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Votre avis sur Dalva ?
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Film très poignant qui traite d'un sujet sensible qu'est l'emprise. J'ai été particulièrement impressionnée par le jeu d'acteur des jeunes acteurs et les splendides plans et jeu de couleur tout au long du film. Je suis sortie de la salle bouleversée! Je recommande ce film!
Belle prestation d'actrice pour Zelda Samson l'interprète de Dalva , choix judicieux d'une lolita sans vulgarité, femme-enfant sensuelle et fragile. Silhouette intemporelle.
Quelques incohérences pour ce film que j'aurai aimé encore plus travaillé sur cette thématique sociale. En particulier le travail de réparation qui paraît très -trop- rapide , après un traumatisme de plus de 7 / 8 ans, c'est simplifié, naïf . Sans doute la volonté d'en faire un film optimiste malgré ce sujet difficile et dramatique ? Il est vrai que j'ai eu du mal à voir ce film d'un point de vue totalement neutre. J'ai gardé une mise à distance professionnelle qui ne m' a pas permise pas de vraiment rentrer dans le film Mais je peux entendre que ce film ait séduit car il y a une vraie sensibilité au sujet qui malgré quelques approximations reste assez réaliste.
Quelques incohérences pour ce film que j'aurai aimé encore plus travaillé sur cette thématique sociale. En particulier le travail de réparation qui paraît très -trop- rapide , après un traumatisme de plus de 7 / 8 ans, c'est simplifié, naïf . Sans doute la volonté d'en faire un film optimiste malgré ce sujet difficile et dramatique ? Il est vrai que j'ai eu du mal à voir ce film d'un point de vue totalement neutre. J'ai gardé une mise à distance professionnelle qui ne m' a pas permise pas de vraiment rentrer dans le film Mais je peux entendre que ce film ait séduit car il y a une vraie sensibilité au sujet qui malgré quelques approximations reste assez réaliste.
Napoléon
Un film introspectif trop classique en général et qui aurait mérité plus de risque. Néanmoins il décrit avec précision toute la complexité de la vie des victimes d'inceste. Les problèmes de relations humaines que ce soit avec les enfants ou les adultes sont bien mis en avant, ou bien encore la reconstruction nécessaire pour les victimes.
Zelda Samson joue magnifiquement le rôle de Dalva, hyperféminisée et, sans doute du fait de l'isolement dans lequel elle était maintenue par son père, presque incapable de nouer des relations avec des enfants de son âge.
Le scénario semble très crédible, avec la méchanceté de certaines gamines "normales", mais au contraire la solidarité avec des filles qui traversent aussi des histoires compliquées, les maladresses de l'éducateur plein de bonnes intentions mais qui, au début au moins n'est pas préparé à un tel "cas".
Seul regret, si l'on voit de près le travail des éducateurs sociaux, on n'aperçoit qu'à la fin, brièvement, le travail de l'institution judiciaire, pourtant essentiel [et les dernières images du film le montrent très bien] au deuil que Dalva doit faire de la relation avec son père, étape indispensable de sa réparation.
Tours Studio Cinémas 24 mars 23
Le scénario semble très crédible, avec la méchanceté de certaines gamines "normales", mais au contraire la solidarité avec des filles qui traversent aussi des histoires compliquées, les maladresses de l'éducateur plein de bonnes intentions mais qui, au début au moins n'est pas préparé à un tel "cas".
Seul regret, si l'on voit de près le travail des éducateurs sociaux, on n'aperçoit qu'à la fin, brièvement, le travail de l'institution judiciaire, pourtant essentiel [et les dernières images du film le montrent très bien] au deuil que Dalva doit faire de la relation avec son père, étape indispensable de sa réparation.
Tours Studio Cinémas 24 mars 23
Belle approche de l'inceste , de l'emprise vécu par la victime
Il n'a rien de choquant dans ce film on découvre au fur et mesure l'horreur vécue par cette ado de façon subtile
La jeune actrice est bouleversante de réalisme, le foyer et ses difficultés de l'enfance mal traitée
Il n'a rien de choquant dans ce film on découvre au fur et mesure l'horreur vécue par cette ado de façon subtile
La jeune actrice est bouleversante de réalisme, le foyer et ses difficultés de l'enfance mal traitée
DALVA,
ce film est une pépite, à voir absolument, qui évoque avec justesse et sensibilité l'emprise ainsi que la résilience.
