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38 critiques presse
L'Humanité
par Pablo Patarin
Surtout, Bertrand Bonello expérimente, tord l’image tout autant que la narration, déroute, à la manière d’un David Lynch, son récit tendant vers un fantastique dérangeant. Sans toujours nous permettre de saisir les tenants et aboutissants de chaque séquence, Bertrand Bonello nous enjoint à parcourir sa Bête en nous laissant porter par nos propres sentiments.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le film manigance son émotion avec une certaine distance, dans une brèche située quelque part entre Cronenberg et Lynch mais qui n’appartient qu’à Bonello. Une brèche devenue un royaume étourdissant de beauté. Là où le désir durera toujours.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
De la volupté des années 1910 au vide d’un futur dystopique, Bertrand Bonello signe un film de science-fiction méandreux sur la rétention du désir, porté par une Léa Seydoux convaincue d’une mystérieuse catastrophe à venir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Œuvre mutante et tentaculaire, le nouveau film de Bertrand Bonello voyage entre les époques et s'interroge sur l'amour et la possible fin de l'humanité. Hypnotique.
Ouest France
par Laurent Beauvallet
Une réflexion profonde pour un film rare.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Léa Seydoux crève l'écran. Sa performance est magistrale.
Transfuge
par Serge Kaganski
Avec "La Bête", Bertrand Bonello et Léa Seydoux atteignent des sommets de beauté et de modernité. Chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Louis Guichard
Léa Seydoux subjugue dans cette dystopie à la fois romanesque et romantique, qui mêle les genres de cinéma avec audace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Léa Seydoux est plus exceptionnelle que jamais dans le rôle complexe d’une femme sur trois époques dans La Bête.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jenny Ulrich
Le temps se distend, se subdivise, les motifs se répondent, la musique magnétise et la « chose » prend forme, fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Voulant s’inscrire dans son époque, à la singularité le film préfère la reproductibilité, à l’image de ces poupées proliférant dans l’usine de la première Gabrielle, qui voit en elles un projet d’avenir. La singularité, elle, serait du côté du corps : celui des acteurs, parcourant les époques, immuables, parcourant atterrés un monde qui vieillit et s’approche de l’inerte.
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
Le geste du cinéaste devient un geste politique et contemporain de tous les âges, dans sa forme comme dans sa proposition narrative. "La bête" n'est pas un film d'anticipation mais d'émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par La Rédaction
Futuriste et grandiose.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Avec ses prises de risques constantes, "La Bête" fascine. La mise en scène assume ses nombreuses influences, mais trouve sa propre identité grâce à des séquences d’une rare puissance.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le film, frontal et fuyant, mélo méta déconstruisant la plupart des influences du cinéaste (...) fixe les angoisses contemporaines dans une sorte de puzzle mental aux accents bouddhiques. L’empathie se meurt, nous dit-il. Ce n’est pas rien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
Sans céder à la tétanie, Bonello transforme alors la peur du vide en idée de cinéma. Et en tire une invention dingue, un film comme on n’en a encore jamais vu.
Le Figaro
par É.N.
Le film est original et beau, malin sans être complaisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
Le film trouve ainsi sa continuité dans ses lignes brisées, à l’image de certains électrons libres nord-américains comme David Lynch (Lost Highway, Mulholland Drive) ou David Cronenberg (Crash, Le Festin nu), peut-être même aussi du Je t’aime, je t’aime (1968) d’Alain Resnais.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Un chef-d’œuvre qui met le cinéaste au niveau des plus grands.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Gilles Esposito
Un film d'une folle ambition, où des thèmes gigantesques (la malédiction des vies antérieures, l'IA, la corruption des liens par les médias sociaux) servent à révéler la terreur à l'intérieur des plus infimes nuances des sentiments.
Positif
par Eithne O’Neill
Léa Seydoux séduit autant que George MacKay.
