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Si la vision de Dalva chamboule, c’est parce cette œuvre touche au plus juste d’une enfance volée et abusée, et parce qu’elle prodigue en retour à son héroïne un tremplin salvateur. C’est la nécessité de transmettre cette histoire. C’est le désir impérieux de rendre au cinéma ce qu’il procure, en aidant à s’émanciper par le regard. Et c’est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Pour son premier long métrage, Emmanuelle Nicot relate avec une grande délicatesse les métamorphoses d’une préadolescente arrachée à un père incestueux qui l’avait transformée en petite femme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le long métrage navigue du drame sordide à la presque comédie adolescente, de l’énergie brute aux césures contemplatives sans précaution inutile ni sortie de route.
La critique complète est disponible sur le site Libération
On pense aux frères Dardenne devant la maîtrise de cette nouvelle venue, sa concision, son aptitude à pointer la violence des faits bruts. Et les comédiens sont tous extraordinaires.
Si le parcours de cette lolita qu’un éducateur (Alexis Manenti, le flic raciste des « Misérables ») tente de désexualiser passe par quelques facilités de scénario, il ne se départ jamais du regard sensible et nuancé d’une réalisatrice qui n’a pas froid aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
De cette matière potentiellement sensationnaliste, la réalisatrice Emmanuelle Nicot choisit au contraire la sobriété et la pudeur d’un récit qui laisse hors champ le crime en question pour mieux raconter les effets dévastateurs sur le présent.
Le meilleur de « Dalva » tient dans la juste description des rapports entre les enfants et les éducateurs, et comment ces derniers doivent affronter les démons qui rongent les pensionnaires.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Œuvre coup de poing, Dalva est un long-métrage nécessaire, qui malgré une mise en scène trop conceptuelle, avec une caméra qui tremble lorsque le personnage est tourmenté avant de se stabiliser dans les périodes d’accalmie, parvient à émouvoir grâce à la justesse et l’âpreté de ses situations.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Réserves d’ombre, ellipses, changements de posture et de chevelure : tous ces effets donnent du relief à l’émancipation du personnage mais butent contre un récit lisse, mécanique, la fiction demeurant lestée d’un trop-plein de précautions quand bien même la jeune comédienne (Zelda Samson) semble suffisamment mature pour complexifier le tableau.
Bande à part
Si la vision de Dalva chamboule, c’est parce cette œuvre touche au plus juste d’une enfance volée et abusée, et parce qu’elle prodigue en retour à son héroïne un tremplin salvateur. C’est la nécessité de transmettre cette histoire. C’est le désir impérieux de rendre au cinéma ce qu’il procure, en aidant à s’émanciper par le regard. Et c’est bouleversant.
Elle
Un incroyable portrait et une double révélation.
20 Minutes
La débutante Zelda Samson est une évidence dans ce rôle délicat.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Pour son premier film, Emmanuelle Nicot aborde avec finesse l’inceste et l’emprise.
L'Humanité
Un film dérangeant et captivant.
La Croix
Pour son premier long métrage, Emmanuelle Nicot relate avec une grande délicatesse les métamorphoses d’une préadolescente arrachée à un père incestueux qui l’avait transformée en petite femme.
La Voix du Nord
Bref et bouleversant.
Le Dauphiné Libéré
La réalisatrice filme la complexité de la rencontre de l’enfant avec son histoire.
Le Journal du Dimanche
Un récit d’émancipation bouleversant et délicat que porte une jeune comédienne épatante, dont on n’est pas près d’oublier le regard.
Le Monde
C’est ce chemin à rebours qui fait le sujet, et toute l’intelligence, du film.
Le Parisien
Les foucades de Dalva imposent une cadence qui nous maintient sans cesse sous tension. Un souffle fort, de la violence à la tendresse.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film tout en finesse sur les étapes de la reconstruction d’une adolescente.
Libération
Le long métrage navigue du drame sordide à la presque comédie adolescente, de l’énergie brute aux césures contemplatives sans précaution inutile ni sortie de route.
Marianne
Un regard stimulant sur la déraison.
Positif
On pense aux frères Dardenne devant la maîtrise de cette nouvelle venue, sa concision, son aptitude à pointer la violence des faits bruts. Et les comédiens sont tous extraordinaires.
Transfuge
Un premier film intense qui observe sans ciller l’effarante complexité des relations humaines, porté par Zelda Samson, jeune actrice bluffante.
Télérama
Un film digne, et même lumineux, sur le pire des crimes.
Voici
Une oeuvre dont la pudeur graphique vient subtilement renforcer la force d'évocation.
L'Obs
Si le parcours de cette lolita qu’un éducateur (Alexis Manenti, le flic raciste des « Misérables ») tente de désexualiser passe par quelques facilités de scénario, il ne se départ jamais du regard sensible et nuancé d’une réalisatrice qui n’a pas froid aux yeux.
Les Inrockuptibles
De cette matière potentiellement sensationnaliste, la réalisatrice Emmanuelle Nicot choisit au contraire la sobriété et la pudeur d’un récit qui laisse hors champ le crime en question pour mieux raconter les effets dévastateurs sur le présent.
Paris Match
Le meilleur de « Dalva » tient dans la juste description des rapports entre les enfants et les éducateurs, et comment ces derniers doivent affronter les démons qui rongent les pensionnaires.
Première
Le portrait d’une renaissance, sans misérabilisme.
Sud Ouest
Œuvre coup de poing, Dalva est un long-métrage nécessaire, qui malgré une mise en scène trop conceptuelle, avec une caméra qui tremble lorsque le personnage est tourmenté avant de se stabiliser dans les périodes d’accalmie, parvient à émouvoir grâce à la justesse et l’âpreté de ses situations.
aVoir-aLire.com
Un récit touchant, sur un thème dans l’air du temps, qui révèle une réalisatrice inspirée et une très jeune actrice prometteuse.
Cahiers du Cinéma
Réserves d’ombre, ellipses, changements de posture et de chevelure : tous ces effets donnent du relief à l’émancipation du personnage mais butent contre un récit lisse, mécanique, la fiction demeurant lestée d’un trop-plein de précautions quand bien même la jeune comédienne (Zelda Samson) semble suffisamment mature pour complexifier le tableau.