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Votre avis sur Gangs of New York ?
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maxime ...
Deux années que je n'est pas revu Gangs of New York, dès le début je me souviens de tout, du moindre détail ou presque ... Culte à mes yeux, un des meilleurs long-métrage de Martin Scorsese. De ce monstre de cinéma j'ai vu Taxi Driver, Raging Bull, La couleur de l'argent, Les Affranchis, Les Nerfs à Vifs, Casino, Aviator, Les Infiltrés, Shutter Island et donc Gangs of New York, et mis à part le cinquième ils m'ont tous bluffé même si pour certains ( Taxi Driver notamment ) je ne les est pas apprécié à leurs juste valeurs je ne pourrais les dénigré. Des décors et des costumes de haute qualité, la musique comme toujours dans les films de Scorsese est magique ( ici Howrd Shore, Les Infiltrés, Seven, Le Seigneur des Anneaux, The Yards, Philadelphia, A History of Violence ... ) , comme ce dernier plan sur N-Y accompagné The Hands That Built America de U2, magique. Daniel Day-Lewis quelques semaines après mettre refais There Will Be Blood m'épate toujours, et son duel avec Leonardo DiCaprio ( à nouveau et comme toujours brillant ! ) est intense, un moment ma marqué plus que les autres c'est cette conversation sur la rivalité qui opposait Bill ( DDL ) au père d'Amsterdam ( DiCaprio ) et sur la façon dont il a perdu son œil. Cameron Diaz, Liam Neeson, Brendan Gleeson , John , Gary Lewis,Jim Broadbent, Stephen Graham ... tous apportent leurs pierres à l’édifice.
Inutile de rappeler à quel point Martin Scorsese est un véritable conteur, un formidable faiseur d'images à la fois passioné et passionant. Sorti en 2001, "Gangs of New York" ne déroge pas à la règle. Pourtant, la production fut chaotique, Scorsese n'ayant pas eu les fonds nécessaires pour terminer à bien son film, il dut investir son propre argent pour venir à bout de ce mastodonte, alors que les jours de tournage devinrent de plus en plus difficiles. Finalement, "Gangs of New York" est certainement l'un des meilleurs Scorsese avec "Les Affranchis" et "La Dernière tentation du Christ". Celui ou la passion du monsieur pour sa ville natale et l'histoire de l'Amérique (et du cinéma soit-dit en passant) se fait le plus ressentir. Dès la première séquence et cet affrontement gargantuesque, on sait que l'on va avoir affaire avec un grand film. Car "Gangs of New York" l'est, incontestablement. Le scénario nous plonge dans les méandres du New York des années 1840, sous la présidence de Lincoln alors que le pays est en proie à la Guerre de Sécession. Historiquement parlant, Scorsese a effectué un excellent travail quant à la représentation de l'ancien New-York et de son ambiance. De plus, le choix des acteurs est d'un excellent cru, entre un Leonardo DiCaprio en jeune homme avide de vengence mais aussi tenté par les vices du business, un Daniel Day-Lewis terrifiant en Bill le Boucher, personnalité malade et violente, et un Henry Thomas (le Eliott du "E.T" de Spielberg) convainquant en traître jaloux, sans oublier d'autres comme Brendan Gleeson, Stephen Graham et Jim Broadbent. Seule Cameron Diaz est quelque peu décevante dans son rôle de roublarde amoureuse, mais rien de bien grave non plus. Le scénario lui-aussi est grandiose, sauf vis-à-vis du triangle amoureux qui reste bien prévisible. Toutefois, on aurait tort de cracher sur "Gangs of New York" tant l'ambiance et l'histoire sont particuliers et tant l'ensemble parvient à captiver. C'est excellent, et une fois le générique de fin arrivé, on crie haut et fort: merci Monsieur Scorsese pour cette fresque!
Ca c'est un film que j'ai toujours trouvé exellent, vraiment du grand Scorcese, mené par un trio de tête époustoufflant ( Di Caprio, Diaz et Day-Lewis) et des seconds rôles tout aussi bons, comme, pour ne citer qu'eux, Brendan Gleeson et Liam Neeson, rien que ça...