Première
par Damien Leblanc
Cette cohérence sentimentale est rendue possible par la sidérante performance de Léa Seydoux, dont le visage offre une brûlante palette d’émois et d’angoisses face à un George MacKay (1917) fascinant de retenue froide.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Bertrand Bonello étale son savoir-faire en posant une réflexion habile sur l’humain et sa place dans le monde, à l’heure où des technologies comme l’IA tendent à vouloir le remplacer.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Les prestations de Léa Seydoux et George MacKay fascinent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Léa Seydoux incarne avec subtilité une femme aux désirs inassouvis: sa performance est bouleversante de douleur et de résignation.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Dans son formalisme, Bertrand Bonello capte comme peu de cinéastes l’angoisse de nos sociétés saturées d’images. C’est à la fois la grande qualité du montage hétérogène de "La Bête", mais aussi sa principale limite, qui empèse le film d'un trop-plein référentiel et de raccourcis symboliques superficiels.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"La Bête" interpelle, mais ne tient pas jusqu’au bout de ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Bertrand Bonello adapte Henry James et signe une histoire d’amour impossible à travers le temps et les époques dans une dystopie glaçante portée par la présence magnétique de Léa Seydoux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Léa Seydoux n’a jamais autant irradié un écran. La Bête décrit un monde angoissant où l’émotion est une menace. Aimer fait peur. Étrange et envoûtant. Impénétrable et long aussi. Le film affiche deux heures vingt-six. On nous fait comprendre que le voyage aurait pu durer une éternité. Nous aurions souhaité qu’il se contente d’une heure quarante-cinq.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Bertrand Bonello engage une méditation profonde sur le sen de la vie, de l'amour et du destin dans un monde en constante évolution.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Bonello engourdit le récit d’Henry James en serrant au couple autour de deux amants, dans un voyage mental affadi par trop de sérieux et exsangue par trop de savoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Benjamin Locoge
Bonello n’a pas de moyens hollywoodiens pour porter son projet. Mais il peut compter sur le talent de Léa Seydoux pour embarquer le public dans son jeu de pistes à travers les siècles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par Sébastien Ors
Entremêlant les temporalités avec un art consommé de l'étrange et du romanesque, ce film un brin trop précieux du réalisateur de "Saint Laurent" est porté par une Léa Seydoux en état de grâce.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Dans ses éclats comme ses limites, "La Bête" éclaire la nature du style de Bonello, partagé ici entre l'horizon trompeur d'une tabula rasa (le fond vert de l'ouverture) et une obsession nostalgique gorgée de souvenirs cinéphiliques.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Michel Valentin
Si Léa Seydoux tire son épingle du jeu, le long-métrage manque sévèrement de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un cinéma très inspiré qui se perd parfois dans des circonvolutions hasardeuses.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un film aussi labyrinthique que boursouflé, qui agace autant qu'il ennuie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Bertrand Bonello tente le pari risqué du grand film labyrinthique… et se perd.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'Humanité
Surtout, Bertrand Bonello expérimente, tord l’image tout autant que la narration, déroute, à la manière d’un David Lynch, son récit tendant vers un fantastique dérangeant. Sans toujours nous permettre de saisir les tenants et aboutissants de chaque séquence, Bertrand Bonello nous enjoint à parcourir sa Bête en nous laissant porter par nos propres sentiments.
Les Inrockuptibles
Le film manigance son émotion avec une certaine distance, dans une brèche située quelque part entre Cronenberg et Lynch mais qui n’appartient qu’à Bonello. Une brèche devenue un royaume étourdissant de beauté. Là où le désir durera toujours.
Libération
De la volupté des années 1910 au vide d’un futur dystopique, Bertrand Bonello signe un film de science-fiction méandreux sur la rétention du désir, porté par une Léa Seydoux convaincue d’une mystérieuse catastrophe à venir.
Marie Claire
Œuvre mutante et tentaculaire, le nouveau film de Bertrand Bonello voyage entre les époques et s'interroge sur l'amour et la possible fin de l'humanité. Hypnotique.
Ouest France
Une réflexion profonde pour un film rare.
Public
Léa Seydoux crève l'écran. Sa performance est magistrale.
Transfuge
Avec "La Bête", Bertrand Bonello et Léa Seydoux atteignent des sommets de beauté et de modernité. Chef-d’œuvre.
Télérama
Léa Seydoux subjugue dans cette dystopie à la fois romanesque et romantique, qui mêle les genres de cinéma avec audace.
20 Minutes
Léa Seydoux est plus exceptionnelle que jamais dans le rôle complexe d’une femme sur trois époques dans La Bête.
Bande à part
Le temps se distend, se subdivise, les motifs se répondent, la musique magnétise et la « chose » prend forme, fascinante.
Cahiers du Cinéma
Voulant s’inscrire dans son époque, à la singularité le film préfère la reproductibilité, à l’image de ces poupées proliférant dans l’usine de la première Gabrielle, qui voit en elles un projet d’avenir. La singularité, elle, serait du côté du corps : celui des acteurs, parcourant les époques, immuables, parcourant atterrés un monde qui vieillit et s’approche de l’inerte.
Culturopoing.com
Le geste du cinéaste devient un geste politique et contemporain de tous les âges, dans sa forme comme dans sa proposition narrative. "La bête" n'est pas un film d'anticipation mais d'émancipation.
Elle
Futuriste et grandiose.
