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Michel CAVAUD
1 critique
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0,5
Publiée le 11 février 2024
Bien trop long et j'ai eu du mal à pas dormir. Histoire qui n'a pas de sens avec des scènes qui sont sans fin. J'ai cru que c'était une pale d'or tellement que s'est ennuyeux. Passer votre chemin il y a sûrement de bien meilleur film à voir.
Un film dont on ne ressort pas indemne. S'il est difficile de tout saisir du premier coup, et qu'il m'a fallu une longue discussion avec mon partenaire de visionnage afin de rassembler tous les éléments et de comprendre toute la chronologie et l'histoire de Gabrielle, j'ai trouvé ce film poignant. L'angoisse monte au fur et à mesure du film, le suspense et l'incapacité à prédire la chute m'ont tenue jusqu'au bout. Ce film est une véritable mise en lumière de la réalité de notre monde et de la dystopie dans laquelle nous pourrions plonger avec les IA qui auraient le contrôle sur tout. Chaque plan, chaque détail du film est pensé afin de nous faire perdre tous nos repères et de nous plonger dans l'intériorité de Gabrielle. Un film qui fait réfléchir, qui remet en cause nos croyances, questionne nos émotions et nos rapports humains. Une véritable expérience cinématographique, qui m'a littéralement retournée le cerveau.
Un film étonnamment ennuyeux, sans fond philosophique, sans intrigue. Une impression permanente d'absence de scénario. Je n'ai pas réussi à me nourrir au point de partir avant la fin. Une impression de début de film permanent.
Que dire ? Le dernier tiers du film est pesante, longue, inutile. Miss Seydoux joue mieux les bourgeoises que les mannequins, un métier qu'elle connaît pourtant. Et ce générique en QR Code quelle idée saugrenue. Mieux vaut rester chez soi a correspondre avec son ordinateur.
La réflexion d’anticipation est particulièrement intéressante. Les jeux de rôles entre la très charmante Léa Seydoux alias Gabrielle et George Mac Kay alias Louis sont extraordinaires au travers des trois époques bien distinctes qui sont évoquées. Les 3 époques se confrontent avec à chacune une manifestation bien différente des relations humaines, des échanges amoureux, des objectifs de vie de chaque être humain. Si au 19eme siècle il n’est pas forcément plus facile d’aimer et d’être aimé: à cette époque ancienne aucune Intelligence Artificielle ne vient perturber ou fausser les relations. À ce moment là c’est davantage l’éducation et l’effort de chacun qui rend une personnalité passionnante. En revanche, de nos jours, époque curieuse où l’individualisme exacerbé domine une base sociale pas si éloignée que cela de celle du 19eme siècle, le moi moi moi s’impose sans aucun partage, le plaisir solitaire triomphe. L’individu n’en sort pas forcément beaucoup plus heureux, mais il vit. Par contre, pour le futur, figuré ici en 2044, le réalisateur Bertrand Bonello imagine que l’IA a fini par totalement dominer les relations humaines, l’IA nivelle tout, l’IA a rendu les êtres humains non seulement encore plus seuls mais encore davantage ignorants, incultes et progressivement totalement passifs, indifférents à leur propre contexte social. Avantage principal : plus de dispute, plus d’aspérité, plus de conflit, l’être humain entre dans un « normalisme » à priori rassurant. Mais de fait cette standardisation de la pensée et des comportements de chacun devient réellement effrayante: la bête est-elle entrée en chaque individu ? La perspective n’est pas vraiment réjouissante. Rrrrrr…..
Actrice formidable mais film totalement décousu et franchement on a du mal à ne pas dormir devant. Mention spéciale pour les costumes et la lumière haut niveau
Meilleurs film de SF français de tous les temps. En 2044 une jeune femme intelligente et sensible postule pour un poste à la mesure de ses capacités. En cette époque où le chômage atteint 60 % elle est soumise à une thérapie ou le système cognitif doit surmonter ses émotions par une adaptation logique. Pour ce faire elle est plongée dans un coma artificiel ou elle voyage en rêves dans le passé ou le futur. Le but étant que les affects n'influencent pas ses décisions professionnelles. Je n'en dis pas plus, c'est passionnant et très bien fait avec des acteurs géniaux et un scénario rempli de surprises. Nous sommes dans du David Lynch pur jus sur le plan visuel et des dialogues excellents et envoûtants.
Si vous avez compris et aimé Cloud Atlas, il y a des chances pour que vous compreniez ce que raconte ce film magnifique ! Je n'y ai personnellement pas trouvé de longueurs, peut-être parce que je me suis attachée (entre autre) à comprendre et scruter la trame des époques et des émotions. J'ai particulièrement aimé, en plus de la performance des acteurs, du scénario et des décors, la "morale de l'histoire" - l'avertissement sur une déshumanisation programmée, le danger est déjà largement dans les tuyaux.
Je mets 2,5 uniquement pour l interpretation incroyable de lea seydou. Elle tient un film soporifique, très long et un peu indéchiffrable sur ses épaules. Quelques scènes comiques involontaires.
J'avais adoré Nocturama et Saint-Laurent. Je n'adorerai pas La Bête, interminable pensum sans aucun sens de la narration qui petrifie George Mc Kay et couvre de ridicule Léa Seydoux pour longtemps. La formidable Bête de Borowczyk n'est pas détrônée par celle de Bonello!
je n'ai pas réussi à rentrer dans le film. je l'ai trouvé ennuyeux et lent. Heureusement il y a une bonne prestation de Léa Seydoux mais cela ne suffit pas.
Un film déroutant et une réalisation fantastique du maître Bertrand Bonello. Léa Seydoux est bestialement parfaite dans ce grand rôle ! J'ai adoré !!!!! Un film à voir absolument !
Hormis le fait que Léa Seydoux excelle dans ce genre de rôle (elle m'a fait penser à Scarlett Johannson dans Lucy) je n'ai pas aimé le film car je n'ai rien compris à l'histoire ou plutôt aux scènes (bain de liquide noir, pigeon, poupée, inondations, cris ?!!)et j'ai trouvé le temps très long !