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On retrouve dans Zoolander tous le charme et l'univers du déjanté Ben Stiller.
A conseiller à tous les amoureux d'humour gras et pipi-caca.
A conseiller à tous les amoureux d'humour gras et pipi-caca.
Avec Zoolander, Ben Stiller réalisait LA comédie sur les modèles hommes. Grâce à ses personnages et à la dérision du monde de la haute-couture, il réussit à faire rire tout en appuyant là où ça fait mal. Le film fourmille d'idées.
Même s'ils n'atteignent jamais le rang de chef d'oeuvre de l'humour, ses films sont généralement drôles et touchants. Stiller ose plus que d'habitude d'ailleurs et n'hésite pas à utiliser une partouze pour faire rire. Et la loufoquerie pousse même jusqu'à demander à David Bowie de venir arbitrer un défi défilé entre Stiller et Owen Wilson.
D'ailleurs, Owen Wilson dispose d'un bon personnage et son duo avec Stiller fonctionne bien (des films postérieurs le confirmeront). De même, le personnage de benêt humaniste de Ben Stiller est bien trouvé.
Une pitrerie réjouissante taillée sur mesure pour Ben Stiller. Cerveau en mode OFF et moment sympa assuré. Après le film aurait pu avoir plus de temps fort, mais dans le genre grande bouffonnerie loufoque, on a déjà bien notre compte!
Même s'ils n'atteignent jamais le rang de chef d'oeuvre de l'humour, ses films sont généralement drôles et touchants. Stiller ose plus que d'habitude d'ailleurs et n'hésite pas à utiliser une partouze pour faire rire. Et la loufoquerie pousse même jusqu'à demander à David Bowie de venir arbitrer un défi défilé entre Stiller et Owen Wilson.
D'ailleurs, Owen Wilson dispose d'un bon personnage et son duo avec Stiller fonctionne bien (des films postérieurs le confirmeront). De même, le personnage de benêt humaniste de Ben Stiller est bien trouvé.
Une pitrerie réjouissante taillée sur mesure pour Ben Stiller. Cerveau en mode OFF et moment sympa assuré. Après le film aurait pu avoir plus de temps fort, mais dans le genre grande bouffonnerie loufoque, on a déjà bien notre compte!
Redzing
Ben Stiller se paie la tête de l'univers de la mode, avec cette comédie qui fait passer les couturiers pour des décideurs maléfiques, et les mannequins pour de grands débiles. "Zoolander" a le mérite de proposer un univers barré, porté par de nombreuses têtes connues. On y retrouve Ben Stiller, Owen Wilson, ou Will Ferrell dans les rôles principaux, qui contribuent à cette ambiance déjantée, et une palette de caméos et guest stars tantôt amusants, tantôt superflus. Cependant l'humour demeure pesant. Entre des blagues sous la ceinture, et des gags qui appuient lourdement sur la stupidité des mannequins, on finit par avoir l'impression que le scénario ne vole pas plus haut que ses personnages. Dommage car le film partait d'une bonne idée.
Enfin vu #Zoolander, petit classique de la carrière de Ben Stiller.
Si le rythme comique a parfois des baisses de régime, l'histoire totalement décalée, parfois même politique, à quelque chose d'hypnotique.
C'est gentiment abrutissant.
Si le rythme comique a parfois des baisses de régime, l'histoire totalement décalée, parfois même politique, à quelque chose d'hypnotique.
C'est gentiment abrutissant.
Objectivons
Le scénario me fait un peu penser au film "Fatal". Zoolander est un peu "concon" parfois, mais aussi avec des moments amusants. La bêtise des modèles est exagérée, ce qui permet de donner lieu à quelques excellentes scènes.
Pour une fois, les critiques de la presse ont mieux noté un film que la majorité des spectateurs, et je me situe entre les deux.
Pour une fois, les critiques de la presse ont mieux noté un film que la majorité des spectateurs, et je me situe entre les deux.
J’avais loupé « Zoolander » lors de sa sortie au Cinéma il y a plus de 20 ans et mon fils m’a convaincu que le film valait le coup d’œil. Que ne ferait-on pas pour ses enfants ? Déjà, le point de départ du film, à savoir une restriction des règles sur le travail des enfants pour certains pays à bas coût et les décisions qui en découlent pour l’industrie du textile, est tellement pertinent dans notre monde moderne capitaliste que le sujet n’a pas du tout vieilli. Il y a quelques très bons gags à attendre d’un mannequin très premier degré – ah la maquette de l’école ! – et on est donc bien servi : Ben Stiller joue à la perfection cet écervelé et Owen Wilson est au même niveau. Cela vole très bas mais cela fonctionne plutôt pas mal, grâce aussi à un casting incroyable, des premiers rôles aux simples caméos : en somme, un plaisir coupable qu’on peut voir.
Nicolas V
Ben Stiller réalise une compédie purement americaine : loufoque, très premier degrès. Mais l'énergie globale de Zoolander finit par convaincre tant le propos est ridicule et les acteurs bons. un bon petit film qui ne se prend pas au sérieux.
