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    La Bête
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    3,0
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    154 critiques spectateurs

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    PASCAL C
    PASCAL C

    8 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 février 2024
    Classique sur le fond, un couple se retrouve à diverses époques, cependant traité de façon bruyante, un rien artificielle et longuette sinon la fin et le générique nous réservent de belles surprises.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 961 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2024
    Bertrand Bonello signe un film futuriste où les émotions sont une menace à purifier. Mais Gabrielle semble résister à ce progrès en replongeant dans ses souvenirs. C’est brillant, intelligent, impressionnant. Léa Seydoux crève l’écran dans un film à l’esthétisme parfait. Que l’on aime ou que l’on déteste le cinéma de Bonello, impossible de ressortir indemne de ce film, à la réalisation mécanique, complexe et perturbante.
    Enis Atallah
    Enis Atallah

    5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 février 2024
    Franchement je sais pas quoi penser… Le film est très étrange, je ne sais pas exactement ce que j´ai vu, ce qui s´est passé. Très curieux…
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    110 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2024
    A vu « la Bête » de Bertrand Bonello librement inspiré de la nouvelle d’Henry James «La Bête dans la jungle ». En 2044, le monde est régit par l’Intelligence Artificielle sous forme de voix diffusées via des ordinateurs, de poupées de compagnies, de programmes … Gabrielle a encore trop d’affects pour pouvoir trouver un emploi digne de ses compétences, elle doit donc se purifier et se purger de ses traumatismes qui sont imprimés en elle de par ses vies antérieures. En 1910, Gabrielle était pianiste prodige et son mari propriétaire d’une usine de poupées, lorsqu’elle tombe amoureuse de Louis, pour qui elle quitte tout. Mais Gabrielle est envahie par un ressenti qui la dévore, celui d’une catastrophe imminente (La crue du siècle de la Seine à Paris ?). En 2014, Gabrielle est mannequin et vit à Los Angeles où elle garde une sublime maison pour arrondir ses fins de mois. Elle rencontre Louis, jeune homme puceau à 30 ans qui vit très mal sa virginité. Gabrielle est irrémédiablement attiré par Louis tout en étant envahie par la conscience d’un cataclysme à venir (le Big One ?). Les 3 époques magnifiquement mis en scène se juxtaposent, s’interpénètrent, se répondent. Film puzzle avec des pièces manquantes, le spectateur doit lâcher prise très vite sur le sens et se laisser absorber par une atmosphère, une ambiance. Bertrand Bonnello à son habitude filme avec art et maitrise. La pièce maitresse de ces 2h36 de projection est Léa Seydoux de presque tous les plans, de la scène d’ouverture sur un fond vert où l’on voit l’actrice entrer dans la peau de Gabrielle et jouer la scène principale du film que nous reverrons à plusieurs reprises et dans des époques différentes. La comédienne est magnétique, inquiétante, effaçant peu à peu toutes les expressions de son visage telle les poupées en celluloid de la fabrique du mari de Gabrielle. En 2044 les poupées (ordinateurs de compagnie) sont les autres, et l’amour n’existe plus. Son partenaire George McKay (qui interprète Louis) impressionnant traverse lui aussi les époques en devenant de plus en plus inquiétant. On ce comprend pas toujours le sens du montage, qui rend les choses encore plus compliquées qu’elles ne sont, mais « La Bête » n’est pas un film de narration. Ce film admirablement filmé infuse son message pessimiste avec le temps et un peu comme une séance de voyance (nombreuses dans le film) toutes les « informations » arrivent dans le désordre et n’ont aucun sens immédiat, c’est au client-spectateur de faire le tri et de créer les correspondances.
    Lux I
    Lux I

