nous offrir des expériences agréables. Pour conclure, un délire très décomplexé, mais douteux.
Je n’ai vraiment pas été satisfait par The Sadness. Le film a certes une esthétique ultra gore avec des super effets visuels mais ce gîte n’est au service de rien : scénario sans intérêt et du gîte permanent qui ne nous fait plus ressentir aucun stress ou effroi tellement il y en a tout le temps. Je n’y ai donc pas trouvé d’intérêt, même si encore une fois les effets et la mise en scène sont très réussies.
Je suppose qu’il existe de très beaux films taiwanais, poétiques et contemplatifs, mais le premier qui me tombe entre les mains est au contraire un sommet de sauvagerie et de cruauté pure. N’empêche qu’il me faisait terriblement envie, ce spécimen’…et comme tous les films qui font terriblement envie, il n’était au final pas tout à fait à la hauteur des espoirs démesurés que j’avais placé en lui. Pensez-donc, un film dont les premiers retours affirmaient que les spectateurs vomissaient en sortant de la salle ! ‘The sadness’ est un film de pandémie, justement tourné durant la pandémie, dans lequel les contaminés ne termineraient pas zombifiés mais plutôt soumis à toutes leurs pulsions meurtrières et sexuelles. Sur la forme, on se retrouve en terrain connu : une mise en place efficace, quelques coups de sonde pour titiller le spectateur…et c’est alors qu’un geyser de sang dans le métro donne le signal des hostilités ! A partir de là, ‘The sadness’ part en vrille totale, multipliant les effets gores de plus en plus extrêmes, s’enfonçant de plus en plus loin dans l’ignominie, avec des personnages plus barrés, orduriers et dégueulasses que tout ce qu’on avait pu observer ces dernières années. Quelques scènes méritent une mention spéciale et probablement une citation aux Bloody disgusting awards et quelques acteurs, comme l’effroyable Tzu Chiang Wang, aussi d’ailleurs. ‘The sadness’ conserve en toute circonstance un côté drôle et sarcastique, qui doit évidemment beaucoup à ses excès d’hémoglobine, mais il ne se réfugie jamais derrière pour faire passer la pilule. Sur la fin, ‘The sadness’ arrive cependant au bout de ses munitions, sans doute faute de pouvoir encore aller plus loin, et les vingt dernières minutes s’écoulent dans une relative indifférence, bien loin de l’excitation primale de la première heure, ce qui est effectivement un peu triste. Pour ma part, j’ai beaucoup ri et je n’ai pas vomi mais depuis le temps que je regarde des trucs comme ça, je dois sans doute être complètement désensibilisé.
Difficile de dire que "The Sadness" est un bon film avec toute la souffrance et la violence qu'on voit. Ultra gore, les amateurs du genre seront servis sans aucun doute. Une histoire assez classique qui tourne autour d'un virus. Ce qui rendra l'œuvre de Rob Jabbaz plus unique, c'est pour son côté violent, gore et horrifique qui restera davantage dans nos esprits après toutes ces scènes affreuses, beurk. Pas mal, âmes sensibles à s'abstenir, il n'est pas -16 ans pour rien.
Pas mal... Un film bien gore comme on en fait plus de nos jours... Ça m'a rappelé un peu Braindead sans le côté humoristique... Le film accumule les scènes gores qu'on a déjà vu au cinéma ds des films comme A Serbian film, Irréversible, la Mouche, Hostel et bien d autres encore... C'est plutôt bien fait sans faire ds l ultra réalisme... Niveau hémoglobine le film rempli amplement son cahier des charges... Mais je pensais en voir davantage à la fin avec notamment un déchaînement de sang et d hyper violence.. Or la fin est plutôt sobre et trop sage par rapport au reste... Par ailleurs l'histoire de la pandémie est intéressante au vue de l actualité mais pas assez développé à mon goût... Elle est juste un prétexte pour foutre du gore... Les personnages aussi on s'en fou un peu... Aucune attache émotionnelle... Le seul personnage qui a attiré mon attention c'est le vieux pervers ds le métro qui se transforme en dangereux psychopathe maniaque bien flippant... Bref un bon délire gore, violent, malsain etc mais sans véritable fond au final... A voir quand même pour les amateurs d horreur...
De bonnes idées, c'est dommage pour le gore qui est beaucoup trop pousser, l'hémoglobine c'est sympa mais là c'était à outrance et ça tue le charme, les personnages sont pas assez percutants et certaines longueurs inutiles fait qu'on se détache de l'histoire qui est pas parfait de base. Malgré tout pour un premier film de ce réalisateur il s'en sort pas trop mal mais ce côté trop d'hémoglobine a un peu plombé le film.