Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Ouest France
par Pascale Vergereau
Florence Loiret Caille et Saabo Balde sont très justes dans ce film haletant.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Avec "La Tête froide", le documentariste Stéphane Marchetti tresse les notions d’opportunisme et d’altruisme, et signe un premier long-métrage de fiction où tout sonne juste, à commencer par son admirable interprète, Florence Loiret-Caille.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La Tête froide suivrait un chemin de solidarité balisé, assez confortable, s’il ne revenait pas au réel le plus dur du drame des réfugiés qui traversent au péril de leurs vies, des mers, des déserts ou des montagnes.
Elle
par Françoise Delbecq
Porté par Florence Loiret-Caille, actrice toujours très juste, ce drame social prend le rythme d'un thriller. Promis, il est glaçant.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Si l’empathie est évidemment le moteur de tous ceux qui viennent en aide aux migrants en situation irrégulière, le long métrage de Marchetti met en exergue une dimension supplémentaire, son caractère, semble-t-il, irrépressible. Et c'est là que réside l'originalité du propos de "La Tête froide".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Pas de figure symbolique censée englober une masse. Le migrant a une identité propre. De même que son acolyte passeuse. Ils ne représentent qu’eux-mêmes et ne se divisent pas entre bourreaux et victimes. Et c’est là l’une des réussites de ce film, qui dans une ambiance glaciale, tempétueuse et parfois mortifère, opte pour la complexité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sèche et acérée, la réalisation accompagne impeccablement ce thriller exsangue où l’espoir n’a guère de place.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
L’humanisme de ce scénario s’incarne dans le face-à-face formidable et saisissant entre Florence Loiret Caille et Saabo Balde, la passeuse et le migrant, deux désespoirs qui s’épaulent, sans que jamais l’un ne semble profiter de l’autre. C’est une relation d’égal à égal, de pauvre à pauvre.
Le Figaro
par V.B.
Un thriller social brut et fort, sans pathos ni manichéisme, porté par le magnifique duo formé par Florence Loiret Caille et Saabo Balde, découvert dans Twist à Bamako , de Robert Guédiguian.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Didier Péron
On est reconnaissant à la Tête froide de n’endosser absolument aucun des travers édifiants de nombreuses fictions sur cette thématique tout en rendant parfaitement sensible l’adversité et les espoirs des individus fuyant leur pays d’origine et souvent mal récompensés de tous leurs efforts.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Loraine Adam
La Tête froide, premier film de Stéphane Marchetti, aborde la complexité de la question migratoire, avec maestria, adrénaline et justesse.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Julien Rousset
L’ancrage concret du scénario n’empêche pas dramaturgie, suspense, rebondissements. Le récit, sobre et captivant, est tracé avec rectitude. On ne saura jamais si Marie agit pour le fric ou par solidarité. Le film de Stéphane Marchetti est trop fidèle aux nuances du réel pour trancher ce genre de questions.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Stéphane Marchetti signe une fiction qui frappe par son humilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Trop peu vue dans des premiers rôles, Florence Loiret Caille a les épaules (graciles) pour porter le film. Immédiatement juste et touchante, elle reste sur le fil entre une rugosité de façade et une fragilité à peine dévoilée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La Tête froide hésite entre la chronique sociale et le thriller mais tire son énergie de l’interprétation. Mention spéciale pour la décidément précieuse Florence Loiret Caille (Le Bureau des Légendes).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par M. Dl.
La Tête froide navigue dans une zone grise, sans poncifs ni arrière-pensées moralisantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
« La Tête froide », malgré ses nobles intentions et la prestation de l'excellente Florence Loiret Caille dans le rôle principal, souffre de ses nombreuses invraisemblances et n'atteint pas les sommets des meilleurs films consacrés aux réfugiés.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Pour son premier long de fiction, S. Marchetti mise sur une réalisation et une écriture sans fioritures. Faute d’être original, le résultat dénote une certaine efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Malgré ses indéniables qualités de fabrication, ses dispositifs de tension scénaristique et mises à l’épreuve des limites physiques des corps, il y a dans "La Tête froide" une incapacité à s’envisager autrement que comme un réseau de tropes, qui lui donne l’air de se maintenir à la surface des représentations archétypales de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Elodie Bardinet
Si le récit ressemble trop au récent Le Prix du passage pour ne pas bégayer, sa réalisation inspirée, alternant entre caméra à l’épaule et moments plus posés, permet au film de faire entendre sa propre voix, dans une tension étouffante jusqu’à sa conclusion plus complexe qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Direct, sans concession, La tête froide oscille entre le récit social, d’une franche actualité, et le thriller. Une œuvre quasi militante dans la lignée des documentaires de son auteur, Stéphane Marchetti.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
Florence Loiret Caille et Saabo Balde sont très justes dans ce film haletant.
