L'Homme le plus heureux du monde : Critique presse
L'Homme le plus heureux du monde
Note moyenne
3,1
8 titres de presse
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
L'Obs
Le Monde
Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Dans cette comédie noire passionnante, un banal speed dating se transforme en allégorie de la guerre en Bosnie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une fable passionnante, actuelle, forte de son approche originale avec des acteurs magnifiques, filmés avec une adresse et une tendresse émouvantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Ce sixième film, étonnant et singulier, de la réalisatrice macédonienne Teona Strugar Mitevska, explore le traumatisme de la guerre de Bosnie trente ans plus tard.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Sophie Grassin
Original et sans cesse intéressant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Un tel dispositif était risqué, mais il est rendu plausible par le jeu intense et maîtrisé des deux comédiens, tandis que les autres personnages, témoins de ce « duel » inattendu, apportent leurs regards, éclairant la délicate question de la réconciliation et du pardon, après la guerre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film qui donne à ressentir les traumatismes d’une guerre, quelle qu’elle soit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
L’amour et la haine d’Asja à l’égard de Zoran grandissent en parallèle, révélant un effet paradoxal de la guerre : les personnages sont à la fois opposés et liés par le sens de l’histoire, en tant que victimes de l’arbitraire.
Première
par Thierry Chèze
Mais dès qu’on comprend ce qui l’anime – un traumatisme à laver avec cette femme qu’il connaît –, ce film qui raconte les dommages collatéraux humains sans fin de la dislocation de l’ex- Yougoslavie, a tendance à se faire un peu trop didactique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Dans cette comédie noire passionnante, un banal speed dating se transforme en allégorie de la guerre en Bosnie.
Le Journal du Dimanche
Une fable passionnante, actuelle, forte de son approche originale avec des acteurs magnifiques, filmés avec une adresse et une tendresse émouvantes.
Les Fiches du Cinéma
Ce sixième film, étonnant et singulier, de la réalisatrice macédonienne Teona Strugar Mitevska, explore le traumatisme de la guerre de Bosnie trente ans plus tard.
L'Obs
Original et sans cesse intéressant.
Le Monde
Un tel dispositif était risqué, mais il est rendu plausible par le jeu intense et maîtrisé des deux comédiens, tandis que les autres personnages, témoins de ce « duel » inattendu, apportent leurs regards, éclairant la délicate question de la réconciliation et du pardon, après la guerre.
Les Inrockuptibles
Un film qui donne à ressentir les traumatismes d’une guerre, quelle qu’elle soit.
Cahiers du Cinéma
L’amour et la haine d’Asja à l’égard de Zoran grandissent en parallèle, révélant un effet paradoxal de la guerre : les personnages sont à la fois opposés et liés par le sens de l’histoire, en tant que victimes de l’arbitraire.
Première
Mais dès qu’on comprend ce qui l’anime – un traumatisme à laver avec cette femme qu’il connaît –, ce film qui raconte les dommages collatéraux humains sans fin de la dislocation de l’ex- Yougoslavie, a tendance à se faire un peu trop didactique.