Un film émouvant, percutant, bienveillant, bouleversant, sans tomber dans le drama. On ne peut y rester insensible, une approche frontale d'un thème délicat, abordé subtilement en toile de fond. Il sensibilise sur un sujet tabou.
Le scénario est parfaitement construit, et l'interprétation de l'actrice principale est une belle performance, juste et solaire.
Bref j'ai ADORÉ 🥰
Encore bravo et félicitations pour la réalisation de ce magnifique film. Merci ❤
Ne loupez pas votre chance de voir ve beau film tourné dans les Ardennes, réalisé par Emmanuelle Nicot , sont premier long metrage qui est fabuleux.
ce film est une pépite, à voir absolument, qui évoque avec justesse et sensibilité l'emprise ainsi que la résilience.
Un film émouvant, percutant, bienveillant, bouleversant, sans tomber dans le drama. On ne peut y rester insensible, une approche frontale d'un thème délicat, abordé subtilement en toile de fond. Il sensibilise sur un sujet tabou.
Le scénario est parfaitement construit, et l'interprétation de l'actrice principale est une belle performance, juste et solaire.
Bref j'ai ADORÉ 🥰
Encore bravo et félicitations pour la réalisation de ce magnifique film. Merci ❤
Ne loupez pas votre chance de voir ve beau film tourné dans les Ardennes, réalisé par Emmanuelle Nicot , sont premier long metrage qui est fabuleux.
Un film Essentiel, bouleversant et doux à la fois. Il ose nous montrer ce que la société fait semblant d'ignorer
Étonnant d'apprendre qu'il s'agit là du premier long métrage de cette réalisatrice remarquable. L'intrigue est claire, on rentre tout de suite dans cette histoire en étant très proche de Dalva. Le film ne peut pas laisser indifférent. Le sujet n'est pas encore assez traité au cinéma et reste encore tabou. J'espère que le film saura avoir la portée qu'il mérite d'avoir. L'humour a su apporté la touche en plus qui a rendu le tout plus léger. Je n'oublierai pas ce moment de si tot, merci
Un film marquant, par les thèmes abordés (l’inceste, du point de vue de la victime, et l’emprise sur cette victime ; la difficulté de la « réinsertion ») et par la proximité constante avec cette adolescence, Dalva (la caméra la colle, de près, quasiment en permanence). Le film a une approche presque documentaire, comme un témoignage, mais il n’est pas bien écrit, la mise en scène est minimaliste, la réflexion n’est au final qu’effleurée et l’émotion paradoxalement absente. Un projet très estimable dont le résultat est décevant.
Caricature de premier film d'auteur "à sujet" et de chronique sociale naturaliste, ce long-métrage enfile un à un tous les clichés sans jamais affronter son sujet. La relation hors norme entre ce père et sa fille sert de point de départ scénaristique sans que jamais l'auteur n'affronte cette relation, se contentant de baliser toutes les étapes de la libération de son personnage. On échappera pas ainsi à la 1000ème scène de danse dans laquelle l'héroïne renait au monde. Ni à celle où on se coupe les cheveux pour montrer qu'on a changé. Quand est-ce que le jeune cinéma français osera enfin s'échapper des canons du naturalisme et de la chronique sociale ?
Les films traitant des violences familiales sont décidédment à la mode. Le scénario est très convenu et sans grande surprise. On aurait aimé davantage de profondeur. Mais pour un deuxième film s'est plutôt réussi et l'interpretation des deux actices et de l'acteur principal.es est remarquable. On espère les revoir très vite.
Une histoire, à la base sordide , qui aurait pu etre traitée de manière ostentatoire et glauque mais qui donne au final un très bon film merveilleusement interprété par la jeune Zelda Samson qui crève l'écran.
L'histoire des errances d'une jeune fille "éduquée" par son père incestueux et qui ne voit pas la limite entre l'amour ou l'affection et relations intimes. Egalement l'histoire d'une reconstruction en foyer dans un monde normal.
Un très beau moment
L'histoire des errances d'une jeune fille "éduquée" par son père incestueux et qui ne voit pas la limite entre l'amour ou l'affection et relations intimes. Egalement l'histoire d'une reconstruction en foyer dans un monde normal.