Pour le défi défilé
Zoolander traverse les âges, non pas en tant que chef d’œuvre intemporel mais plutôt en tant que bouffonnerie improbable. Nous sommes au début des années 2000 et l’industrie de la mode est un cartel mafieux qui exploite la misère partout dans le monde. Quand le premier ministre de Malaisie interdit le travail des enfants dans son pays, il devient une menace pour le business mondialisé. Le cartel missionne en secret et contre son gré un mannequin masculin particulièrement concon qui sera chargé, à son corps défendant, d’assassiner le dirigeant malaisien. Là comme ça, ça pourrait ressembler à un mix entre le poing levé de Ken Loach et le thriller parano d’un Sydney Pollack. Mais en fait non. Pas du tout. C’est le troisième long métrage de Stiller en tant que réalisateur et il n’est pas connu pour faire des films dossiers. Ça commence tout foufou par une avalanche de gimmicks chics et chocs typiques de l’esthétique de la mode, parodie survitaminée avec la complicité d’un certain nombre de célébrités dans leur propre rôle. C’est tout le ridicule de cette superficialité qui est décrit et moqué. Souvent, c’est totalement absurde et le contraste est bien écrit entre une jeune journaliste ambitieuse et la vacuité cérébrale de tout ce monde-là. Dialogues de sourds et philosophie vandammienne (le fond en moins). A l’interprétation, c’est surtout le succès éclatant de Stiller, parfait, et d’Owen Wilson, irrésistible faux dandy cool. A noter, enfin c’est surtout une note personnelle que c’est après avoir vu le Fatal de Youn que je me suis décidé à revoir ce Zoolander et effectivement, le film de Youn, aussi drôle soit-il est bien une copie conforme de la première partie de Zoolander. Bref, tout ça pour dire qu’en termes d’humour absurde concon qui fonctionne bien, on tient avec Zoolander une pièce maîtresse qui fait toujours référence pour qui aime ce genre d’humour. Pas sûr cependant que le temps joue en sa faveur mais ça, l’avenir nous le dira.
Zoolander traverse les âges, non pas en tant que chef d’œuvre intemporel mais plutôt en tant que bouffonnerie improbable. Nous sommes au début des années 2000 et l’industrie de la mode est un cartel mafieux qui exploite la misère partout dans le monde. Quand le premier ministre de Malaisie interdit le travail des enfants dans son pays, il devient une menace pour le business mondialisé. Le cartel missionne en secret et contre son gré un mannequin masculin particulièrement concon qui sera chargé, à son corps défendant, d’assassiner le dirigeant malaisien. Là comme ça, ça pourrait ressembler à un mix entre le poing levé de Ken Loach et le thriller parano d’un Sydney Pollack. Mais en fait non. Pas du tout. C’est le troisième long métrage de Stiller en tant que réalisateur et il n’est pas connu pour faire des films dossiers. Ça commence tout foufou par une avalanche de gimmicks chics et chocs typiques de l’esthétique de la mode, parodie survitaminée avec la complicité d’un certain nombre de célébrités dans leur propre rôle. C’est tout le ridicule de cette superficialité qui est décrit et moqué. Souvent, c’est totalement absurde et le contraste est bien écrit entre une jeune journaliste ambitieuse et la vacuité cérébrale de tout ce monde-là. Dialogues de sourds et philosophie vandammienne (le fond en moins). A l’interprétation, c’est surtout le succès éclatant de Stiller, parfait, et d’Owen Wilson, irrésistible faux dandy cool. A noter, enfin c’est surtout une note personnelle que c’est après avoir vu le Fatal de Youn que je me suis décidé à revoir ce Zoolander et effectivement, le film de Youn, aussi drôle soit-il est bien une copie conforme de la première partie de Zoolander. Bref, tout ça pour dire qu’en termes d’humour absurde concon qui fonctionne bien, on tient avec Zoolander une pièce maîtresse qui fait toujours référence pour qui aime ce genre d’humour. Pas sûr cependant que le temps joue en sa faveur mais ça, l’avenir nous le dira.
Je n'avais jusque-là jamais réussi à voir "Zoolander", film devenu culte, mais finalement assez peu diffusé ou disponible. J'avais beaucoup d'attente, aussi parce que je suis un grand fan de Ben Stiller, et j'ai finalement été déçu. Trop d'expectative ? Sans doute, mais je pense que, même si le scénario n'est pas idiot et le casting très impressionnant, le tout est trop lourd et caricatural dans le mauvais sens. J'ai un peu souri, mais sans plus... Peut-être ai-je besoin de plus de visionnages, j'avais eu le même état d'esprit après "Tropic Thunder" que j'ai fini par plus aimer ensuite. En attendant, c'est la déception qui prime.