L'Ecran Fantastique
Avec ses prises de risques constantes, "La Bête" fascine. La mise en scène assume ses nombreuses influences, mais trouve sa propre identité grâce à des séquences d’une rare puissance.
L'Obs
Le film, frontal et fuyant, mélo méta déconstruisant la plupart des influences du cinéaste (...) fixe les angoisses contemporaines dans une sorte de puzzle mental aux accents bouddhiques. L’empathie se meurt, nous dit-il. Ce n’est pas rien.
La Septième Obsession
Sans céder à la tétanie, Bonello transforme alors la peur du vide en idée de cinéma. Et en tire une invention dingue, un film comme on n’en a encore jamais vu.
Le Figaro
Le film est original et beau, malin sans être complaisant.
Le Monde
Le film trouve ainsi sa continuité dans ses lignes brisées, à l’image de certains électrons libres nord-américains comme David Lynch (Lost Highway, Mulholland Drive) ou David Cronenberg (Crash, Le Festin nu), peut-être même aussi du Je t’aime, je t’aime (1968) d’Alain Resnais.
Le Point
Un chef-d’œuvre qui met le cinéaste au niveau des plus grands.
Mad Movies
Un film d'une folle ambition, où des thèmes gigantesques (la malédiction des vies antérieures, l'IA, la corruption des liens par les médias sociaux) servent à révéler la terreur à l'intérieur des plus infimes nuances des sentiments.
Positif
Léa Seydoux séduit autant que George MacKay.
Première
Cette cohérence sentimentale est rendue possible par la sidérante performance de Léa Seydoux, dont le visage offre une brûlante palette d’émois et d’angoisses face à un George MacKay (1917) fascinant de retenue froide.
Sud Ouest
Bertrand Bonello étale son savoir-faire en posant une réflexion habile sur l’humain et sa place dans le monde, à l’heure où des technologies comme l’IA tendent à vouloir le remplacer.
Voici
Les prestations de Léa Seydoux et George MacKay fascinent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Léa Seydoux incarne avec subtilité une femme aux désirs inassouvis: sa performance est bouleversante de douleur et de résignation.
Ecran Large
Dans son formalisme, Bertrand Bonello capte comme peu de cinéastes l’angoisse de nos sociétés saturées d’images. C’est à la fois la grande qualité du montage hétérogène de "La Bête", mais aussi sa principale limite, qui empèse le film d'un trop-plein référentiel et de raccourcis symboliques superficiels.
Franceinfo Culture
"La Bête" interpelle, mais ne tient pas jusqu’au bout de ses promesses.
La Croix
Bertrand Bonello adapte Henry James et signe une histoire d’amour impossible à travers le temps et les époques dans une dystopie glaçante portée par la présence magnétique de Léa Seydoux.
La Voix du Nord
Léa Seydoux n’a jamais autant irradié un écran. La Bête décrit un monde angoissant où l’émotion est une menace. Aimer fait peur. Étrange et envoûtant. Impénétrable et long aussi. Le film affiche deux heures vingt-six. On nous fait comprendre que le voyage aurait pu durer une éternité. Nous aurions souhaité qu’il se contente d’une heure quarante-cinq.
Le Dauphiné Libéré
Bertrand Bonello engage une méditation profonde sur le sen de la vie, de l'amour et du destin dans un monde en constante évolution.
Les Fiches du Cinéma
Bonello engourdit le récit d’Henry James en serrant au couple autour de deux amants, dans un voyage mental affadi par trop de sérieux et exsangue par trop de savoir.
Paris Match
Bonello n’a pas de moyens hollywoodiens pour porter son projet. Mais il peut compter sur le talent de Léa Seydoux pour embarquer le public dans son jeu de pistes à travers les siècles.
Télé 2 semaines
Entremêlant les temporalités avec un art consommé de l'étrange et du romanesque, ce film un brin trop précieux du réalisateur de "Saint Laurent" est porté par une Léa Seydoux en état de grâce.
Critikat.com
Dans ses éclats comme ses limites, "La Bête" éclaire la nature du style de Bonello, partagé ici entre l'horizon trompeur d'une tabula rasa (le fond vert de l'ouverture) et une obsession nostalgique gorgée de souvenirs cinéphiliques.
Le Parisien
Si Léa Seydoux tire son épingle du jeu, le long-métrage manque sévèrement de rythme.
aVoir-aLire.com
Un cinéma très inspiré qui se perd parfois dans des circonvolutions hasardeuses.
Le Journal du Dimanche
Un film aussi labyrinthique que boursouflé, qui agace autant qu'il ennuie.
Les Echos
Bertrand Bonello tente le pari risqué du grand film labyrinthique… et se perd.