Bande à part
Avec "La Tête froide", le documentariste Stéphane Marchetti tresse les notions d’opportunisme et d’altruisme, et signe un premier long-métrage de fiction où tout sonne juste, à commencer par son admirable interprète, Florence Loiret-Caille.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La Tête froide suivrait un chemin de solidarité balisé, assez confortable, s’il ne revenait pas au réel le plus dur du drame des réfugiés qui traversent au péril de leurs vies, des mers, des déserts ou des montagnes.
Elle
Porté par Florence Loiret-Caille, actrice toujours très juste, ce drame social prend le rythme d'un thriller. Promis, il est glaçant.
Franceinfo Culture
Si l’empathie est évidemment le moteur de tous ceux qui viennent en aide aux migrants en situation irrégulière, le long métrage de Marchetti met en exergue une dimension supplémentaire, son caractère, semble-t-il, irrépressible. Et c'est là que réside l'originalité du propos de "La Tête froide".
L'Humanité
Pas de figure symbolique censée englober une masse. Le migrant a une identité propre. De même que son acolyte passeuse. Ils ne représentent qu’eux-mêmes et ne se divisent pas entre bourreaux et victimes. Et c’est là l’une des réussites de ce film, qui dans une ambiance glaciale, tempétueuse et parfois mortifère, opte pour la complexité.
L'Obs
Sèche et acérée, la réalisation accompagne impeccablement ce thriller exsangue où l’espoir n’a guère de place.
Le Dauphiné Libéré
L’humanisme de ce scénario s’incarne dans le face-à-face formidable et saisissant entre Florence Loiret Caille et Saabo Balde, la passeuse et le migrant, deux désespoirs qui s’épaulent, sans que jamais l’un ne semble profiter de l’autre. C’est une relation d’égal à égal, de pauvre à pauvre.
Le Figaro
Un thriller social brut et fort, sans pathos ni manichéisme, porté par le magnifique duo formé par Florence Loiret Caille et Saabo Balde, découvert dans Twist à Bamako , de Robert Guédiguian.
Libération
On est reconnaissant à la Tête froide de n’endosser absolument aucun des travers édifiants de nombreuses fictions sur cette thématique tout en rendant parfaitement sensible l’adversité et les espoirs des individus fuyant leur pays d’origine et souvent mal récompensés de tous leurs efforts.
Rolling Stone
La Tête froide, premier film de Stéphane Marchetti, aborde la complexité de la question migratoire, avec maestria, adrénaline et justesse.
Sud Ouest
L’ancrage concret du scénario n’empêche pas dramaturgie, suspense, rebondissements. Le récit, sobre et captivant, est tracé avec rectitude. On ne saura jamais si Marie agit pour le fric ou par solidarité. Le film de Stéphane Marchetti est trop fidèle aux nuances du réel pour trancher ce genre de questions.
Télérama
Stéphane Marchetti signe une fiction qui frappe par son humilité.
La Croix
Trop peu vue dans des premiers rôles, Florence Loiret Caille a les épaules (graciles) pour porter le film. Immédiatement juste et touchante, elle reste sur le fil entre une rugosité de façade et une fragilité à peine dévoilée.
La Voix du Nord
La Tête froide hésite entre la chronique sociale et le thriller mais tire son énergie de l’interprétation. Mention spéciale pour la décidément précieuse Florence Loiret Caille (Le Bureau des Légendes).
Le Monde
La Tête froide navigue dans une zone grise, sans poncifs ni arrière-pensées moralisantes.
Les Echos
« La Tête froide », malgré ses nobles intentions et la prestation de l'excellente Florence Loiret Caille dans le rôle principal, souffre de ses nombreuses invraisemblances et n'atteint pas les sommets des meilleurs films consacrés aux réfugiés.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier long de fiction, S. Marchetti mise sur une réalisation et une écriture sans fioritures. Faute d’être original, le résultat dénote une certaine efficacité.
Les Inrockuptibles
Malgré ses indéniables qualités de fabrication, ses dispositifs de tension scénaristique et mises à l’épreuve des limites physiques des corps, il y a dans "La Tête froide" une incapacité à s’envisager autrement que comme un réseau de tropes, qui lui donne l’air de se maintenir à la surface des représentations archétypales de son sujet.
Première
Si le récit ressemble trop au récent Le Prix du passage pour ne pas bégayer, sa réalisation inspirée, alternant entre caméra à l’épaule et moments plus posés, permet au film de faire entendre sa propre voix, dans une tension étouffante jusqu’à sa conclusion plus complexe qu’il n’y paraît.
aVoir-aLire.com
Direct, sans concession, La tête froide oscille entre le récit social, d’une franche actualité, et le thriller. Une œuvre quasi militante dans la lignée des documentaires de son auteur, Stéphane Marchetti.