Un très beau moment
Une jeune fille dont le père a volé l'enfance, et bien pire encore, doit réapprendre les préoccupations de son âge. Elle le fera grâce au élèves et aux éducateurs du centre dans lequel elle est placée. Dalva aborde un sujet très difficile, de front, sans se cacher et sans aucun pathos. C'est un premier film et sa maîtrise est totale. Et que dire de l'actrice, Zelda Samson, sinon qu'elle est épatante.
DALVA est un chef-d’œuvre et mon coup de cœur de cette année. Je l'ai découvert grâce au Studio 43 de Dunkerque qui a organisé une rencontre avec la réalisatrice et je suis ravie du film et de cette rencontre.
C'est un film sur un sujet grave mais qui l'aborde du point-de-vue de l'enfant et qui le fait donc avec une luminosité et une légèreté exceptionnellement rares, jusque dans le mouvement de la caméra. Le point-de-vue est original, le parti pris osé, l'histoire est bouleversante, les images sont captivantes et le montage effectué avec tellement de soin (la lumière, l'angle de la caméra, les enchaînements de plans, la musique délicate et prégnante). Quant à l'actrice Zelda Samson, elle est d'un talent comme cela ne se trouve que très rarement au cinéma aujourd'hui. Fascinante par son jeu d'acteur et sa maturité qui lui fait remplir à la perfection son rôle dans ce film (quel excellent choix de cast !).
Je vous conseille de toute urgence ce film (je me suis créée un compte allociné spécialement pour pouvoir donner un avis sur ce film. Merci à Emmanuelle Nicot, et j'espère qu'elle fera très vite un deuxième long-métrage, qu'il me tarde déjà de regarder.
C'est un film sur un sujet grave mais qui l'aborde du point-de-vue de l'enfant et qui le fait donc avec une luminosité et une légèreté exceptionnellement rares, jusque dans le mouvement de la caméra. Le point-de-vue est original, le parti pris osé, l'histoire est bouleversante, les images sont captivantes et le montage effectué avec tellement de soin (la lumière, l'angle de la caméra, les enchaînements de plans, la musique délicate et prégnante). Quant à l'actrice Zelda Samson, elle est d'un talent comme cela ne se trouve que très rarement au cinéma aujourd'hui. Fascinante par son jeu d'acteur et sa maturité qui lui fait remplir à la perfection son rôle dans ce film (quel excellent choix de cast !).
Je vous conseille de toute urgence ce film (je me suis créée un compte allociné spécialement pour pouvoir donner un avis sur ce film. Merci à Emmanuelle Nicot, et j'espère qu'elle fera très vite un deuxième long-métrage, qu'il me tarde déjà de regarder.
selenie
Le film débute avec effroi et force, dans le noir du générique et des cris qui nous plonge dans une interpellation qui se passe mal, mais surtout qui nous donne quelques clefs en quelques dizaines de secondes. La réalisatrice use de la caméra à l'épaule, nerveuse et proche de Dalva/Samson. On la suit en gros plan, collé-serré qui symbolise aussi son angoisse et sa peur alors que petit à petit la caméra va élargir son horizon, parallèlement à Dalva qui va s'affranchir d'un passé qu'elle n'aurait pas dû connaître. Le récit suit donc une fillette qui a grandit trop vite et qui doit raccrocher le wagon de sa jeunesse, même si tout n'est pas parfait et notamment dans le système d'aide social. Par exemple, réunir des enfants de tous âges et de tous horizons avec les effets pervers ou néfastes qui vont avec, mais aussi le travail des éducateurs ; sur ce dernier point on peut rester un peu perplexe sur le personnage de Jayden/Manenti, qui accueille Dalva de façon un peu abrupte, presque agressive et en tous cas très maladroitement avec des réactions pas toujours adéquates. Par là même on peut rester encore perplexe sur le fait que ce soit un éducateur homme qui soit chargé de Dalva ?! Mais la réalisatrice aborde des facettes inédites et difficiles de façon intelligente et subtile comme le fait que Dalva se sente femme ou sur la question du consentement, mais surtout sur la notion qui différencie le sentiment amoureux et le fait de faire l'amour. Un film juste et réaliste, crédible et profond avec une jolie révélation en prime.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
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