Film émouvant sur la vengence d'un fils, qui, pour arriver à ses fin, s'associe avec le meurtrier de son père... A voir...
Film émouvant sur la vengence d'un fils, qui, pour arriver à ses fin, s'associe avec le meurtrier de son père... A voir...
Les étoiles, c'est pour les acteurs, car pour le reste, j'avoue que l'intérêt du film m'a échappé... C'est long, plein de violence gratuite et très décalé par rapport à la réalité. Le tout sonne très faux et trafiqué... Très décevant.
En 2003, quand est sorti Gangs of New York, ce film ne m'avait suscité aucun intérêt. Aujourd'hui, je me suis un peu forcé à le voir, pour Di Caprio, pour Scorsese, mais surtout pour découvrir l'incroyable prestation de DDL. Mais mis à part les acteurs et la reconstitution, je ne vois rien de palpitant... Cette partie de l'histoire américaine, je ne la trouve absolument pas intéressante, un peu comme le film Lincoln avec également DDL, ils font tout pour que le film traine en longueur, ce qui rend surtout le tout très chiant ! Finalement que ce soit celui-ci ou Lincoln, on les oublie vite, absolument pas indispensable dans une filmographie !
La première collaboration entre Scorsese et Leonardo Di Caprio et quel démarrage! Cette fresque nous raconte la violence avec laquelle l'Amérique s'est construit. Et Scorsese oblige, c'est maîtrisé, spectaculaire les acteurs sont top. Daniel Day-Lewis y trouve tout simplement son meilleur rôle, quant a Di Caprio, il est génial comme d'habitude. C'est prenant de bout en bout.
Qui n'est pas passionné par la période pre et post-indépendance américaine ? Moi si ! L'histoire de ce fabuleux film commence en 1846 quand le père du héros ( Liam Neeson ), est assassiné par celui qu'on nomme le boucher. Le New-York du XIXe et ses décors sont magnifiques, le jeu d'acteur du personnage principal ( Leonardo DiCaprio) est toujours aussi parfait et le destin de ce jeune devenant le favoris du meurtrier de son père est exquis. L'approche de la période de la guerre de sécession est savoureux et ce moment si important dans l'histoire des États-Unis qu'est le XIXe nous donne envie d'y avoir vécu. Pendant presque 3 heures on vit au rythme du protagoniste et de ses sentiments tiraillés entre sa haine profonde pour le boucher et une admiration sincère le poussant à lui sauver la vie.
Bon on sent bien que Martin Scorsese et ses collaborateurs ont dû bûcher grave, se taper des milliers d'archives et de bouquins pour reconstituer le New-York de l'approche de la Guerre de Sécession car sur le plan technique, décors et costumes il ne manque rien. Bon on sent bien aussi que Scorsese et ses collaborateurs ont eu voulu bien nous faire comprendre que chaque civilisation, chaque ville, ici le New York très chère au cinéaste évidemment, s'est construite sur des torrents de larmes et de sang. Par contre, le réalisateur et ses collaborateurs ont tellement eu le souci de super-hyper-bien reconstituer et de faire passer ce message que le film finit par être écrasé sous cela, et qu'il en oublie tout simplement qu'il a une histoire fictive à raconter. Ce qui fait que celle-ci n'est guère passionnante quand on pense à l'aborder et que la romance entre le protagoniste joué par Leonardo DiCaprio et la voleuse interprétée par Cameron Diaz est peu crédible. En-dehors de tout cela, seul Daniel Day-Lewis parfois génial, parfois cabotin, arrive à vraiment tirer son épingle du jeu. Un peu boursoufflé, un Scorsese aussi imposant que décevant.
Il ne se passe rien dans ce film. C'est vide. L'intention des personnages est creuse. Une vengence molle. Une séduction molle. Un méchant moux. Les10 premières minutes suffisent pour comprendre l'absurdité complète de la narration : fausse bataille, fausse tristesse, fausse issue. Vraiment je ne comprends pas les avis positifs.