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 février 2024
    hey j'ai une idée je vais faire du David Lynch français. Alors voyons de quoi j'ai besoin ? "laisser 4 secondes de silence entre chaque phrase des dialogues" Check. Facile. "Des éléments et des personnages mystérieux et symboliques ". Check. il me reste un avoir chez l'animalier. j'ai droit a 10 s de loup, une biche et un pigeon. "une narration découpée et confuse" Check. "une scene où on voit bien les gros seins de l'actrice pour erotiser le tout". Check. "une villa luxueuse sur les hauteurs mystérieuses de LA". check. bon je vais pas prendre mudholand drive parceque ça fait beaucoup. ah mince il me reste presque rien pour payer un scénario et des dialogues.
    vincent COLLIER
    vincent COLLIER

    35 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 février 2024
    Difficile de critiquer ce film...autant de défauts que de qualités : George Mackay et surtout Léa Seydoux sont tout en finesse de même que la réalisation et la bande-son est aussi agréable...mais le scénario est complexe et l'agencement du film assez confus (à force de mêler les genres, les lieux et les siècles)...en tout cas une étrangeté bien dans la veine des films financés par Arte. Vive le cinéma....
    lionelb30
    lionelb30

    434 abonnés 2 585 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2024
    Presque rien compris a cette histoire, scénario confus et debut fastidieux. Puis malgré la longueur du film , on devient de plus en plus attentif au déroulement de cette histoire. Film atypique un peu dans l'esprit david lynch.
    brunocinoche
    brunocinoche

    89 abonnés 1 101 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2024
    Bertrand Bonello nous emmène dans un voyage labyrinthique à travers les époques et entraine Lea Seydoux ans un puzzle sentimental, la faisant passer par tous les états, un peu comme le faisait David Lynch à Laura Dern dans "Inland Empire ". Les séquences cauchemardesques, d'ailleurs proches de l'univers de Lynch sont incontestablement les meilleurs du film. Un peu trop long, les scènes se situant dans le passé auraient, à mon envie, gagné à être moins longue. Mais, Bonello aime prendre son temps et perdre le spectateur, il y arrive par moment! Reste un parcours initiatique fascinant et intrigant porté par une Léa Seydoux constamment inspirée, peut-être son meilleur rôle depuis "La vie d'Adèle". Et, cerise sur le gâteau, la scène finale est remarquable et tout ce qu'on a vu précédemment s éclaire enfin.
    LLDS76
    LLDS76

    17 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 juin 2024
    Ce film est une catastrophe qui a quelques bonnes scènes. Étant un grand fan de Lynch j’ai été pris par les séquences en 2014 qui revisitent la saison 3 de twin peaks (et quelques citations au slasher, même à Scream…)! Mais à part ça, le reste n’a vraiment aucune puissance… le pire du film c’est vraiment sa première heure d’époque qui n’a aucun rythme mais aucune tension. Le film est embourbé dans des dialogues interminables ne racontant rien. On a compris que la peur du cinéaste c’est la disparition des émotions humaines ! Merci ! Mais nous le redire dans tous les sens jusqu’au final copiant le final de la saison 3 de twin peaks (CRI) ! Svp arrêtez quoi ! Léa Seydoux est inspirée c’est sûr et maîtrise bien ce qu’elle tente de faire. J’aurai peut être aimé voir le film sur 2014. Car pour le reste une grosse déception me guette. J’aurai peut être préféré si je n’avais pas autant d’attente… je ne recommande pas le film est très long et à du mal à raconter autre chose que : ne laissez pas le numérique nous retirer nos émotions.
    Jean-Michel A
    Jean-Michel A

    2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2024
    Le film a démarré doucement puis m'a captivé. Léa Seydoux est belle et intelligente. Je le conseille.
    Theo
    Theo

    17 abonnés 894 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2024
    "La Bête", un drame psychologique de science-fiction franco-canadien orchestré par Bertrand Bonello, se dresse comme une énigme cinématographique, tissant habilement les fils de l'anticipation, de la romance et du mysticisme. Inspiré librement du roman "La Bête dans la jungle" d'Henry James, le film se déploie sur trois époques distinctes, proposant une réflexion sur l'évolution des émotions humaines dans un futur dystopique où elles sont perçues comme une menace.

