Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Mad Movies
par Gilles Esposito
The Sadness finit par se rapprocher de certains films sans concession du tournant des années 1980, italiens notamment, apportant une facture contemporaine (narration dynamique, effets spéciaux et réalisation efficaces) à des bandes qui tenaient à la fois de la grosse farce sardonique et du cri désespéré dans la nuit.
20 Minutes
par Caroline Vié
Charge des frustrations d’une population mal dans sa peau qui se lâchent soudain sur fond de pandémie, The Sadness n’a pas pour vocation de donner dans la légèreté. Sa folie furieuse en fait une œuvre intense en même temps qu’une expérience de cinéma hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Alex Terror
Comme l'œuvre zombiesque de George Romero, le body horror cher à David Cronenberg ou les catégories III d'Herman Yau, le cinéma de Rob Jabbaz, infiniment politique et offensif, à travers ses outrances graphiques, interroge, au delà de notre regard, notre acceptation du réel. (...) Mais un élément fondamental twiste littéralement The Sadness : c'est un film "covidien".
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Gare à vous qui croyez découvrir une série B gore, légère et divertissante : malgré sa générosité, The Sadness broie l'humanité de ses personnages et la nôtre au passage.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Avec sa réalisation hyper immersive et son rythme effréné, The Sadness ne laisse guère de moments de répit aux spectateurs, mais c’est surtout son jusqu’au boutisme dans le gore et le crado qui marquera les esprits. C’est simple : on n’avait pas vu autant de débordements craspecs au cinéma depuis A Serbian film !
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
GQ
par Adam Sanchez
Une expérience de cinéma traumatisante et mémorable, tour à tour grotesque dans la façon dont il fait déverser à l’écran des hectolitres d’hémoglobine et proprement glaçante.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Parisien
par La Rédaction
Clairement, « The Sadness » affiche un niveau de violence et de gore proprement hallucinant, proposant des images jusqu’au-boutistes qu’on a perdu l’habitude de voir sur grand écran depuis longtemps !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Marc Godin
Comme un tour de train fantôme lancé à 200 à l'heure, le film effraie, fait rire puis hurler, et le spectateur se retrouve très souvent une main devant les yeux, incrédule devant le déferlement de violence.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par François Léger
Un défouloir avec 100 idées à la minute, chauffé à blanc et bâti à l’énergie pure. Bien plus qu’une curiosité : la naissance d’un cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Une absence de compromis réjouissante pour ceux qui apprécient ce genre de "spectacle", qui va crescendo au fil des séquences, pour un final dont la sauvagerie a rarement été observée pour une production "grand public".
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Plutôt que d’entrechoquer les deux structures qui le régissent – film d’auteur naturaliste en appartement et film d’exploitation postapocalyptique à ciel ouvert –, The Sadness joue, durant une magistrale première moitié, d’un va-et-vient un peu somnambule de l’une à l’autre.
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Des dialogues improbables, des acteurs en roue libre, des situations délirantes : un spectacle qui revisite l’apocalypse zombie avec une ferveur où tout est permis. Fous rires garantis.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Rob Jabbaz paraît ne s'être fixé aucune limite pour trousser cette oeuvrette hirsute et mal élevée qui hésite entre l'orgie et la bataille de purée à la cantine.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Critikat.com
par Josué Morel
The Sadness n’est pas sans idées, mais il manque à Jabbaz un sens du tempo et de la mise en scène pour que la machine s’emballe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film met une jubilation féroce à profaner le corps humain. Pour le reste, The Sadness se contente d’hystériser une formule, celle de l’invasion zombie et de la contamination du mal, déjà passablement essorée par des hordes de déclinaisons auxquelles Rob Jabbaz n’apporte rien de substantiel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marius Chapuis
The Sadness est dégueulasse – c’est le but – mais c’est par son cynisme qu’il stupéfie, par cette manière d’aplanir toutes les formes de violence, de tout recouvrir de la même désinvolture. Bien moins iconoclaste qu’il ne s’imagine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Étalage de sévices délirants et de gore nauséeux, ce film vain et impersonnel ne fait que rabâcher ses références. On hésite entre la fuite et le bâillement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
The Sadness n'est qu'un énième survival zombiesque, traversé de scènes ultra-gores mais finalement parfaitement inoffensives.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
The Sadness finit par se rapprocher de certains films sans concession du tournant des années 1980, italiens notamment, apportant une facture contemporaine (narration dynamique, effets spéciaux et réalisation efficaces) à des bandes qui tenaient à la fois de la grosse farce sardonique et du cri désespéré dans la nuit.
