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Sagis
3 abonnés
35 critiques
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4,0
Publiée le 6 mars 2024
Le genre de film "de genre", pointu, subtil, qui distille son parfum poétique, noir, dans nos troubles et nos craintes...de l'autre, du temps, de l'amour, de la mort...petit être juste un peu trop long, mais vraiment intriguant. laissons la vérité de côté, laissons nous porter.
Rébarbatif .. Ennuyeux. Seul intérêt peut être : le final . Ce film ne présente aucun intérêt. On est dans l’attente d’un rebondissement qui n’arrive pas.
Un film profond qui touche diverses thématiques intéressantes, mais assez flou et dispersé. Un rythme dynamique à certains moments et assez lent sur d'autres. Belles images à l'écran et belle histoire de fond.
J'ai vraiment attendu la fin tout le long. Film complètement décousu, je ne savais pas où voulait nous mener l'histoire. Sans parler de la fin qui vraiment n'a pas de sens. Extrêmement déçu
Lent , aucune présence de scénario qui emporte le spectateur … à fuir indéniablement… tout tourne autour de Léa Seydoux qui réagit sans aucun charme à chaque émotion qu’elle doit exprimer … un film d’une nullité et d’un vide sidéral…
L'idée est bonne mais beaucoup trop long à mon goût. Le suivi ne m'a pas posé trop de problème même si j'ai eu du mal à comprendre l'intérêt de certaines étapes.
C'est, je pense, la première fois de ma vie que je quitte la salle avant la moitié du film. Je n'ai pas du tout accroché à ce film décousu qui nous mène nulle part. Où est l'intrigue ? Où est le scénario ? Je ne comprends pas les critiques dithyrambiques des pros...
J'ai hésité à mettre 3 étoiles, car il en méritait 2 tout au plus....mais mon côté "maso" à joué son rôle... 2h30 de torture psychologique, pour finalement sortir de la salle complètement groggy...et mille questions en tête...la plupart sans réponse bien sûr... à voir une 2e, voire une 3e fois pour essayer de sortir du brouillard, me ce serait sans aucun doute suicidaire. Plus concrètement, Léa Seydoux est à son apogée, George Mackay éblouissant, Bertrand Bonello complètement barré, le tout dans un univers temporellement tridimensionnel, laissant le spectateur dans une détresse d'incompréhension exacerbée, perdu dans les méandres d'un scénario d'un autre monde. A se demander si La Bête ne serait pas tout simplement....la réalisation incompréhensible de cette œuvre littéraire à la base, mais travaillée sur grand écran à la manière d'une grenade à fragmentation qui vous laisse le cerveau en morceaux... Quoi qu'il en soit, ce film ne laissera personne indemne, si on a le courage de tenir jusqu'au bout...
Ce film était une véritable catastrophe du début à la fin. L'intrigue était plus plate qu'une crêpe sans garniture, les acteurs semblaient sortis tout droit d'un cours d'art dramatique pour débutants, et les effets spéciaux étaient aussi convaincants qu'une vieille vidéo YouTube des années 90. Je me suis ennuyé à mourir pendant les deux longues heures de ce navet cinématographique. Évitez-le à tout prix, sauf si vous cherchez un remède radical contre l'insomnie.
Dédale merveilleux et enivrant, le film d'abord opaque et référentiel, jouant seulement de sa sophistication et du magnétisme de Léa Seydoux (comme on ne l'a jamais vu vraiment) finit par se décanter dans sa seconde partie en révélant une immense beauté mélancolique. Du cinéma partout, dans chaque plan, chaque raccord, chaque son. Un chef d'oeuvre... à voir (et en salle s'il vous plait).
Le nouveau film de Bertrand Bonello est assez expérimental, puisqu'on suit plusieurs vies antérieures d'une personne qui cherche à supprimer ses émotions, sans être totalement convaincue par l'intérêt du procédé.
C'est un beau voyage esthétique, d'une lenteur qui ne m'a pas dérangé, mais c'est décousu. Les thèmes sont intéressants, notamment la déshumanisation suite au manque d'émotions, mais ils sont oubliés aussi vite qu'énoncés. Finalement, cette histoire de vies antérieures me paraît un prétexte pour faire un peu ce qu'on veut avec le scénario et les images. Je peine à voir le lien entre les différents chapitres du film, les scènes qui se répètent, le personnage extrêmement frustré par les femmes, tout ça m'a l'air mélangé au shaker.
C'est vraiment dommage parce qu'il y a une symbolique qui s'installe autour des poupées (parfois jouets, et parfois humaines) mais c'est à peine esquissé, et il n'y a rien de pire que de présenter un concept sans l'exploiter. Je ressens la même frustration qu'avec les Crimes du futur, avec la même ambiance et même actrice bizarrement.
Je n'ai pas passé un mauvais moment, parce que j'ai aimé l'esthétique, et la rêverie dystopique qui me rappelle Cronenberg, et un peu de SF grâce au thème (Equilibrium, Le meilleur des mondes). Cependant, je ne vois pas à qui je peux le recommander, et ça m'attriste parce que les rares films originaux vont souvent trop loin dans leur audace déstructurée pour accompagner un public curieux.
Mais qu'est donc allé faire Léa Seydoux dans cette galère ? C'est sans queue ni tête, c'est laborieux, je ne suis resté que pour Léa Seydoux, magnifique et mystérieuse, élégante et sensuelle, et très bien filmée par Bonello. Le film repose sur elle. Son partenaire masculin est bon, mais son look de premier de la classe est incompatible avec son rôle de dandy séducteur, ni dans celui du killer psychotique. Erreur de casting. C'était pourtant bien parti avec l'époque fin XIXème à Paris. Jolis dialogues, raffinement. Mais le récit se perd entre inondations, incendie pour finir par une noyade. Sans émotion. Ensuite les histoires des autres couples joués par les mêmes acteurs à d'autres époques m'ont semblées sans intérêt.