Ben Stiller a ècrit, produit, jouè et rèalisè cette ètonnante satire de l'extravagance des milieux amèricains de la mode et des mannequins! Stiller joue ici le rôle du mannequin le plus cèlèbre et le plus adulè de sa gènèration qui ne va pas supporter de voir un jeune et ambitieux challenger lui ravir sa place! Sa vie bascule alors, à mi-chemin entre folie et psychodrame! Notons que l'acteur-rèalisateur a confiè à sa propre èpouse, Christine Taylor, le rôle de Matilda et que Owen Wilson, Will Ferrell, Vince Vaughn (toute la clique est là) font ègalement partis du casting avec une plèiade d'acteurs qui jouent leurs propres rôles! Une comèdie peuplèe d'excentriques où Dieu et les crèateurs de mode reconnaîtront les leurs...
NeoLain
Le monde de la mode sauce parodie Stiller et styler... C'est assez souvent du grand n'importe quoi mais pour une fois que Ben Stiller maitrise son sujet et maitrise aussi son personnage, charger de mimiques, touchant jusqu'au bout, je tenais sincèrement de tomber sur un film avec lui ou l'histoire préserve bien son humour tout le long et non pas qui l'étouffe. C'est tonitruant de poilade, juste un petit bémol vers les 10 dernières minutes qui sont trop pousser voir inutile. Sinon c'est du bonheur total, puis Owen Wilson dépote un max également en top model peace and love aimant aussi les sensations extrêmes, retrouvez Milla Jovovich et tant d'autres caméo de célébrités.
Julien D
A la fois le meilleur film de Ben Stiller et la dérision la plus déjantée qui puisse être faite du monde de la mode. Dans la peau du plus célèbre des crétins au monde, uniquement connu pour son look soi-disant irrésistible, il nous présente le quotidien des mannequins à travers des gags irrésistibles. Pour une fois, dans ce genre de comédie, l’humour est plus irrévérencieux que débile et n’empêche pas l’histoire de progresser au fur et à mesure de scènes d’anthologie. De plus, le fait de voir tant de guests-stars en un seul et unique film, est un véritable plaisir.
Nicothrash
Avec la sortie prochaine du second opus, je me devais de découvrir ce "Zoolander" premier du nom, pur produit estampillé Ben Stiller. L'acteur-réalisateur se lâche totalement dans cette farce qui ne vole pas bien haut mais qui a le mérite de dresser un portrait acide et amusant de l'univers de la mode. On ressent parfaitement le film de potes dans lequel tous les interprètes cabotinent et font preuve d'un second degré plutôt agréable, à vrai dire c'est assez communicatif et même si l'ensemble est bien débile et complétement décalé, force est de constater que ça fonctionne pas mal. En outre, le casting est efficace et on a le droit à quelques guests qui ne se prennent pas au sérieux et notamment le regretté David Bowie. Une farce à l'intrigue décousue et à l'humour potache qui s'avère malgré tout parfois bien sympathique et qui ne met pas à l'abri de rire de bon coeur de temps à autre. A voir une fois au moins.
Pour sa 3e réalisation, Ben Stiller signe un film en demi-teinte. La faute en incombe notamment à des gags inégaux (le retour de Zoolander à la mine ou le détournement de "2001, l’Odyssée de l’espace" tombent à plat) et une histoire qui tourne vite en rond ainsi qu’à quelques longueurs (les états d’âme de Matilda). En outre, si le nombre de guest-stars est impressionnant, on ne comprend pas toujours leur intérêt (Billy Zane en ami, Winona Ryder et Natalie Portman en fan, Stephen Dorff et Lukas Haas en spectateurs de défilé…) ou pire, on ne les reconnaît même pas (à moins d’être un inconditionnel de la mode). Pourtant, certaines scènes valent le détour (l’intro avec les stylistes si reconnaissables, la bataille d’essence, le film de Mugatu pour conditionner Zoolander, la pub finale…), la BO est très réussie et surtout, le casting est réellement épatant avec un Ben Stiller énorme en top model star (son truc avec la bouche est assez mémorable), un Owen Wilson impeccable en modèle hippie, une Christine Taylor superbe et un Will Ferrel méconnaissable en grand méchant sans oublier tout une pléiade de 2nds rôles (Davis Duchovny, Jon Voight, Jerry Stiller, Milla Jovovich, Justin Theroux, Vince Vaughn…). Un film sympa mais souvent lourdaud…
Un Ben Stiller au meilleur de sa forme qui nous livre un film complètement déjanté prenant pour cible les milieux de la mode masculine et la jet-set qui l’entoure. Mine de rien, le film est aussi une charge de la société capitaliste et ultra-libérale… L’humour est corrosif, la mise en scène inventive et précise, le scénario classique mais parfait pour ce genre de propos. Quant aux acteurs, ils sont excellents : Ben Stiller lui-même bien sûr, dans son personnage habituel d'ahuri qui triomphe de tout sans le faire vraiment exprès, mais aussi Owen Wilson, extraordinaire en rival finalement complice, Christine Taylor, subtile et pertinente et Jerry Stiller (père de l’acteur réalisateur) dans un rôle de manager traître repenti… Un vrai moment de détente et de plaisir à condition de savoir apprécier le second degré et surtout l’autodérision dont Ben Stiller est un maître depuis son premier film.
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