20 Minutes
Charge des frustrations d’une population mal dans sa peau qui se lâchent soudain sur fond de pandémie, The Sadness n’a pas pour vocation de donner dans la légèreté. Sa folie furieuse en fait une œuvre intense en même temps qu’une expérience de cinéma hors du commun.
Culturopoing.com
Comme l'œuvre zombiesque de George Romero, le body horror cher à David Cronenberg ou les catégories III d'Herman Yau, le cinéma de Rob Jabbaz, infiniment politique et offensif, à travers ses outrances graphiques, interroge, au delà de notre regard, notre acceptation du réel. (...) Mais un élément fondamental twiste littéralement The Sadness : c'est un film "covidien".
Ecran Large
Gare à vous qui croyez découvrir une série B gore, légère et divertissante : malgré sa générosité, The Sadness broie l'humanité de ses personnages et la nôtre au passage.
Filmsactu
Avec sa réalisation hyper immersive et son rythme effréné, The Sadness ne laisse guère de moments de répit aux spectateurs, mais c’est surtout son jusqu’au boutisme dans le gore et le crado qui marquera les esprits. C’est simple : on n’avait pas vu autant de débordements craspecs au cinéma depuis A Serbian film !
GQ
Une expérience de cinéma traumatisante et mémorable, tour à tour grotesque dans la façon dont il fait déverser à l’écran des hectolitres d’hémoglobine et proprement glaçante.
Le Parisien
Clairement, « The Sadness » affiche un niveau de violence et de gore proprement hallucinant, proposant des images jusqu’au-boutistes qu’on a perdu l’habitude de voir sur grand écran depuis longtemps !
Le Point
Comme un tour de train fantôme lancé à 200 à l'heure, le film effraie, fait rire puis hurler, et le spectateur se retrouve très souvent une main devant les yeux, incrédule devant le déferlement de violence.
Première
Un défouloir avec 100 idées à la minute, chauffé à blanc et bâti à l’énergie pure. Bien plus qu’une curiosité : la naissance d’un cinéaste.
Télé Loisirs
Une absence de compromis réjouissante pour ceux qui apprécient ce genre de "spectacle", qui va crescendo au fil des séquences, pour un final dont la sauvagerie a rarement été observée pour une production "grand public".
Cahiers du Cinéma
Plutôt que d’entrechoquer les deux structures qui le régissent – film d’auteur naturaliste en appartement et film d’exploitation postapocalyptique à ciel ouvert –, The Sadness joue, durant une magistrale première moitié, d’un va-et-vient un peu somnambule de l’une à l’autre.
Le Journal du Dimanche
Des dialogues improbables, des acteurs en roue libre, des situations délirantes : un spectacle qui revisite l’apocalypse zombie avec une ferveur où tout est permis. Fous rires garantis.
Les Echos
Rob Jabbaz paraît ne s'être fixé aucune limite pour trousser cette oeuvrette hirsute et mal élevée qui hésite entre l'orgie et la bataille de purée à la cantine.
Critikat.com
The Sadness n’est pas sans idées, mais il manque à Jabbaz un sens du tempo et de la mise en scène pour que la machine s’emballe.
Le Monde
Le film met une jubilation féroce à profaner le corps humain. Pour le reste, The Sadness se contente d’hystériser une formule, celle de l’invasion zombie et de la contamination du mal, déjà passablement essorée par des hordes de déclinaisons auxquelles Rob Jabbaz n’apporte rien de substantiel.
Libération
The Sadness est dégueulasse – c’est le but – mais c’est par son cynisme qu’il stupéfie, par cette manière d’aplanir toutes les formes de violence, de tout recouvrir de la même désinvolture. Bien moins iconoclaste qu’il ne s’imagine.
Les Fiches du Cinéma
Étalage de sévices délirants et de gore nauséeux, ce film vain et impersonnel ne fait que rabâcher ses références. On hésite entre la fuite et le bâillement.
Les Inrockuptibles
The Sadness n'est qu'un énième survival zombiesque, traversé de scènes ultra-gores mais finalement parfaitement inoffensives.