Pas trop mal , mais laborieux quand même ,dommage !.
Dans un univers médiocre, ce film est une déception. Encore une œuvre adulée par les médias qui ne le mérite pas.
Une trahison pure et simple du livre d'Asbury (1928)pleine d'anachronismes et d'effets inutiles. Ca sent le sapin pour Scorsese, qui tourne trop (10 films en projet)et de plus en plus mal. Le génial réalisateur de "Raging Bull" torturé, sincère, n'est plus qu'une machine à fabriquer des platitudes en celluloid et à s'exhiber dans les festivals. Sinistre.
Chiant à crever... Je me suis jamais autant ennuyé de ma vie, pire que Blade Runner 2049 en terme de rythme. Une scène sur deux ne sert à rien, et ça tire en longueur... Par contre, si vous voulez dormir ce film est excellent, mais en terme de divertissement, passez votre chemin.
Gangs of New York, ou Les Gangs de New York
Martin Scorsese voulait déjà réaliser une adaptation cinématographique du roman d’Herbert Asbury, The Gangs of New York: An Informal History of the Underworld (1928) dans les années 1970. Mais des problèmes budgétaires l'obligèrent à repousser le tournage jusqu'à la fin des années 1990
Leonardo DiCaprio et Daniel Day-Lewis ont dû s'entraîner pendant de longs mois pour préparer le combat final
Tim Monich, un coach spécialement affecté aux dialogues, a été engagé afin de restituer l'accent et l'argot spécifique des habitants de New York au milieu du xixe siècle. N’ayant aucun enregistrement d’époque, il s'est basé sur des pamphlets humoristiques, des poèmes, des ballades et des extraits de la presse pour restituer le bon vocabulaire.
Quelque 850 000 objets d'époque, retrouvés lors des travaux d'agrandissement d'un parking de New York, ont été utilisés dans le film. À la suite du tournage, ceux-ci ont été rassemblés au building 6 du World Trade Center. Après l'attentat du 11 septembre 2001, seulement 18 de ceux-ci ont été retrouvés
Le personnage de Bill le Boucher est inspiré d'un homme ayant réellement existé, Bill Poole
Martin Scorsese voulait déjà réaliser une adaptation cinématographique du roman d’Herbert Asbury, The Gangs of New York: An Informal History of the Underworld (1928) dans les années 1970. Mais des problèmes budgétaires l'obligèrent à repousser le tournage jusqu'à la fin des années 1990
Leonardo DiCaprio et Daniel Day-Lewis ont dû s'entraîner pendant de longs mois pour préparer le combat final
Tim Monich, un coach spécialement affecté aux dialogues, a été engagé afin de restituer l'accent et l'argot spécifique des habitants de New York au milieu du xixe siècle. N’ayant aucun enregistrement d’époque, il s'est basé sur des pamphlets humoristiques, des poèmes, des ballades et des extraits de la presse pour restituer le bon vocabulaire.
Quelque 850 000 objets d'époque, retrouvés lors des travaux d'agrandissement d'un parking de New York, ont été utilisés dans le film. À la suite du tournage, ceux-ci ont été rassemblés au building 6 du World Trade Center. Après l'attentat du 11 septembre 2001, seulement 18 de ceux-ci ont été retrouvés
Le personnage de Bill le Boucher est inspiré d'un homme ayant réellement existé, Bill Poole
De ma virée Scorsese à la cinematek, c'est sans doute le film qui m'a le moins séduit. Ambitieux, beau (trop beau ?), le film ne parvient jamais à m'attraper par la main, je bute contre un obstacle et je tombe et je cours le rattraper mais il est déjà parti, il est déjà loin et je trébuche de nouveau. Gangs of New York m'a laissé à quai, le film m'a semblé trop long, trop bavard, perdu dans sa quête de l'essentiel, à trop souvent emprunter des voies sans issue
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