    Le récit s'articule autour de Gabrielle, interprétée avec une intensité mesurée par Léa Seydoux, qui, dans sa quête d'une purification émotionnelle via une technologie avancée, traverse des vies antérieures et découvre un lien indéfectible avec Louis, incarné par George MacKay. Ce dernier, dans un effort remarquable, maîtrise le français pour son rôle, ajoutant une couche d'authenticité à son personnage.

    La réalisation de Bonello brille par moments, capturant des instants de pure beauté cinématographique grâce à la photographie de Josée Deshaies. La musique, signée Bertrand et Anna Bonello, enveloppe le film d'une atmosphère à la fois onirique et inquiétante, soulignant la dualité au cœur du récit.

    Cependant, malgré ses ambitions et son esthétique léchée, "La Bête" trébuche parfois dans son propre labyrinthe narratif. L'adaptation libre du texte de James offre un terrain fertile pour l'expérimentation, mais le film peine à maintenir une cohérence dans son exploration des thèmes complexes qu'il aborde. Les transitions entre les différentes époques, bien que visuellement distinctes, s'entremêlent parfois de manière confuse, diluant l'impact émotionnel potentiel de l'histoire.

    Le casting, bien que doté de talents indéniables comme Seydoux et MacKay, est par moments sous-utilisé, laissant peu d'espace pour que les personnages secondaires se développent pleinement. Cette sous-exploitation contribue à un sentiment d'inachevé qui plane sur certaines parties du film.

    L'accueil critique, bien que globalement positif, reflète cette ambivalence. Sélectionné pour la compétition officielle de la Mostra de Venise 2023, le film a su captiver l'attention sans pour autant marquer les esprits de manière indélébile. spoiler: L'initiative audacieuse de remplacer le générique de fin par un QR code, bien que novatrice, symbolise peut-être involontairement cette quête de connexion plus profonde que "La Bête" aspire à établir avec son public, mais n'atteint pas toujours pleinement.


    En définitive, "La Bête" de Bertrand Bonello est une œuvre cinématographique qui oscille entre le génie visuel et narratif et une certaine dispersion thématique. Il offre une expérience de visionnage qui, tout en étant visuellement captivante et ponctuellement émouvante, laisse le spectateur sur une note d'incertitude, reflétant peut-être involontairement la quête inachevée de ses protagonistes.
    Lilicot
    Lilicot

    4 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 février 2024
    Film de science fiction qui prétend, peut-être, faire réfléchir sur les dangers potentiels de l'intelligence artificielle mais qui se perd dans des méandres. Le récit est confus, on revoit plusieurs fois les mêmes plans, on se perd et on finit par ne plus comprendre le message. On prend une overdose de Léa Seydoux : nul doute que ce film va booster sa carrière...
    A fuir !
    Ti P
    Ti P

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 février 2024
    Film soporifique au possible
    Et très long. On s’ennuie tout du long
    Du mal à comprendre les notes données
    Baatoou
    Baatoou

    7 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2024
    Très bon film, même si il m'a fallu un peu de temps pour saisir tous les fils de l'intrigue et des différentes temporalités. Les décors, costumes sont très réussis. J'aime tout particulièrement la vision du principe bouddhiste de réincarnation, et je jeu des acteurs vient le sublimer, tout particulièrement vrai pour George Mackay. Le point faible du film réside selon moi sur la lenteur du film. De mon point de vue, un raccourcissement des scènes et l'ajout d'une 3eme vie antérieure aurait aidé le spectateur à mieux apprécier le mécanisme et à rendre les similitudes plus claires.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 février 2024
    Surfant entre les genres et les époques le« réalisateur français à suivre » d’antan, Bonello nous sert une œuvre fleuve boursouflée, brassant beaucoup de vent, sans pour autant avancer d’un centimètre. Entièrement axé autour de Léa Seydoux qui a tout le loisir de nous proposer de manière plus ou moins convaincante sa palette d’actrice ce pensum de 2h30 est censé illustrer l’Amour ultime. A la manière d’un David Lynch mais sans le génie du réalisateur américain. Et la balade fantasmagorique se transforme en véritable purge pour le spectateur, qui se reconnaîtra peut-être dans le pigeon dont la présence émaille le film.
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